a écrit :Pitié, arrêtez avec les sondages
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(logan @ jeudi 26 février 2004 à 15:59 a écrit :a écrit :Pitié, arrêtez avec les sondages
a écrit :
CSA confirme le sondage BVA « La Dépêche »
Les résultats de ce sondage CSA confirment le sondage BVA, « La gazette de Montpellier », « La Gazette de Nîmes » et « La Dépêche du Midi », publié le 5 décembre 2003.
À l'époque, même si on ne connaissait pas encore le nombre de listes, (neuf déposées), au premier tour Frêche était à 38 points, Blanc à 33 et le FN à 16. Au deuxième tour, toujours dans l'hypothèse d'une triangulaire,
la gauche prenait la région avec 43 points contre 39 à l'UMP et 18 au FN.
Dans les deux cas de figures, il semble que le score attribué à l'extrême droite pourrait être en deçà de la réalité.
En 2002, à l'élection présidentielle, LE Fn de Le Pen était à plus de 22 points... Quant à l'abstention, elle devrait être encore élevée, avec une estimation CSA à 39 % au premier tour.
Il faut dire que ces régionales 2 004 sont loin de passionner les foules. Un signe que le duel Blanc-Frêche est au bout du rouleau.
C'est le cas de figure que donne un sondage CSA « Marianne » publié hier. Dans son tableau, l'hebdomadaire indique, au premier tour, 36 points pour la liste d'union de la gauche conduite par le socialiste Frêche. 29 points pour l'UMP de Blanc, 17 points pour le FN de Jamet, l'extrême gauche et les chasseurs sont à 5 points chacun alors que l'UDF de Dufur est donnée à peine à 4 points.
Au second tour, et dans le cadre d'une triangulaire, les intentions de vote du sondage CSA « Marianne » font basculer la région à gauche avec 44 points pour Frêche, 40 pour Blanc et 16 au Front national
(Le Monde @ 4 mars 2004 a écrit :
A moins de trois semaines du scrutin régional, la tentation du vote-sanction progresse encore
La 4e vague du "Baromètre TNS-Sofres" montre une stagnation du FN et de l'extrême gauche.
Lire l'intégralité du sondage
Le premier ministre a beau inviter à "ne pas confondre le vote nation et le vote région" et assurer que "l'enjeu des élections régionales, c'est d'abord la région", les Français paraissent déterminés à saisir l'occasion du scrutin des 21 et 28 mars pour sanctionner le gouvernement. Plus des deux tiers d'entre eux (67 %) affichent cette intention, selon les résultats receuillis par l'institut TNS-Sofres dans la quatrième vague du "Baromètre des élections régionales" réalisé pour Le Monde, RTL et LCI.
Malgré un faible intérêt pour l'élection - 55 % des sondés se disent "peu" ou "pas du tout" intéressés -, la gauche en tirerait un avantage supérieur à celui du Front national (FN) et de l'extrême gauche dans les intentions de vote exprimées.
L'envie de sanctionner la politique de Jean-Pierre Raffarin n'a jamais été aussi élevée depuis le lancement du "Baromètre", à la mi-janvier. La proportion des personnes déclarant vouloir " profiter de cette élection pour manifester leur mécontentement" progresse de 5 points par rapport au sondage précédent (10-11 février). L'envie de sanctionner le gouvernement est à peu près égale (entre 68 % et 73 %) dans toutes les classes d'âge (hormis les 65 ans et plus). Elle touche toutes les catégories sociales, avec des pointes chez les ouvriers (75 %) et les professions intermédiaires (77 %).
Le poids du vote sanction demeure en outre non négligeable parmi l'électorat de la droite. Un tiers (33 %) des sondés se disant proches de l'UMP, de l'UDF, ou du RPF veulent manifester leur mécontentement. La proportion s'élève à 42 % chez les seuls sympathisants de l'UDF (+ 3 points par rapport au dernier sondage). Un quart (26 %) des sympathisants de l'UMP eux-mêmes expriment également cette intention, soit 2 % de plus qu'à la mi-février.
HAUSSE DU MÉCONTENTEMENT
Apparemment, la progression de l'insatisfaction profite plutôt à la gauche. Les listes du PS - alliées au PCF et/ou aux Verts -, les listes communistes autonomes et celles des Verts parties seules en campagne recueillent un total de 38,5 % des intentions de vote, contre 37,5 % et 37 % lors des sondages précédents (mi-février et fin janvier). En revanche, la stabilité prévaut pour l'extrême gauche, qui est créditée de 7 % des intentions de vote. Lors des précédentes vagues du sondage, les listes LO-LCR recueillaient 6 % des intentions de vote à la mi-janvier, puis 7,5 % à la mi-février.
La droite aussi est désormais à la hausse. Avec 35,5 % des intentions de vote, les listes UMP, UDF, et divers droite progressent au total de 2,5 points par rapport à la mi-février. Les listes autonomes de l'UDF (en lice dans 16 régions) sont créditées de 8,5 % des suffrages potentiels, soit 1,5 point de mieux que lors de la vague précédente. Elles retrouvent ainsi le niveau affiché fin janvier. La progression du capital électoral de la droite semble essentiellement découler d'un transfert au détriment des listes écologistes rivales des Verts, qui enregistraient encore 4,5 % d'intentions de vote mi-février et qui ont, pour une large part, disparu depuis le dépôt officiel des candidatures, le 23 février. "On sait par exemple que le vote Génération Ecologie-Les Bleus est un vote à droite", explique Brice Teinturier, directeur du département politique et opinion de TNS-Sofres.
La stagnation du FN dans les intentions de vote se confirme. Le parti de Jean-Marie Le Pen recueille 15 % des suffrages potentiels. Il perd ainsi un demi-point par rapport au sondage précédent et 0,6 point par rapport au premier sondage, à la mi-janvier.
En outre, la proportion de sondés déclarant être "sûrs de ne pas voter" pour le FN s'accroît : 75 %, contre 70 % mi-février et 72 % mi-janvier. A l'inverse, "l'électorat potentiel théorique" du FN, selon la dénomination de l'institut TNS-Sofres (qui y regroupe ceux qui "ne voteront sans doute pas pour le FN, à moins qu'ils ne changent d'avis"), se réduit : il ne représente plus que 19 %, contre 26 % mi-février. Evoquant une "absence de dynamique, contrairement à ce qui s'est passé avant la présidentielle de 2002", M. Teinturier y voit notamment un effet de l'invalidation de la candidature de M. Le Pen en Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Philippe Le Cœur
Ce sondage a été réalisé les 25 et 26 février auprès d'un échantillon de 1 000 électeurs, représentatif de l'ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogés en face à face à leur domicile.
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