Pourquoi donc?
La LCR et LO, eux, en bons révolutionnaires, devraient eux aussi être boycotté. Mais ce n'est pas le cas. Je ne comprend pas, décidément. Mais sans doute que l'on va m'expliquer...
A moins que... non, je n'ose y croire... :whistling: :emb:
Voici le communiqué du PT, pour info...
a écrit :
COMMUNIQUE DE PRESSE – 19 MAI 2004
Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel vient de communiquer le temps d’antenne et le temps de parole pour la période du 26 avril au 14 mai qui ont été accordés par l’ensemble des chaînes de télévision aux partis politiques et aux têtes de liste pour les élections européennes du 13 juin.
Le Parti des travailleurs qui a annoncé dès le 19 avril à tous les medias qu’il présenterait 7 listes aux élections européennes, a eu 0 seconde de temps d’antenne et de temps de parole, le même temps d’ailleurs que pour l’ensemble des radios nationales.
Le Parti des travailleurs élève la plus vive protestation auprès du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel contre cette atteinte intolérable à la liberté d’expression et à la démocratie, qui veut qu’une nouvelle fois, comme cela s’était produit pendant la campagne de l’élection présidentielle de 2002, le Parti des travailleurs est victime d’un boycott systématique des medias audiovisuels qu’ils soient publics ou privés.
Le Parti des travailleurs demandera ce jour une rencontre aux PDG de toutes les chaînes de télévisions et de radios, pour que cesse immédiatement cet ostracisme contre le Parti des travailleurs.
Le Parti des travailleurs qui a déposé ses 7 listes dès le 17 mai, mène campagne pour la défense et la reconquête de la Sécurité sociale de 1945 basée sur le salaire différé, la restitution des 113,7 milliards d’euros d’exonérations accordées aux entreprises entre 1992 et 2002, contre la contre-réforme Douste-Blazy, pour la rupture avec l’Europe de Maastricht, appelle les travailleurs et les jeunes de la région parisienne à participer au rassemblement de masse qu’il organise le jeudi 10 juin à 18 heures devant Matignon, pour porter les 100 000 signatures au Premier ministre, pour dire :
« La Sécu, elle est à nous ! Rendez-la à la classe ouvrière ! »