LO et le parti que veut la LCR

Tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité politique en France

Message par Beaudelire » 09 Mars 2008, 15:22

(kalim @ dimanche 9 mars 2008 à 11:30 a écrit : Il me semble que LO aussi dit qu'une mairie de gauche, ce n'est pas tout à fait comme une mairie de droite pour les travailleurs, même si on ne construit pas le socialisme dans une seule commune. Et je ne pense pas que le budget participatif soit l'alpha et l'oméga du socialisme (quel que soit le siècle) s

sans qu'il faille le condamner par principe pour autant.
Je n'ai pas condamné l'expérience de Porto Alegre et du budget participatif en soi, et bien sûr une mairie de gauche c'est pas tout à fait la même chose qu'une mairie de droite; mon but était juste de limiter l'impact positif qu'avait eu cette expérience sur la population de la capitale mineira. Ségolène Royal a été la première à faire des choses de la sorte également au sein de la région Poitou-Charente, par exemple; est-ce du socialisme pour autant ?
J'ai eu le sentiment, et c'est personnel qu'OB s'enflammait un peu. D'ailleurs le PT a perdu la mairie et le PPS au pouvoir semble remettre en cause cette façon de faire !
Beaudelire
 
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Message par com_71 » 09 Mars 2008, 16:11

(Beaudelire @ dimanche 9 mars 2008 à 15:00 a écrit :
Quoi ? J'ai dit une énormité ?
J'ai pas dit ça

(Encyclopédie Universalis a écrit :DURRUTI BUENAVENTURA (1896-1936)

Peu d’hommes ont autant que Buenaventura Durruti résumé par leur destinée la part insurrectionnelle d’une époque. Il eut la sincérité de la vivre et l’habileté de la mener sans prétendre la gouverner. Son nom reste attaché aux tentatives les plus radicales de la révolution espagnole et au mouvement anarchiste, qui prêta ses revendications les plus soucieuses d’humanité au «dernier soulèvement prolétarien».

Né à León, Durruti passe rapidement de l’école à l’atelier de mécanique, puis à la mine et à la Compagnie des chemins de fer du Nord. Membre de l’Union générale des travailleurs (U.G.T.), il se fait connaître par ses interventions et sa détermination. Lors des grèves de 1917, il passe à la Confédération nationale du travail (C.N.T.), qu’il ne quittera plus. Exilé à Gijon par la répression, il rencontre Manuel Buenacasa, qui l’initie aux théories anarchistes. Refusant le service militaire, il part pour Paris, rencontre Sébastien Faure, Louis Lecoin et Émile Cottin. En 1920, l’atmosphère révolutionnaire l’attire à Saint-Sébastien, où il adhère au groupe anarchiste dénommé Les Justiciers. Il arrive à Saragosse alors qu’une grève générale a contraint le gouverneur à libérer l’anarchiste Ascaso, qu’il avait fait emprisonner. Dans le même temps, le cardinal Soldevila engage un groupe de tueurs pour en finir avec les militants de la C.N.T. Contre les pistoleros , Durruti organisera la lutte avec Ascaso, García Oliver et les membres du groupe Les Solidaires. En réponse à l’assassinat du militant Salvador Segui, ils exécutent le cardinal Soldevila à Saragosse, puis l’ex-gouverneur de Bilbao, responsable du gangstérisme patronal. L’agitation va de pair avec la préparation d’une insurrection à Barcelone, que l’arrivée tardive des armes fit échouer. En septembre 1923, Primo de Rivera s’assurait du pouvoir, déterminant Durruti à s’exiler de nouveau en France, puis à Cuba, où, avec Ascaso et Jover, il commence une campagne d’agitation. L’exécution d’un patron qui avait fait torturer trois ouvriers grévistes les contraint à gagner le Mexique, puis à parcourir l’Amérique du Sud avant de regagner la France, où ils sont arrêtés sous l’accusation d’avoir comploté contre la vie d’Alphonse XIII. L’Argentine et l’Espagne réclament l’extradition des trois anarchistes. Lecoin et Faure obtiennent de Poincaré la libération de Durruti, Ascaso et Jover, qui sont expulsés de France et qui, voyant toutes les frontières se fermer, n’ont d’autre recours que de revenir clandestinement dans les environs de Paris. En 1928, ils passent en Allemagne, assurés de l’appui d’Eric Mühsam. De faux papiers leur permettent de rester en Belgique jusqu’en 1931, alors que l’avènement de la république espagnole autorise des espoirs, rapidement déçus. À Barcelone, Durruti, dépourvu de grands talents oratoires, mesure sa puissance de conviction en incitant, lors d’une émeute, les soldats à tourner leurs armes contre la garde civile. Sa popularité s’accroît dans le mouvement ouvrier, avec, pour contrepartie, une série d’emprisonnements.

Lors du congrès de la C.N.T. du 1er mai 1936, la conspiration militaire est dénoncée sans que le gouvernement de Front populaire se décide à réagir. À l’instigation de Durruti et de ses amis, la C.N.T. s’empare des armes contenues dans quelques bateaux du port. Lors de l’insurrection nationaliste du 19 juillet 1936, l’intervention rapide des milices anarchistes décide d’une victoire que le gouvernement de la Généralité de Catalogne eût été bien en peine d’assurer. La prédominance ainsi acquise par la C.N.T. va disparaître à la suite d’une sorte de réflexe légaliste ou de sous-estimation de soi, qui amène la C.N.T. et la F.A.I. (Fédération anarchiste ibérique) à pactiser avec les instances gouvernementales.

L’opportunité perdue par le mouvement anarchiste permettra aux forces politiques traditionnelles de se ressaisir et de préparer l’action contre la C.N.T.-F.A.I. La colonne Durruti, organisée à la hâte, fait reculer le front jusqu’à l’Èbre et libère l’Aragon, où pour la première fois dans l’histoire apparaissent, sous le nom de «collectivités», des entités sociales dont la gestion est confiée à l’ensemble des individus.

À mesure que s’instaurait l’expérience libertaire, le gouvernement central s’employait à neutraliser l’action de Durruti: refus de lui accorder des armes, tracasseries administratives et hostilité de plus en plus active du Parti communiste. Lors de l’offensive contre Madrid, en octobre-novembre 1936, la colonne Durruti est appelée à la rescousse et dirigée sur le quartier le plus menacé. Le 19 novembre, Durruti est mortellement blessé dans des conditions assez mystérieuses (crime ou accident?). Sa disparition et l’affaiblissement des milices anarchistes allaient faciliter une politique de répression, qui culmina avec la liquidation des collectivités aragonaises et les affrontements de Barcelone en 1937.

À la différence d’autres responsables anarchistes, Durruti ne s’est jamais autorisé des succès remportés pour s’arroger quelque pouvoir personnel que ce soit. Son erreur fut peut-être de s’accommoder des mécanismes d’un pouvoir en place, qui ne pouvait que se dresser contre lui.


Durruti n'a pas la réputation d'avoir été empressé à placer le pouvoir au main de la bourgeoisie, mais au contraire d'avoir pour le moins exprimé des réticences, ce qui lui a peut-être coûté la vie.
Quelqu'un a d'autres précisions ?
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par jeug » 09 Mars 2008, 17:06

Le 20 juillet 36, Durruti fait partie (avec Garcia Oliver et Abad de Santillan) de la délégation anarchiste qui rencontre Companys, chef du gouvernement catalan, à la demande de ce dernier. Companys leur dit :
a écrit :"Aujourd'hui vous êtes les maîtres de la ville. Si vous n'avez pas besoin de moi, ou si vous ne souhaitez pas que je reste président de la Catalogne, dites-le moi, et je serai un soldat de plus à combattre le fascisme. Si, au contraire, (...) vous croyez que ma personne, mon parti, mon nom, mon prestige peuvent être utiles, alors, vous pouvez compter sur moi et sur ma loyauté..." (...)
Mais les 3 dirigeants anarchistes décidèrent que le président Companys resterait à son poste et
a écrit :Ainsi fut créé le Comité Central des Milices Antifascistes de Catalogne, dans lequel nous fîmes entrer tous les partis politiques libéraux et ouvriers"

Pour ce qui est de la mort de Durruti, il serait tombé au combat, selon la même source (CLT du 3 mai 96 Espagne 1931-1937 - la politique de Front Populaire contre la révolution ouvrière) :
a écrit :Certes, c'est à partir d'octobre 36, juste avant la bataille de Madrid, que les armes russes commencèrent à arriver. C'est aussi à cette occasion que les premières Brigades Internationales, formées de volontaires de tous les pays, furent officiellement constituées. Cela constitua une aide militaire mais surtout une aide morale considérable pour les combattants. Durruti vint lui aussi à la rescousse avec une colonne de 4 000 combattants venus d'Aragon et lui-même fut tué dans les combats.
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Message par artza » 09 Mars 2008, 17:59

Une remarque à Jeug. Les exposés du Cercle Léon Trotsky ne sont pas des "sources", mais ils se fondent sur elles.

Pour Durruti, les CNTistes opposant à la participation gouvernementale s'en revendiquèrent et appelèrent leur groupe, Les Amis de Durruti ,au moment de journées de Juillet à Barcelone ils signèrent un tract-appel aux travailleurs en commun avec le groupe bolchevique-léniniste d'Espagne (trotskyste), puis ils disparurent sans laisser de descendants.

Durruti était un anarchiste dans la tradition de Bakounine, partisan des coups de force, et des sociétés conspiratives pour mener les masses. Que fut d'autre la FAI, un appareil pour controler la CNT. Il faut rappeler que les communistes, les syndicalistes "purs" et les POUMistes en furent exclus.

Ce n'était en rien un démocrate, la démocratie ouvrière et l'unité d'action ouvrière n'avait aucun sens pour lui jusqu'en 1936.

Socialistes, communistes staliniens, trotskystes ou POUMistes pour lui c'était la même engeance autoritaire et étatiste.

Comme tout les hommes d'action, il était soucieux d'éfficacité et empiriste.

Dans sa colonne si il y régnait un réel égalitarisme il n'était pas question de discuter les ordres, la discipline était rude, au point que certains émirent l'hypothèse qu'il ait pu être abattu par un milicien rancunier, il imposa à "ses" miliciens des spécialistes bourgeois officiers ou gardes civiles comme dans l'Armée dont il affectionait aussi les vestes de cuir, les mêmes problèmes provoquent les mêmes réponses ;) .

L'anecdote avec Companys est révélatrice de l'attitude anarchiste.

L'Etat n'est pas le produit inéluctable d'une société divisée en classe et ne peut être au bout du compte que l'instrument de la classe dominante.

Que les travailleurs facent leurs petites affaires dans leur coin et le tour est joué.

Il faut savoir aussi que ces anars connaissaient bien Companys qui avait été leur avocat. Ca crée des liens.

Durruti devint une idole du Front populaire et de toute la gauche, même les staliniens laissèrent entendre un temps qu'ils l'avaient quasiment gagné.

Les révolutionnaires défunts ont en fait des momies, des stations de métro ou des boulevards comme pour Blanqui et Louise Michel.

Je suis curieux de savoir à quel propos Besancenot l'a cité.
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Message par Vérié » 09 Mars 2008, 18:13

(artza @ dimanche 9 mars 2008 à 17:59 a écrit :
L'Etat n'est pas le produit inéluctable d'une société divisée en classe et ne peut être au bout du compte que l'instrument de la classe dominante.


:33: Euh... J'imagine que tu as voulu dire que l'Etat EST le produit de la division de la société en classes.
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Message par artza » 09 Mars 2008, 18:21

Merci pour la remarque, en fait je voulais citer le point de vue anarchiste.

Ma rédaction est peu claire c'est vrai.
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Message par jeug » 09 Mars 2008, 18:57

(artza @ dimanche 9 mars 2008 à 17:59 a écrit :Une remarque à Jeug. Les exposés du Cercle Léon Trotsky ne sont pas des "sources", mais ils se fondent sur elles.

Ah ! :(
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Message par artza » 10 Mars 2008, 12:12

(jeug @ dimanche 9 mars 2008 à 18:57 a écrit :
(artza @ dimanche 9 mars 2008 à 17:59 a écrit :Une remarque à Jeug. Les exposés du Cercle Léon Trotsky ne sont pas des "sources", mais ils se fondent sur elles.

Ah ! :D

J'ai poussé le bouchon un peu loin, on apprend bien des choses en lisant ou en écoutant les exposés du CLT, mais il faut que soit un encouragement à lire d'autres choses et ne pas considérer que c'est suffisant.
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Message par artza » 10 Mars 2008, 13:05

(com_71 @ dimanche 9 mars 2008 à 16:11 a écrit :

Durruti n'a pas la réputation d'avoir été empressé à placer le pouvoir au main de la bourgeoisie, mais au contraire d'avoir pour le moins exprimé des réticences, ce qui lui a peut-être coûté la vie.
Quelqu'un a d'autres précisions ?

Selon Abel Paz (anarcho-syndicaliste qui était à l'époque jeune militant à Barcelone) dans son livre,"Durruti, le peuple en armes":

Le plénum régional de la CNT du 21 juillet à Barcelone:

a écrit :Il n'y a pas de communisme libertaire, écrasons d'abord la faction


L'anarchiste Santillan expliqua

a écrit :Nous pouvions être seuls, imposer notre volonté absolue (...) imposer le véritable pouvoir du peuple (...) nous ne croyions pas à la dictature quand elle s'imposait contre nous et nous la désirions pas quand nous pouvions l'exercer...


Le plénum vota la collaboration avec la Generalitat contre l'avis de Garcia Oliver qui s'inclina par discipline, la fédération de Llobregat et de Durruti opposé mais:

a écrit : Durruti persista dans sa proposition " de ne consentir aux accords (de collaboration avec Companys et la Generalitat) que provisoirement, c'est à dire jusqu'à la libération de Saragosse, car celle-ci en ouvrant la route du Nord, assurerait le triomphe de la révolution.
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Message par com_71 » 20 Avr 2008, 11:41

dans le dernier Rouge un article bien significatif de ce qu'on peut attendre du processus qu'a enclenché la direction de la LCR :

(Rouge a écrit :Débattons sans compter

Le processus de construction du nouveau parti anticapitaliste (NPA), en Franche-Comté, met en lumière une série de problèmes et de questions que l’on retrouve un peu partout. Il n’y a pas de réponses toutes faites.

Plusieurs réunions ont eu lieu dans les dernières semaines, dans le Doubs, à Pontarlier et Besançon, en Haute-Saône, à Vesoul, dans le Jura, à Saint-Claude, Lons-le-Saunier et Dole. Sans compter les deux pôles importants que sont Belfort et Montbéliard, où les potentialités sont fortes mais où on n’en n’est encore qu’aux premières discussions préparatoires, le processus touche 90 personnes, soit le triple du nombre de membres de la LCR. Le profil des participantes et participants est très hétérogène. Dans le Doubs, on note la présence d’une composante écologiste radicale, parfois anar ou libertaire, porteuse notamment du débat sur la décroissance. Dans le Jura, on retrouve plutôt des associatifs (d’Attac, notamment) et des syndicalistes (CGT, FSU, Solidaires). Le constat général, c’est que ça marche ! Y compris lorsqu’il s’agit de premières réunions, qui permettent de clarifier les débats politiques, d’aplanir les difficultés et même, souvent, de lever les réticences. Les questions de la structuration, de la prise en charge collective et des initiatives sont abordées sérieusement, avec la proposition faite par des militants non membre de la LCR de préparer les prochaines réunions, comme à Besançon ou à Dole.

Dans les échanges à bâtons rompus, une série de questions émergent : il existe une méfiance à l’égard de la LCR, de l’extrême gauche et plus largement de la forme parti elle-même, notamment dès que se pose la question du pouvoir ou du mode d’organisation. La méfiance est légitime au regard de l’histoire. Il faut donc convaincre de la nécessité d’une structure coordonnée et cohérente nationalement, qui se donne des garanties de fonctionnement démocratique, et, dans la pratique, lever les doutes sur les risques de hiérarchisation, de délégation ou de substitution.

La question du bilan des deux années précédentes est souvent sous-jacente ou exprimée explicitement. On constate pourtant que la discussion fait avancer et mûrir les choses : une partie significative des personnes avec lesquelles les débats ont été nombreux, et parfois houleux, se disent maintenant prêtes à s’engager en mettant de côté ses a priori vis-à-vis de la LCR, avec l’intuition qu’il y a aujourd’hui à la fois une nécessité et des possibilités nouvelles. Enfin, le débat porte parfois sur des questions de vocabulaire, qui masquent les vrais problèmes sur les délimitations du nouveau parti. En réalité, c’est sans doute lors des débats sur le projet, la perspective alternative que portera le futur NPA qu’un alphabet et un logiciel communs pourront se constituer, au-delà des références politiques définies par l’appel de la LCR.

Beaucoup de ces questions se posent un peu partout en France. Certaines sont encore à creuser, en théorie et en pratique, notamment l’articulation LCR-NPA, puisque certains, non membres de la LCR, souhaitent adhérer dès maintenant à cette dernière pour être sûrs d’être associés au processus de bout en bout. Ce n’est évidemment pas un problème en soi, et l’état d’avancement de la discussion devrait maintenant les rassurer sur ce point. En tous les cas, les nouvelles adhésions à la LCR sont immédiatement intégrées au processus pour le renforcer. D’autre part, dans certains cas, le cadre de travail des municipales est maintenu et ne peut pas être confondu avec le cadre de construction du NPA. Il faut bien entendu prendre le temps nécessaire pour que les choses avancent sans rupture. Sur la question financière, les comités locaux vont se trouver, bon an mal an, et selon des modalités diverses, en situation d’autofinancement d’ici la coordination nationale du mois de juin. Dans ce contexte, la LCR participe, évidemment, localement, au financement du nouveau parti, en toute transparence.

Reste maintenant à tourner les comités NPA vers l’action, en organisant le transfert progressif des compétences des sections de la Ligue vers eux.

Ingrid Hayes
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