(Dolmancé @ jeudi 27 mai 2004 à 22:14 a écrit : a écrit :
tout le monde a dit d'abord qu'il fallait se battre contre la brevetabilité du vivant, ce qui calmerait les monsanto and cie... et qu'il fallait subordonner l'autorisation de culture de nouvelles variétés et especes, qu'elles soient genetiquement modifiées ou autres à une recherche publique approfondie préalable sur son impact sur l'environnement... relis le fil, tu m'éviteras de me repeter...
Calmer Montsanto ? Mon dieu j'entends leurs avocats trembler d'ici devant la menace d'un trotskyste en France qui s'imagine qu'il va changer les lois internationales sur le vivant à lui tout seul... :sygus:
Dolmacé, tu es englué dans ton indivudualisme, tu ne vois comme seule solution que la culture des chèvres sur le Larzac, tu ne crois pas qu'un mouvement organisé puissent faire reculer Monsantos, et donc les seules solutions que tu trouves tourne autour de ta petite personne (décroissance soutenable), et tu reproches aux autres de ne pas faire comme toi. Tu finiras aigris :smile:
Mais une grande majorité de la population mondiale aspire a consommer mieux et plus, a acquerir le bien être que tu as, et ces aspirations sont freinés par les apetits voraces de trusts capitalistes.
Ce n'est pas ta décroissance soutenable (par qui d'ailleur?) qui apportera des solutions aux milliards de personne souffrant du mal logement, de manque d'acces a l'eau potables, a une nouriture saine et de qualité etc.
Repondre aux besoins de ces populations, c'est remetre en questions le capitalisme.
Le capitalisme ne peut pas y répondre, car ces population ne sont pas solvable (et dons il faut une économie autre que l'économie capitaliste marchande).
Personne ne dit que nous changerons les choses seuls, mais ensemble, nous pouvons nous battre contre les breveteurs fous, contre ceux qui veulent que tout soit marchandise.
Pour cela il faut un programme clair, et ne pas mélanger la lutte nécessaire contre les trusts (pharmaceutiques, agro-alimentaire) qui veulent s'approprié le patrinoime génétique mondial et une lutte retrograde contre la science. Comme nous l'avons expliqué (et toi aussi avec ton exemple sur les tomates), le probleme n'sont pas les Ogm, mais la privatisation du patrimoine génétiques mondial.
Il faut que ce patrimoine reste dans le domaine public, et aussi
a écrit :il faut subordonner l'autorisation de culture de nouvelles variétés et especes, qu'elles soient genetiquement modifiées ou autres à une recherche publique approfondie préalable sur son impact sur l'environnement