[film] Dans la vallée d'Elah

[Gaby]

De retour d'Irak pour sa première permission, Mike Deerfield disparaît mystérieusement et est signalé comme déserteur. Son père, Hank - un ancien membre de la Police Militaire - et sa mère Joan se lancent à sa recherche avec le concours d'Emily Sanders, officier de police de la juridiction du Nouveau-Mexique où Mike a été aperçu pour la dernière fois. Face au silence et à l'hostilité croissante des autorités militaires, Hank et Emily soupçonnent bientôt un coup fourré. Les indices troublants s'accumulent, et la vérité sur le séjour en Irak de Deerfield finit par éclater, bouleversant à jamais la vie de Hank et ses croyances...

Un bon film, bien servi par Lee Jones et Theron, qui traine parfois en longueur. Une sorte d'épisode de CSI (les Experts) sur plus de 2 heures. A travers l'histoire de cette famille, c'est l'allégorie de ces américains qui revendiquent "Protect the troops, bring them home".

Le film ne mérite pas sans doute pas le déluge de compliments qu'il semble obtenir, mais peut-être est-ce obligé pour un film qui est un des premiers à critiquer, avec un point de vue américano-centré, la guerre en Irak.

[Barikad]

Je l'ai vu hier soir.
Je n'ai pas trouvé qu'il y ait des longueurs. Le scenario est subtil, tout est suggeré, en evitant les caricatures faciles. Tommy Lee Jones est tres bon dans ce role d'ancien du Vietnam, patriote, un peu raciste, qui cherche à decouvrir la verité sur son fils et qui decouvrira en fait aussi beaucoup sur lui meme et sur l'institution qu'il venerait: l'armée.
Je ne sais pas si on peut le qualifier de film antimilitariste, mais certainement il amenera à reflechir.
C'est un film a voir, indeniablement.

[Ottokar]

Je confirme, j'ai bien aimé et au "Masque et la Plume" hier soir, eux aussi. Très intéressant sur comment le type de guerre menée en Irak, contre la population, détruit ces jeunes comme le Vietnam les avait détruits. Et le tout est fait assez subtilement, des USA et pas d'Irak, à travers les yeux du père qui ne s'était jamais posé de questions.

[clavez]

Je viens de le voire, plein, mais alors, vraiment plein d'émotions. La descente aux enfers des jeunes bidasses américains et leur destruction par la guerre d'irak est raccontée à travers le regard des parents....
On en ressort un peu émotionellement barbouillé.

Bien que le père ait fait la guerre du vietnam, il n'y a aucune comparaison de faite. Le parallèle et la différence d'embiance politique entre les deux périodes est frappante et glaçante.

[jedi69]

wesh les amis !!!

bien ou bien ?


Tout pareil, j'ai bien aimé.


Ca nous amène loin du L'Irak, "Les Rois du désert", autre film un peu plus politique, moins psychologique, bien efficace tous les deux. A voir avec un documentaire comme "Le monde selon Bush" ou un des documentaires de Mickael Moore dénonçant la guerre des Bush, Clinton & Co en Afghanistan, Irak etc, etc et leur politique dans la région du Moyen Orient et ailleurs(je sais plus le nom du doc :emb: . ). Je dis ça, parce que c'est trés psychologique quand même, le père qui arrive à comprendre, et à être écoeuré par cette nouvelle guerre, les dernières guerres qui lui prennent sa famille ... ouille ... je raconte le film ... :hinhin:


Bon, à voir !!! :dry:


a+

[bennie]

J'ai aimé ce fillm.

on y apprend un détail. La bannière étoilée mise à l'envers signifie "Nous sommes enb danger, aidez nous, nous se pouvons pas nous ensortir seuls"

Et bien,, ta photo est amériocaine, ailleurs, le drapeau est à l'envers, seulement aux USA, l'affiche ainsi faite aurait été inetrdire.

[Sterd]

Très bon film.

[zejarda]

j'ai bien aimé ce film. Beaucoup de finesse pour décrire les conséquences sur les soldats américains des horreur de la guerre.

A voir et faire voir.

[zejarda]

J'ai aimé ce fillm.

on y apprend un détail. La bannière étoilée mise à l'envers signifie "Nous sommes enb danger, aidez nous, nous se pouvons pas nous ensortir seuls"

Et bien,, ta photo est amériocaine, ailleurs, le drapeau est à l'envers, seulement aux USA, l'affiche ainsi faite aurait été inetrdire.
bien vu, je n'avais pas remarqué: