Pour se détendre, un graphique sur la situation du covid19 en France

Cyrano a écrit :4/ Elections municipales (45M d'inscrits)! 15 Mars
C'est bien au milieu de la panique épidémique que se déroulent les élections.
Alors que c'était évident que le deuxième tour ne pourrait se tenir. Mais personne, personne dans les groupes politiques ont réclamé le report : c'est une sacrée addiction, les élections.
Cyrano a écrit :4/ Elections municipales (45M d'inscrits)! 15 Mars
C'est bien au milieu de la panique épidémique que se déroulent les élections.
Alors que c'était évident que le deuxième tour ne pourrait se tenir. Mais personne, personne dans les groupes politiques ont réclamé le report : c'est une sacrée addiction, les élections.
Mais, ils ne pouvaient pas l'avoir "demander du lait à un bouc..."Zelda_Zbak a écrit :Pas un parti qui n'a eu ce cran.
Un directeur d'ARS veut poursuivre les fermetures de lits, le ministre de la santé temporise
Des propos du directeur de l'Agence régionale de santé (ARS) Grand-Est estimant qu'il n'y a "pas de raison" d'interrompre les suppression de postes et de lits au CHRU de Nancy ont suscité un tollé ce week-end, en pleine épidémie due au coronavirus, avant que le ministre de la santé n'essaye de temporiser.
Interrogé vendredi lors d'une conférence de presse téléphonique sur la situation épidémique dans le Grand-Est, Christophe Lannelongue a estimé qu'il n'y avait "pas de raison de remettre en cause" un plan qui prévoit la suppression sur cinq ans de 174 lits (sur 1 577 en 2018) et de 598 postes au CHRU de Nancy (sur environ 9 000). "Nous aurons quelques semaines de retard mais la trajectoire restera la même", avait-il ajouté.
Le maire de Nancy, Laurent Hénart, a dénoncé dans un Tweet cette position "déconcertante et indécente", avant d'ajouter dans l'Est Républicain que "l'hôpital demain" aura besoin de "plus de lits", celui de Nancy compris.
En réponse à de nombreuses interpellations d'élus locaux, le ministre de la santé, Olivier Véran, a tenté d'éteindre la polémique en indiquant sur Twitter que "tous les plans de réorganisation sont évidemment suspendus à la grande consultation qui suivra" cette crise du Covid-19.
CHRU de Nancy
L’ARS maintient les fermetures de lits et les suppressions de postes !
Lors de son point de presse de vendredi 3 avril, le directeur de l’Agence régionale de la Santé a déclaré qu’il n’y a « pas de raison de remettre en cause le Copermo [Comité interministériel de performance et de la modernisation de l'offre de soins] pour le CHRU ». En clair, le représentant du gouvernement en matière de santé pour la région Grand Est maintient les 174 fermetures de lits et les 598 suppressions de postes qui étaient prévues pour les cinq ans à venir par le Copermo.
En plein dans la tourmente, pendant que les soignants se battent jour et nuit pour sauver des vies, alors que le pic de l’épidémie n’est pas encore atteint, c’est une véritable provocation. Mais c’est aussi un avertissement.
Faute de lits, de soignants, de matériel, de médicaments, les hôpitaux sont débordés, au point qu’ils ont dû abandonner toute leur activité dite non urgente et qu’il a fallu transférer plus de 250 malades dans les autres régions ou dans les pays voisins : le moins que l’on puisse dire c’est que les hôpitaux n’étaient pas du tout préparés à affronter une telle épidémie.
Et, tandis que Macron raconte que « la santé gratuite et l’Etat providence ne sont pas des coûts ou des charges mais des biens précieux », son administration continue de mettre en œuvre les plans d’économies qui ont mis les hôpitaux dans cette situation.
Non, ils ne tireront pas les leçons de cette crise sanitaire, car leur politique c’est d’aider les riches à s’enrichir quoi qu’il en coût
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