Vous faites preuve d'un très beau lyrisme 'endiablé' dans votre post en faveur d'un surpassement des obstacles que cette forme d'expression rend aisé mais il ne s'agit pas de science.
Je vous cite :
a écrit :"espèces nuisibles incontrolables" relevent plus d'une conception de mauvais film d'horreur que d'autre chose.
Non, hélas, il ne s'agit pas de film d'horreur, mais de la vie et c'est toute la question, me semble-t-il, de la confusion qui est malignement entretenue entre la fiction qui, elle, est contrôlée et la vie qui, elle, est une réalité beaucoup trop complexe.
Folamour est de retour !
En effet, les craintes de guerre bactériologique sont fondées, elles s'appuient sur des connaissances.
L'histoire a connu de nombreuse Pandémies comme la peste... c'est de celà dont il s'agit, c'est aussi de l'extinction d'espèces pouvant être des ressources alimentaires de base et c'est aussi de nombreuses dégradations probables.
Vous ne portez aucun argument scientifique critique relatif à mon post, c'est pourtant sur ce terrain qu'il convient d'argumenter et non de dire en substance, et si je vous résume bien : "je ne sais pas mais, il serait rétrograde de ne pas avancer". Revenons plutôt à la science.
Pour évaluer les probabilités de risques, considérez qu'en l'absence d'intervention humaine, des mutations se produisent naturellement. Considérez les difficultés que nous rencontrons déjà à maintenir un équilibre favorable à l'espèce humaine, vous pouvez penser, en particulier, au Sida, au SRAS... contre lesquels nous n'avons toujours pas de remède de guérison, à nombre de maladies plus ou moins graves et plus ou moins fréquentes contre lesquelles nous n'avons pas non plus de remède de guérison.
L'éco-système intègre d'ores et déjà, par les mutations, nombre de causes naturelles de maladies qui se renouvellent selon une certaine fréquence. Nous savons que nous allons devoir inventer de nouveaux vaccins. Des études projectives ont été réalisées qui révèlent nos carences à venir à cet égard. Elles n'admettent pas de solution aujourd'hui, il faudra donc inventer de nouveaux vaccins adaptés.
L'homme est en mesure d'accélérer considérablement et artificiellement les processus de mutation, soit directement en agissant sur les organismes, soit indirectement en créant de nouveaux supports de développements.
Pouvez-vous indiquer, en termes de probabilités, et décrire ce que l'homme est sur le point de réaliser ?