Exclusif !

[ianovka]

Les "nouveaux" toutous de la bourgeoisie :

MINISTRES

Nicolas Sarkozy,
ministre d'Etat, ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie
François Fillon,
ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Dominique de Villepin,
ministre de l'Intérieur, de la Sécurité intérieure et des Libertés locales
Jean-Louis Borloo,
ministre de l'Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale
Michèle Alliot-Marie,
ministre de la Défense
Dominique Perben,
Garde des Sceaux, ministre de la Justice
Philippe Douste-Blazy,
ministre de la Santé et de la Protection sociale
Michel Barnier,
ministre des Affaires étrangères
Renaud Dutreil,
ministre de la Fonction publique
Serge Lepeltier,
ministre de l'Ecologie et du Développement durable
Renaud Donnedieu de Vabres,
ministre de la Culture et de la Communication
Marie-Josée Roig,
ministre de la Famille et de l'Enfance
Brigitte Girardin,
ministre de l'Outre-mer
Jean-François Lamour,
ministre de la Jeunesse, des Sports et de la vie associative
Nicole Ameline,
ministre de la Parité et de l'Egalité professionnelle

MINISTRES DELEGUES

Henri Cuq,
ministre délégué aux Relations avec le Parlement
Patrick Devedjian,
ministre délégué à l'Industrie
Christian Jacob,
ministre délégué aux PME, au Commerce, à l'Artisanat, aux professions libérales et à la consommation
François Loos,
ministre délégué au Commerce extérieur
François d'Aubert,
ministre délégué au Commerce extérieur
Jean-François Copé,
ministre délégué à l'intérieur
Gérard Larcher,
ministre délégué aux relations du travail
Nelly Olin,
ministre déléguée à la lutte contre la précarité et l'exclusion
Hamlaoui Mékachéra,
ministre délégué aux Anciens combattants
Claudie Haigneré,
ministre déléguée aux Affaires européennes
Xavier Darcos,
ministre délégué à la Coopération, au développement et à la francophonie
Hubert Falco,
ministre délégué aux Personnes âgées
Léon Bertrand,
ministre délégué au Tourisme

On prend les mêmes, on mélange un peu et voilà !

[sophie]

elle ets plus la dans le gouvernement nicole Guedj ??

tu crois que c'est parceque elle a manifesté avec ni putes ni soumises le 8 mars ?

[logan]

Nicolas Sarkozy,
ministre d'Etat, ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie

Jean-Louis Borloo,
ministre de l'Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale

hébé ça promet...

[Harpo]

C'est bizarre, ils n'ont pas mis Juppé à la Santé ?

[Bertrand]

C'est bizarre, ils n'ont pas mis Juppé à la Santé ?
:sygus: :sygus: :sygus:

[lohen]

C'est Chirac qu'il faut mettre à la Santé!

[boispikeur]

Un passage d'un article du Monde sur Sarko

...la campagne pour les élections régionales lui a donné l'occasion d'une nouvelle démonstration de force. Multipliant les réunions publiques, le ministre de l'intérieur s'y est surtout exprimé sur la sécurité ; mais à Lille, le 24 mars, il a vigoureusement insisté sur la valeur que l'Etat doit accorder au travail. "Ce n'est pas juste d'aider avec les impôts de ceux qui travaillent une personne qui n'est pas décidée à fournir les efforts personnels pour s'en sortir", déclarait-il, semblant stigmatiser certaines catégories de chômeurs.

L'intérêt du nouveau ministre pour l'économie ne s'est jamais démenti. Dans la période précédant la présidentielle de 2002, M. Sarkozy avait multiplié les rencontres avec des chefs d'entreprise pour préparer l'accession à Matignon qu'il convoitait. La baisse résolue des impôts constituait alors l'un des points forts de son programme. Sur ce sujet, il se situait sur la même ligne que M. Chirac, qui, une fois réélu, a imposé à M. Raffarin la baisse de la fiscalité directe.

M. Sarkozy entretient, en outre, des liens amicaux, avec plusieurs dirigeants d'entreprise, tels Martin Bouygues ou les publicitaires Thierry Saussez et Jean-Michel Goudard. Son frère aîné, Guillaume Sarkozy, vice-président du Medef, va devenir l'un de ses interlocuteurs.

Dans les derniers chapitres de son livre Libre (Robert Laffont, 2001), il résumait pour ses lecteurs les grands axes d'une politique économique. Il y déclarait son hostilité aux 35 heures, instaurées par Martine Aubry sous le gouvernement Jospin, mais dénonçait surtout le poids, à ses yeux abusif, de la fiscalité sur les revenus des Français. "L'objectif qui consiste à limiter les prélèvements de l'Etat à un maximum de 50 % doit être considéré comme un minimum", écrivait-il. "En l'occurrence, ajoutait-il, il ne s'agit ni d'économie, ni de politique, ni même de fiscalité... mais tout simplement de bon sens."

M. Sarkozy s'engageait, enfin, en faveur d'une réforme des droits de succession, tant pour les entreprises que pour les particuliers. S'inspirant d'Yvon Gattaz, ancien président du CNPF, la confédération patronale, l'auteur de Libren'écartait pas l'idée d'une exonération pour les entreprises, mais souhaitait "un nouvel angle" pour aborder la question.
[...]
Conclusion ? "Il va de soi que, pour les successions les plus importantes, l'impôt subsisterait à l'image de ce qu'est l'impôt sur la fortune. Mais ainsi serait-il du moins possible d'exonérer la plupart des Français des droits de succession en triplant la part exonérée d'aujourd'hui et en la portant à un million de francs par enfant."

Que dire d'autre que :headonwall: ?

[alex]

elle ets plus la dans le gouvernement nicole Guedj ??

tu crois que c'est parceque elle a manifesté avec ni putes ni soumises le 8 mars ?

Mais si, t'inquiète!
Elle est secrétaire d'Etat en charge du Droit des victimes.

[sophie]

AH bon ? je pensais qu'elle avait été exclue de l'UMP apres avoir manifestée en tête du cortège de Ni putes ni Soumises le 8 mars à paris...