(emman @ a écrit :
Tu aurais donc été d'accord pour transformer l' AG Ile de France, relativement nombreuse, dynamique et combattive en une machine un peu bureaucratique ou les responsables syndicaux auraient comme à l'habitude pu y faire leures petites popotes entre eux ? Parce qu'évidemment, les bahuts n'étaient pas tous mobilisés au même niveau, et il est trés facile de se faire élire délégué quand on n'est pas trés nombreux en AG.
Je ne parle pas ici de la coordination nationale, mon avis dessus est bien moins tranché.
Non.
Mais s'il est facile de se faire élire là où il y a peu de monde mobilisé, à partir du moment ou le nombre de délégué est fonction du nombre présent à l'A.G. cela donne au final une représentation réelle du mouvement, incluant de fait les bahuts les plus en pointe et les grévistes les plus nombreux.
Il me semble que le travail pour discuter et convaincre les collègues se fait au plus près d'eux, du terrain, c'est à dire au niveau du bahut ou de la ville importante d'à côté.
A.G. régionale pourquoi pas mais avec l'objectif principal de la mise en place d'une coordination nationale sur la base d'1 délégué pour x votant.
Ce qui me gène donc le plus c'est le rapport vis à vis de la province.
Il me semble que les coordinations nationales étudiante, cheminote ou infirmière ont fonctionnées comme cela.
Valière,
quelle différence fais-tu entre comité central de grève et coordination nationale ?