au départ une étude tout à fait sérieuse qui faisait apparaitre que des maïs sauvages avaient du se croiser avec des maïs domestiques et que leurs descendants sauvages étaient porteurs des genes introduits dans le maïs domestique..
l'intox commence apres.
quand d'autres équipes sont revenues un an et deux ans apres, elles ont constaté que les maïs sauvages n'étaient plus porteurs de ces genes qui avaient du etre éliminés par séléection naturelle.
Or, l'ensemble des organisations anti-ogm a continué à parler cde cette "contamination" (terme impropre mais que les anti-ogm aiment bien employer parce qu'il est associé à la maladie et l'empoisonnement) comme si cette "contamination" existait toujours.
Inf'OGM avait meme sous-entendu que le chercheur auteur de la première étude n'avait pas eu son contrat renouvellé par son université sur pression de Monsanto.
mais inf'ogm récidive et fait plus fort en reproduisant un communiqué qui explique que la preuve que la contamination génétique existe toujours, c'est ...qu'elle n'est plus détectable...
comme dit louis, inf'ogm est une organisation sérieuse qui ne dit pas n'importe quoi...
voila le communiqué publié par inf'ogm sans la moindre distanciation, sans la moindre critique méthodologique....vous jugerez du sérieux:
a écrit :
Vous trouverez ci-dessous le témoignage - en espagnol - de Aldo Gonzalez, de l’Union des organisations de la Sierra Juarez de Oaxaca (UNOSJO), Mexique, sur l’état d’avancement de la pollution génétique du maïs natif.
Ce texte récapitule le passé (découverte de la contamnation par Quist et Chapela en 2001, confirmation par l’institut d’écologie, analyses par les paysans eux-mêmes en 2003 avec dans 9 Etats du Mexique, 4 types diférents de PGM, avec parfois plusieurs événements de transformations dans la même plante, diverses plantes difformes... ; puis absence de contamination détectable en 2005 (Institut d’écologie).
Alors les paysans ont refait des analyses. Avec les moyens de detection de "la première année ils n’ont pas retrouvé les séquences introduites mais ils pensent que ces sequences ont été transformées dans la descendance, ce qui appuierait le caractère instable de la construction genetique artificielle et expliquerait qu’elles ne soient plus detectées........par contre les malformations prolifèrent. Autrement dit, le texte affirme : "On a été alarmés par le fait que nous ne retrouvions pas la présence de contamination sur les plantes déformées, ce qui nous fait supposer que les méthodes pour détecter la présence de contamination (qui ont été mises au pont par les mêms entreprises de semences transgéniques)) ne fonctionnent pas pour les générations postérieures à la première, et en conséqueunce,l a contamnation est hors de controle pour la comunauté sceintifique, parce qu’elle est invisble à ses méthodes de détection".
Maíz, contaminación transgénica y resistencia
Aldo González Rojas
Unión de Organizaciones de la Sierra Juárez, Oaxaca, S.C
bien entendu les analyses génétiques faites par les paysans eux-meme ou par le mysterieux institut d'écologie sont du pipeau...encore un instut bidon comme ne Inde avec les moutons soit dit en passant....mais depuis 2003 toutes les études ont constaté la disparition des transgenes dans le maïs sauvage...
quand aux malformations du mais sauvage, les attribuer à des transgenes inexistants c'est vraiment du grand n'importe quoi....
encore une escrocquerie intellectuelle....