bon, barikad, je propose une solution oecuménique : on fait d'abord la greve générale pour chasser le gouvernement CRS, et aprés je m'engage a défendre le FUO version cps :hinhin:
quand a juju, laissons le la ou il est !
(VALIERE @ jeudi 17 juin 2004 à 09:42 a écrit : Ce matin Julien Dray a annoncé la couleur à france inter...Le PS ne demande pas de nouvelles élections législatives....
Justement c'est là où les révolutionnaires peuvent marquer des points et aussi accentuer une crise ou du moins un débat dans les partis de gauche : l'assemblée nationale ne représente plus le pays... Dissolution...
Ce n'est pas la révolution mais de la politique!
a écrit :Vincent Peillon (NPS) réclame la dissolution de l'Assemblée nationale
[jeudi 17 juin 2004 - 09h11 heure de Paris]
PARIS (AFP) - Vincent Peillon, membre du courant Nouveau parti socialiste au PS, a demandé jeudi la dissolution de l'Assemblée nationale, en affirmant que le président Jacques Chirac et le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin "n'ont pas de légitimité pour l'action".
"L'intérêt du pays est qu'il y ait une majorité nouvelle", a déclaré le nouveau député européen sur LCI, en reprochant à MM. Chirac et Raffarin de "se confiner dans le cynisme et leurs petits problèmes" de succession à l'UMP.
Selon M. Peillon, "il ne faut pas dire que cela va très mal mais qu'on va attendre 2007", alors que mercredi soir, le premier secrétaire du PS François Hollande a appelé son parti "à maîtriser le temps" jusqu'aux prochaines échéances de 2007.
"Il faut demander la dissolution, il faut que les Français puissent voter", a dit l'ancien porte-parole du PS, en soulignant les revers électoraux de la majorité aux cantonales, régionales et européennes.
Vincent Peillon a affirmé que le pays est dirigé par "des gens qui ont mal gouverné, qui tiennent un discours cynique, qui ne veulent pas tenir compte du suffrage universel".
"Le Premier ministre n'a pas une mission à accomplir, il a une démission à donner", a-t-il jugé.
Il est plus radical que le PCF (voir ci-dessous) !!! :sygus:(Pierre Laurent de l'Humanité @ mardi 15 juin 2004 a écrit :La route vers 2007 peut être un parcours d’obstacles insurmontable pour la droite si elle s’entête dans la direction entreprise. Mais elle ne sera pas le long fleuve tranquille dont rêvent quelques présidentiables socialistes. Pour mener au changement, cette route devra être reconstruite avec les salariés, qui ont besoin de ce changement, en faisant de leurs attentes le coeur des transformations envisagées.
(VALIERE @ jeudi 17 juin 2004 à 10:50 a écrit : Julien Dray a sauté le pas, d'autres non... Tout ceci pour rappeler que la construction du parti des travailleurs s'effectuera avec des militants et militantes ches les alternatifs, au PS et au PCF.
Ce ne sont pas tous des traites notamment les "réformistes" mais des camarades qui prennent telle maison, faute de mieux
Faute de mieux ?
Mais la faute ne leur revient-elle pas de toute façon puisqu'ils pourraient très bien quitter leurs orgas pourries s'ils le voulaient pour fonder leur propre maison ? Mais le voudraient-ils seulement ? A mon humble avis, non. Ce sont des sociaux-démocrates depuis x années et ils n'ont rien à nous apporter, bien au contraire puisqu'ils nous entraîneraient vers de nouveaux échecs comme ils l'ont toujours faits. Rappellons par exemple qu'Henri Emmanuelli (du courant "Nouveau" Monde), avait été secrétaire du PS mais que le PS n'en a pas été changé pour autant et a poursuivi sa politique bourgeoise de casse sociale.
a écrit :les seuls du PS que je n'ai jamais connu étaient des aspirants au sous secrtétariat d'etat aux anciens combattants, pas des militants politiques
(VALIERE @ jeudi 17 juin 2004 à 11:11 a écrit : Avez vous discuté avec des militants de base du PS et du PC, peu de choses nous différent, de fait....
J'y suis passé par le PS puis par le PCF (quelques mois chacun) et je ne pense pas qu'il y ait grand chose à en tirer des militant-e-s de base qui y sont car ils sont complètement imbibés de "sociale"-"démo"cratie ou de dégénérescence de stalinisme. Cela ne veut pas dire qu'il faille tous les mettre dans le même sac que leurs dirigeant-e-s et qu'il faille refuser de discuter avec tous les militant-e-s de base (avec certains on peut discuter, mais avec d'autres cela ne sert à rien).
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