Valière,
si le CERES n'existe plus, le fait de considérer une aile "gauche" au PS (on ai toujours à la gauche de quelqu'un) comme partenaire de lutte acceptable est malheureusement toujours d'actualité...malgré les enseignements que l'on devrait en tirer !
Pour ce qui est "des moments d'actions communes", c'est pas le travail politico-syndical qui manque dans les entreprises et je suis preneur avec tous collègues, militants ou pas au PS, pour engager des luttes.
Ta volonté de "cadre permanent" m'apparait alors comme le désir de quelqu'un qui n'est pas en mesure d'intervenir en entreprise, comme un pis-aller politique.
Manu,
qu'il existe des militants de bases au PS qui sont intéressant, sans doute, mais il faut les distinguer (dans notre discours) d'avec leurs responsables, même quand il s'agit de courant "gauche" :
j' attaque les dirigeants, pas vraiment les militants de base, qui eux peuvent souhaiter sincèrement une politique anti-libérale (à définir quand même car jusqu'où se situe les revendications de l'anti-libéralisme), même si cette dernière reste une illusion; Cette alliance ne peut donc se faire avec ses militants que dans les luttes, seule véritable source de changement concret pour la classe.