J'ajouterais même que voir ces gens, en bons maoïstes, afficher de grands portraits de Staline sur le stand qu'ils avaient à notre fête m'a toujours fait frémir.
Tout ça pour dire que non seulement nous ne leur sommes pas liés, mais que le simple sentiment de fraternité qu'en tant que trotskyste, je pouvais éprouver à leur égard était très relatif. C'était d'ailleurs réciproque.