Le mouvement lycéen continue

Message par Barikad » 10 Mars 2005, 00:53

[quote=" (Valiere @ mercredi 9 mars 2005 à 22:58"]
=D>

[quote=" "]
Vu le site et les autres interventions de l'auteur, je ne pense pas. Ca fait plutôt exagération sur le coup de la colère. Maintenant, je n'y étais pas. J'espère vraiment qu'on va organiser des vrais SO pour la manif du 15, vu que celle de demain ne devrait pas poser problème.  [/quote]


Quant aux sources, c'est sur le forum de discussion du SNES FSU

Et maintenant, grace à toi, sur le forum des amis de LO. :huh1:
Barikad
 
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Message par othar » 10 Mars 2005, 11:29

juste pour signaler que je suis un peu ecoeuré que Valière puisse nous livrer des témoignages aussi délirants (je n'ai même pas pu le lire jusqu'au bout c'est dire...)

quel manque de sérieux quand même
othar
 
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Message par Koceila » 10 Mars 2005, 17:15

En ce qui me concerne, le peu que j'ai put voir sur le sujet, a été diffusé à la télé mais ces bandes organisées existent et il faut se poser la question de savoir s'il ne s'agit pas effectivement d'agents provocateurs!

Vous savez ces gens ont existés à toutes les époques, et ont servi soit pour intimider soit leurs exactions contre les commerçants ou les passants donnent un bon pretexte à la repression!
Koceila
 
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Message par Koceila » 10 Mars 2005, 17:20

L'histoire du mouvement ouvrier est jonché de petites frappes et de
lumpen-prolétaires prêt pour une poignée de monnaie à servir de chien sanglant de la bourgoisie....... dans cette affaire je suis du côté des lycéens et de la classe ouvrière!
Koceila
 
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Message par logan » 10 Mars 2005, 17:33

Des bandes profitant des manifs pour se défouler il y en a toujours eu.
A l'évidence ce témoignage est un tissus d'âneries : 3 morts, rien que ça!! :rofl:


Ce message ne peut que décourager les jeunes qui se bougent les fesses, et un petit malin UMP souhaitant voir stopper le mouvement aurait très bien pu le poster.

logan
 
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Message par Koceila » 10 Mars 2005, 19:45

Quote AFP:

a écrit :Controverse sur les violences lors de la manifestation lycéenne à Paris



PARIS (AFP) - Des enseignants, des manifestants et des parents ont dénoncé les violences qui ont émaillé la manifestation de lycéens mardi à Paris et la "passivité" de la police, qui pour sa part se défend en invoquant les risques de dérapage.

Un collectif d'enseignants franciliens d'extrême gauche a dénoncé jeudi les conditions dans lesquelles ces violences se sont déroulées évoquant la possibilité de "provocation organisée pour contrer l'important développement de la mobilisation lycéenne".

Il a dénoncé "l'annonce de violences avant même la manifestation par (le ministère de) l'Intérieur" ou le "verrouillage policier de toutes les rues latérales sur le trajet empêchant de quitter la manifestation" comme la "non-intervention des forces de l'ordre quand les lycéens se sont fait agresser à quelques mètres d'eux".

La famille d'un lycéen, Tristan G., 16 ans, a lancé un "appel à témoins" après que l'adolescent eut été hospitalisé mardi après avoir été légèrement blessé lors d'une agression.

"Des bandes sont venues en nombre pour attaquer les manifestants et le très faible nombre de policiers blessés montrent bien qu'ils étaient là précisément dans le but de +casser+ du lycéen", a assuré sa famille.

"Il semble que la police était parfaitement au courant de leur venue et les a laissés faire pour briser la contestation lycéenne", a-t-elle ajouté.

Plusieurs officiers de police présents à la manifestation, spécialistes des violences urbaines, ont affirmé à l'AFP que la venue de casseurs -un millier sur un total de 9.000 manifestants selon son comptage- "avait été prévue et anticipée" et ont farouchement rejeté ces accusations.

"Interpeller avant, difficile", explique un officier des renseignements généraux. "En flagrant délit, dans la foule, c'est un risque de dérapage, d'émeute" et "c'est le B.A.BA du service d'ordre en pareils cas".

Dominique Achispon, du Syndicat national des officiers de police (SNOP, majoritaire), a déclaré à l'AFP que des "instructions" étaient données dans ce sens, ce qu'il estime "logique".

La préfecture de police de Paris (PP) s'est félicitée mardi soir du dispositif de sécurité mis en place "en liaison étroite avec les organisateurs".

Elle a constaté l'intrusion "d'éléments perturbateurs" dans le cortège, difficiles à détecter car ils avaient l'âge des manifestants et ont "donc pu infiltrer la manifestation sans réels problèmes".

Lors des manifestations du 15 février et de mardi à Paris, des journalistes de l'AFP ont assisté à une quinzaine d'agressions -souvent à coups de pied et de poing- commises, dans leur majorité, par de jeunes garçons d'origine africaine contre des jeunes filles et des jeunes gens blancs pour leur dérober leur téléphone portable.

Trente-deux jeunes gens, soupçonnés d'avoir agressé des lycéens, ont été placés en garde à vue à la suite des incidents. Ils sont soupçonnés d'avoir accumulé provocations et incidents tout au long du cortège, multipliant notamment les vols de téléphones portables.

Ces incidents ont entraîné la dispersion prématurée de la manifestation aux deux tiers de son parcours, à l'appel des organisations syndicales lycéennes organisatrices Fidl et UNL.



Que pensez-vous de cet article?

En tous cas, aujourd'hui je n'ai pas vu de casseurs à la manif!
Koceila
 
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Message par emman » 10 Mars 2005, 19:53

Il y a des casseurs dans les manifs de lycéens, mais rien à voir avec le faux témoignage posté ici par Valière. Il suffit de le lire pour s'apercevoir que c'est n'importe quoi, rien que la première phrase "qui ressemblaient à des trotskystes" est à mourir de rire.

Pour aujourd'hui, il y avait quelques bandes, il y a eu des bastons dans le métro pour arriver à la manif, du coup de nombreux manifestants ont du descendre à bastille ou quai de la Rapé. Il y a eu aussi de nombreuses interpellations tout au long du cortège par des flics en civil. Mais il leur était beaucoup plus difficile de se cacher dans un cortège d'adultes.
emman
 
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Message par othar » 10 Mars 2005, 20:15

(Koceila @ jeudi 10 mars 2005 à 19:45 a écrit :
En tous cas, aujourd'hui je n'ai pas vu de casseurs à la manif!

t'étais pas au "bon endroit" alors!

J'ai vu après-coups quelques camarades qui s'étaient faits bousculés et frappés par des petites bandes de jeunes, qui cherchaient à se planquer dans les cortèges.
(peut-être pour échapper aux flics entre 2 chapardages ou agressions?)

Mais pour l'instant, force et de constater que l'on est encore trop gentil avec eux.
Pour frapper un grand coup, je proposerais à l'avenir d'organiser quelques "mise-à-l'air" comme on disait quand j'étais collégien!

C'est très vexant surtout par les temps qui courent. :hinhin:
othar
 
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Message par ianovka » 10 Mars 2005, 20:17

(othar @ jeudi 10 mars 2005 à 20:15 a écrit : Pour frapper un grand coup, je proposerais à l'avenir d'organiser quelques "mise-à-l'air" comme on disait quand j'étais collégien!

:huh: C'est quoi ?
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