Camarade, d'abord on écrit "
sophisme et pas un "sofisme".
Et il n'y a aucun sophisme à constater que les gens réfléchissent à ce qui leur est avantageux ou désavantageux. Ce dont tout le monde à besoin, c'est de conditions de vie et de travail décentes, d'avoir des amis et une famille. Quant à savoir qui est le propriétaire et qui ne l'est pas : il n'y a que les ambitieux et les envieux qui se posent la question. Il n'y a pas un travailleur satisfait de son niveau de vie qui risquerait de tout perdre pour s'emparer de la propriété des moyens de production. C'est seulement les envieux, les matérialistes, les bourgeois quoi... qui veulent passer de petits-bourgeois à grands-bourgois et à capitalistes. Le lieu de ce passage, c'est les USA, la terre promise des pauvres du monde qui veulent réussir... avoir une voiture et une maison et plus si affinités... L'immigration vers les "Démocraties populaires" ça n'a jamais été quelque chose de bien connu, pas vrai ? Les pauvres vont où il estiment qu'ils ont une chance de bien gagner leur vie et de vivre décemment. Ce calcul est humain et vous ne pouvez rien contre lui. Donc la révolution dans les pays développé : c'est terminé.
Les USA sont aussi une démocratie populaire, fondée sur le rebut social de l'Europe du XIX°siècle... les américains ont viscéralement le rejet de tout ce qui rappelle les codes sociaux et le mode de vie de la bourgeoisie et de l'aristocratie européenne. Quand, à l'ONU, Powel a affronté Villepin, le descendant d'esclave contre l'aristocrate européen... c'est tous les arrières-petits-fils d'ouvriers agricoles et industriels européens qui serraient les fesses pour lui.
Quand Byrre parle de "cinéma" calorique et à haute teneurs en graisses en parlant du Seigneur des anneaux, un cinéma hollywoodien i.e. de divertissement populaire et qu'il lui compare le cinéma classique et d'art et d'essai, c'est l'européen face à l'américain... le valet en livrée qui méprise le vilain qui n'a jamais mis le pied dans le château et qui est parti chercher ailleurs un meilleur sort qu'à l'ombre de la culture européenne... Le mépris de ces graisses n'est rien d'autre que le mépris d'un repas populaire...Byrre doit préférer la nouvelle cuisine dans des lieux "cool" et "hype"... uen assiette végétarienne au Café Armani plutôt qu'un grc dégoulinant de graisse... :halalala:
a écrit :Tu trouveras toujours des lieux où les salaires sont plus bas qu' ici
Et plus riches aussi, voir la difficulté des soviétique pour déterminer le niveau de vie à partir duquel on était un "koulak"... dans certaines régions avoir un cheval c'était être pauvre dans d'autre c'était être riche...