(El convidado de piedra @ mardi 24 octobre 2006 à 19:04 a écrit : a écrit :mais cela ne peut masquer l'accord fondamental entre Staline et Mao qui consiste en penser possible et acceptable la substitution d'autres méthodes (par exemple la guerilla paysanne) à la lutte de classe du prolétariat, à l'autoémancipation des travailleurs.
Franchement...mais comment reflechissez vous?
Je viens de dire que la tactique de Staline (troisième période) a été exactement la meme preconisée par les trotskystes ( question villes ou campagnes, où tout les deux étaient pour les villes et pour les aventures coté stals) et Piter, dont je croyais qu'il utilisait sa tête pour autre chose que pour porter un chapeau, me sort "l'accord fondamental" (qui était en fait un désaccord tactique fondamental) entre Staline et Mao...mais, ils se relissent avant de poster?
Quant aux "autres méthodes" les dogmatiques invetérés ne connaissent que ceux dont on a entendu parler; meme si du coté d'où ils ont entendu parler, mais mal, il y a eu aussi "guerre de guerrilles" (meme qu'il y a eu plus d'un article de Lénine la dessus)...
Comme si les ouvriers devraient se limiter à quelques formes de lutte certifiées garantie purement ouvrières... Ce type de "raisonnement", le propre des intellos à des années lumière de tout souvenir d'une lutte aigue de classes revelent de leur indigence à penser avec leurs propres tetes, toujours pleins de trouille de s'éloigner d'une iota des texes, la seule "réalité" de la lutte de classes qu'ils connaissent.
Quant aux tirades anarchissantes sur "l'auto-emancipation des travailleurs" elles nient le role du parti (on va pas en auto, la classe va s'emanciper, pas s'auto-emancipe, nunace anarcho-syndicaliste) elles n'ont rien à faire dans la discusion.
Si, à noyer le poisson, vu que la classe ouvrière avait souffert une terrible défaite et elle ne pouvait que detacher que quelques ouvriers pour conserver le parti et continuer la lutte contre l'impérialisme et la réaction sous la forme d'une guerre de guerrilles; masi pas seulement comme cela, par la création des zones et territoires libérés (les conditions de la chine le permettaient) par le lancement de la réforme agraire; la liquidation des latifondistes et proprietaires riches, etc.
Une fois de plus,, je remarque l ' arrogance de Caupo : les trotskistes ne seraient donc que des dogmatiques qui ne comprenent rien à la lutte de classe , car ils ne veulent pas s' éloigner d'un iota des textes sacrés ."
Il prétend qu 'il n 'y a pas de luttes garanties purement ouvrières "
, Mais si , justement , ami Caupo , elles existent les luttes spécifiques de la classe ouvrière en tant que telles ,
avec leurs perspectives et leurs spécificités , communistes , internationalistes
Quelques points : indépendance politique , refus de rentrer dans des ententes qui amènent les travailleurs à ne pas distingue;leur lutte , leurs intérêts , de ceux d 'autres classes comme la petite bourgeoisie " démocrate"
Luttes au cours des quelles le prolétariat se trouve englobé dans des regroupements , avec de soi disant alliés qui se retournent immanqua&blemet contre lui au premier tournant ' Comme cela eut lieu avec l' " allié " qu 'était le Kuo ming tang de " gauche "
Les principes doivent être , donc ::
Rigoureuse indépendance politique , refus des coalitions de type frontiste : on peut conjoncturellemnt se retrouver " allié" de telle ou telle force sociale ( la paysannerie ) mais en auciun cas perdre de vues l' objectif principal: qui est d 'organiser sa propre dictature de classe .
Autre objectif : rattacher toujours sa lutte à des perspectives internationaliste
Mais tout ce problème est au fond celui de la Révolution permanente ( Trotski s 'est longueemnt expliqué là dessus ) et sur les rapports que doit établir le prolétariat avec la paysannerie par exemple et les partis la représentant , et au cours duquel il doit jalousement préserver son indépendance , néanmoins
Et affirmer ces principes essentiels , je ne vois pas en quoi c 'est être " dogmatique" et " pédants" .
Principes qui découlent justement de l 'expérience et non des textes de Marx ou de Lénine , lesqauels sont toiujours- parti de l 'expérience des masses pour écrire e qu 'ils ont écrit