a écrit :En 2003 le déficit des finances publiques frole les 1000 milliards d'€.
:nono:
La dette, pas le déficit !
(cela dit, ça fait lourd quand même)
a écrit :En 2003 le déficit des finances publiques frole les 1000 milliards d'€.
(wolf @ mardi 16 mars 2004 à 10:24 a écrit : Non ça ne relève pas d'un choix.
C'est l'expression de l'impasse historique du capitalisme, à son époque impérialiste.
Les dettes ne correspondent pas seulement à des "cadeaux". Elles correspondent à toute l'intervention cumulée de l'Etat dans l'économie depuis des décennies pour éviter que toute la machine ne se grippe totalement, dépenses qui n'ont pas été payée en retour par un accroissement suffisant de la richesse sociale, et donc des rentrées d'impôts correspondants qui auraient permis à l'Etat de rentrer dans ses frais.
Les faux frais du fonctionnement du système dévorent plus que ce que ce système rapporte. Voilà ce qui est exprimé: pas de l'incompétence (qui joue marginalement), et pas des "mauvais choix".
Sinon c'est qu'il y en aurait donc d'autres possibles sous le capitalisme, et des "bons"?
Je voulais parler de choix de sociéte, je suis bein sur d'accord avec toi que la réforme du capitalisme n'est pas possible.
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