Une référence pour ceux que ça intéresse VRAIMENT d'avoir l'avis d'un scientifique sur les certains risques potentiels liés au développement de certaines technologies :
POUR UN CATASTROPHISME ECLAIRE (editions du seuil 2002) Jean-Pierre Dupuy, professeur à l'université de Standford et à l'Ecole polytechnique, membre du Conseil général des Mines.
Encore un dangereux obscurantiste, parvenu au coeur de la machine technoélitiste française...
Extrait :
"Celle-ci (l'humanité) est devenue capable de s'anéantir elle-même. Nous le savons, mais nous n'y croyons pas : c'est cela le principal obstacle à une prise de conscience, et non pas l'incertitude scientifique dont les théoriciens de la précaution nous rabattent les oreilles". [/quote] Moi j'aurai plutôt dit "le capitalisme est capable d'anéantir l'humanité". De là plutôt que d'en déduire qu'il faut briser les machines, j'en conclurait qu'il faut renverser le capitalisme. Et donc la seule revendication qui mette en avant le fait que c'est la gestion de la production par la bourgeoisie qui est responsable de ce risque, et que la seule alternative est une gestion socialisée par les travailleurs eux-même est le contrôle ouvrier de la production. Pour LCR, sur la manière dont tu détailles ton "catalogue" de mots d'ordre, je ne te suis pas par exemple sur l'extension du pouvoir des CHS, c'est comme si l'on déclianit le contrôle des comptes sur le thème de l'extension des compétences des CE. Ce qui doit être mis en avant c'est la nécessité de l'organisation des travailleurs pour contrôler collectivement la production (que ce soit au niveau des comptes ou des normes de sécurité).
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Barnabé
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par Louis » 30 Sep 2003, 12:21
en fait, effectivement, j'avais en tete le cote "controle ouvrier" mais aussi en tenant compte des réalités objectives Les Comités d'entreprises sont assez loin d'un véritable controle ouvrier Ce que je disais, c'est qu'il fallait envisager les problemes de pollution et d'impacts écologiques du progrès comme une extension de ce controle ouvrier (donc que les structures en question s'occupent aussi de ce controle en question)
personnelement, j'ai fait partie longtemps d'un chsct Je pense que dans la société capitaliste, la question de la sécurité du travailleur pour ce qu'il produit est une chose importante (quand on voit les conséquences désastreuses des conditions de travail par exemple) Et je pensais que ces problemes d'écologies pouvaient se voir comme une extension de la notion de "sécurité"
ce qui a une conséquence, c'est de "sortir" le controle ouvrier de l'entreprise et d'en faire un lien avec les populations
sinon, il y a effectivement la question de la participation des travailleurs a ce genre de structure Question pas forcément simple, parce que le fait d'y etre efficace demande aussi une formation et des compétences particulieres..
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Louis
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par Louis » 30 Sep 2003, 18:00
Dans rouge
CITATION | Agroindustries et biotechnologies La nouvelle offensive du grand capital La tentaculaire firme Monsanto Paysans interpellés
Les multinationales de l'agroalimentaire et du complexe génético-industriel veulent assurer leur domination sociale et s'approprier le vivant, pour leurs plus grands profits. La résistance s'organise.
Initialement constituée avec pour drapeau la taxation des mouvements spéculatifs de capitaux et le combat contre les paradis fiscaux, l'association Attac (1) a rapidement affirmé sa présence sur d'autres terrains, comme la défense des retraites face à la menace des fonds de pension. Son conseil scientifique vient aussi de lancer un appel visant à empêcher le hold-up des entreprises transnationales sur le vivant, élargissant ainsi son action contre la dictature des marchés au domaine crucial des biotechnologies et de l'agroindustrie. Cette évolution est symptomatique. On assiste en effet à une prise de conscience générale, à un véritable renversement de perpectives. Il y a peu, à gauche, l'agriculture était souvent considérée comme une question marginale. Le poids démographique et social des campagne n'était-il pas devenu négligeable? Le spectre de la crise alimentaire n'avait-il pas été chassé par le progrès technique et industriel? Il était certes toujours nécessaire d'affirmer sa solidarité avec les paysanneries du Sud, mais le Nord se voulait résolument urbain. Aujourd'hui pourtant, l'agroalimentaire s'affiche à nouveau à la "une" des médias et des préoccupations. Il y a de très bonnes raisons à cela, tant les problèmes posés s'avèrent fondamentaux. Premier temps: la succession des "affaires" -de la vache folle britannique à la peste porcine néerlandaise et au poulet belge- exprime les dérives et risques inhérents au développement d'une gigantesque agroindustrie en quête du profit maximum; ce qui fait dire à François Dufour, porte-parole de la Confédération paysanne, qu'"aucune mesure au coup par coup ne réglera des problèmes qui ont pour origine l'imposition d'un modèle productiviste organisé, via la PAC (2), au seul bénéfice des lobbies de l'agroalimentaire, et en premier lieu des transnationales de l'alimentation animale, de la production d'antibiotiques et d'activateurs de croissances" (Le Monde diplomatique, juillet 1999). De même, pour Patrick Piro, avec le scandale de la dioxine, "c'est tout un système de production qui se trouve remis en cause, dont les frontières géographiques dépassent largement la Belgique. Plusieurs défaillances graves sont pointées: un contrôle fautif de la chaîne alimentaire, un productivisme frénétique, un système d'alerte inadapté" (Politis, 10 juin 1999).
L'intérêt du capital
Deuxième temps, les logiques de pouvoir propre au grand capital s'affirment sans fard. Les multinationales de l'agroalimentaire, qu'elles soient américaines (Monsanto, DuPont-Pioneer...) ou européennes (Novartis, Bayer, Rhône-Poulenc-Hoechst...), se parent du masque humaniste, affirmant être seules à même de répondre aux besoins de la population mondiale. Hier déjà, l'idéal affiché résistait mal à l'épreuve des faits: ces firmes faisaient tout ce qu'elles pouvaient pour se subordonner l'agriculteur et éliminer les productions (notamment vivrières) échappant à leur contrôle. Il a, aujourd'hui, volé en éclat avec la mise au point du brevet Terminator, racheté par Monsanto (voir encadré): un gène introduit artificiellement libère, quand la plante arrive à maturité, une toxine qui stérilise ses graines. Le paysan ne pourra plus les utiliser pour sa prochaine récolte et sera totalement dépendant de son fournisseur. Ce dernier, en revanche, grâce à une autre modification génétique, neutralise quand il veut le gène Terminator pour produire les graines qu'il vendra. D'un point de vue capitaliste, l'invention est géniale, permettant de créer un immense marché captif. D'un point de vue humain, il s'agit d'une "nécrotechnologie" qui n'aurait jamais dû voir le jour: la logique du profit marchand s'oppose ici frontalement aux besoin social. Troisième temps, la recherche est mise au pas marchand. Ce sont des chercheurs qui ont mis au point la technique Terminator; comme d'autres les armes anticivils et antipopulation, y compris de destruction massive. A l'instar du nucléaire, la biogénétique intègre profondément un pan du corps scientifique aux structures de pouvoir capitaliste. A l'instar du nucléaire toujours, le problème s'avère français et non seulement américain. Claude Allègre a ainsi déclaré, à propos du programme gouvernemental Génoplante de brevetage du génome, que "les chercheurs n'auront plus a raser les murs lorsqu'ils feront du business". Une affirmation qui provoque des remous jusqu'au sein de l'Institut nationale de la recherche agronomique: pour Jean-Pierre Berlan, directeur de recherche Inra/Ctesi, "c'est une erreur stratégique. Il s'agit de socialiser avec l'argent public les coûts de développement d'OGM par quelques firmes transnationales, et ceci au nom de la compétitivité d'une inexistante "entreprise France"!" (Politis, 25 mars 1999).
S'approprier le vivant
Quatrième temps, le complexe génético-industriel veut privatiser et s'approprier le vivant même: toute manipulation génétique assurerait un "droit de propriété intellectuel". Ce qui, comme le note Jean-Paul Maréchal, "crée une double ligne de fracture". Les pays du Sud, "qui détiennent la plus grande partie de la diversité biologique de la planète, font valoir que la richesse variétale qui intéresse tant les firmes occidentales est souvent l'oeuvre de plusieurs siècles d'agriculture traditionnelle": les transnationales volent les paysans du tiers monde. Mais, "deuxième ligne de fracture", un débat oppose ceux pour qui, au Nord comme au Sud, "le patrimoine génétique mondial est assimilable à une marchandise" à ceux pour qui "il doit demeurer (ou redevenir) patrimoine commun de l'humanité" (Le Monde diplomatique, juillet 1999). Nous touchons ici au fond du problème. Par le biais de l'agroindustrie et de la biotechnologie, le grand capital veut aujourd'hui imposer son droit de propriété -et la dictature des marchés- sur le vivant, en l'assimilant à une marchandise ordinaire. Alors que l'on sait le nouveau désastre social et culturel que cela implique, par la dépossession des producteurs et des consommateurs. Alors que l'on perçoit l'immense risque environnemental et sanitaire que cela comporte. Alors, aussi, qu'il s'agit d'un saut dans l'inconnu juridique: qui possédera les parcelles d'un corps humain soigné avec un brevet transgénique? qui sera tenu responsable des maladies et désastres provoqués par la dispersion des OGM? (3) Il faut, comme le fait la Confédération paysanne, affirmer une autre logique d'ensemble; retirer à l'OMC (4) le droit de statuer sur de telles questions; imposer des mesures d'urgences, telles celles présentées pour Attac: moratoire sur les OGM, abandon de la directive européenne sur la protection juridique des inventions biotechnologiques, arrêt du projet Génoplante, proclamation d'un nouveau droit humain: la reconnaissance du vivant et des ressources génétiques en tant que bien commun de l'humanité.
Pierre Rousset
1. Attac: Association pour la taxation des transactions financières pour l'aide aux citoyens. 2. PAC: Politique agricole commune (nom de la politique agricole déployée au sein de l'UE par l'intermédiaire de la Commission de Bruxelles). 3. OGM: Organisme génétiquement manipulé. 4. OMC: Organisation mondiale du commerce.
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La tentaculaire firme Monsanto
Hier spécialisée dans la chimie, la firme américaine Monsanto opère dans l'agriculture, l'alimention, la santé. Elle a plus d'un scandale à la pollution rattaché à sa réputation. Elle symbolise aussi cette volonté de contrôle social propre aux grandes transnationales de l'agroindustrie. Monsanto produit Roundup, l'herbicide le plus vendu au monde. Ainsi que la semence dans laquelle a été introduite Roundup Ready, un gène de résistance à l'herbicide qui permet de traiter en bloc les cultures: seule la plante transgénique survit à l'épandage. Monsanto vend en kit l'herbicide et l'OGM. Elle interdit, par contrat, aux agriculteurs d'utiliser l'année suivante les graines obtenues lors de la récolte, pour les obliger à racheter la totalité des semences dont ils ont besoin. Elle n'hésite pas à envoyer des détectives privés imposer le respect du contrat... Monsanto a compris la portée du "Technology Protection System", ce brevet, appelé "Terminator" et déposé le 3 mars 1998 par le département américain de l'Agriculture (USDA) et la Delta and Pine Land Company, qui rend les plantes stériles grâce à l'introduction d'un gène. Elle a racheté le brevet. Quand il sera commercialisé, il ne sera plus besoin d'envoyer détectives et avocats arpenter les campagnes, les grains récoltés par les agriculteurs ne pouvant plus germer... Monsanto achète de la pub par pleines pages pour annoncer que dorénavant, elle se "consacre exclusivement aux sciences de la vie" (Le Monde, 18 juin 1998). C'est joliment dit. Mais quand la revue britannique The Ecologist veut publier un numéro spécial (septembre-octobre 1998) consacré à sa part d'ombre, elle prend langue avec l'imprimeur... qui met sa production au pilon sans même en référer aux intéressés; et les distributeurs organisent le boycott de la revue, jusqu'à ce que le scandale éclate publiquement. Un dossier sulfureux, donc, que celui de l'Ecologist, que le Courrier international vient de publier en version française, dans sa livraison du premier juillet 1999. Pour tout savoir sur Monsanto.
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Paysans interpellés
Le 22 juin, des militants de la Confédération paysanne des départements de l'Aveyron, de l'Hérault, de la Lozère et du Gard ont été interpellés à leurs domiciles. Deux semaines auparavant, le 5 juin, ils avaient détruits, en compagnie d'une délégation de paysans indiens, des expérimentations de riz transgénique au Centre international de recherche agronomique pour le développement (Cirad) de Montpellier. Dans un communiqué, la Confédération paysanne rappelle que "cette action avait pour objectif unique de dénoncer les inadmissibles dérives de la recherche publique française, et notamment du Cirad, en matière d'OGM". Elle relève que "depuis plusieurs années, cet organisme public développe une politique de recherche visant à favoriser le développement des OGM" et cite l'une de ses notes internes qui prévoit le "déploiement de variétés transgéniques (de riz) en Camargue". Elle souligne que "ces recherches sont financées en grande partie par la multinationale agrochimique et semencière Agr-Evo", le riz transgénique en question devant résister à son herbicide vedette, le glufosinate d'amonium (Basta). "C'est pourquoi la Confédération paysanne nationale apporte son total soutien aux militants interpellés."
- Pour manifester votre solidarité et pour toute information complémentaire: Confédération paysanne, 81, avenue de la République, 93170 Bagnolet, tél.: 01 43 62 04 04. [/quote]
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Louis
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par cockney red » 06 Oct 2003, 12:30
CITATION | - AFP - 02 octobre 2003 : Echec de deux tests de cultures transgéniques en Grande-Bretagne
Les cultures expérimentales de deux types d'organismes génétiquement modifiés (OGM) ont révélé qu'ils étaient plus mauvais pour l'environnement que les cultures traditionnelles et qu'ils ne devraient pas être commercialisés, indique jeudi le quotidien londonien The Guardian.
Selon ce journal, des scientifiques vont informer la semaine prochaine le gouvernement de leurs conclusions sur les cultures transgéniques de graines de colza et de betteraves à sucre qui se sont révélées néfastes pour les plantes et les insectes. Ce jugement constitue un sérieux revers pour le lobby des OGM en Grande-Bretagne et en Europe, selon le Guardian. La troisième culture d'OGM testée dans le pays, du maïs transgénique, permet à davantage de mauvaises herbes et d'insectes de survivre et pourrait donc être recommandée pour recevoir une autorisation officielle, bien que certains scientifiques émettent encore des réserves, selon les conclusions de l'étude qui doit être publiée le 10 octobre dans un journal scientifique, "Philosophical Transactions of the Royal Society".
Ce journal publiera les résultats de trois années d'expérimentations en plein champ, la plus grande jamais réalisée sur ce type sur des cultures transgéniques, selon The Guardian. [/quote]
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cockney red
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par Louis » 06 Oct 2003, 22:44
caupo, tu es bien gentil, mais tu n'a pas un esprit bien scientifique
Il est clair que la science et la techniques progressent aussi (c'est pas leur seul méthode) par "essais erreurs" : on essaye un truc, ca marche pas, on modifie le truc, ca marche toujours pas, et a la troisieme modification ça consent a fonctionner
Mais bon, la science est pleine de choses qui ne fonctionnaient pas au début, mais qui après se sont mises a fonctionner quand meme (ah ! si vous étiez la lors de la création de la roue, la crise de rire ! ca fonctionnera jamais ce truc) mais il existe aussi plein de choses pourtant prometteuses et qui au final n'ont rien donné ! qui se souvient des mémoires a bulles magnétiques ?
La question des ogm n'est pas celle d'une technique qui marche et qui est en butte a l'obscurentisme religieux, mais c'est surtout un enjeux industriel et commercial qui incitent leurs défenseurs (qui peuvent aussi etre des labo publics payé par le privé) a un manque de transparence évident !
Je rapelle ce que j'estimait une politique "écologique" vue dans une optique communiste au chapitre des ogm
CITATION | * poursuite du moratoire europeen [/quote] Ce moratoire est censé permettre de se faire une idée plus exacte des possibilités réelles des ogm, de leurs nuisances éventuelles et de leur risques
CITATION | obligation de faire figurer les ogm sur toutes les productions en contenant[/quote] en baissant le seuil tolérable de 3% à 1%
CITATION | interdictions des recherches pouvant avoir un risque de dissémination[/quote] Donc obligation de recherches dans des serres ou des labo CITATION | Etude d'impact sur les productions agricoles par une structure indépendante des labo privé et des structures de recherche subventionnées par les firmes privées [/quote]
CITATION | interdiction des financements par les firmes produisant des ogm des recherche de l'inria ou d'autres centres de recherches publics [/quote]
Je ne vois pas en quoi ces quelques points, qui me semblent de simple bon sens, s'oposent au communisme Mais peut etre caupo me l'expliquera...
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Louis
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par cockney red » 07 Oct 2003, 08:50
"On s'est pas fini en engueulade parce que je la joue "unité des travauilleurs". Ca lui passera avec le temps."
Tu es trop bon. Tu la "joues aussi unité des travailleurs" quand tu entends des énormités homophobes, machistes et racistes ?
Et surtout tu as raison de la jouer profil bas si c 'est pour énoncer des propos de comptoir pareils.
Mettre sur le même plan une question de vie ou de mort (le transplant cardiaque) et les OGM, qui dans leur utilisation agricole ne servent à rien ni personne (sauf aux labos et multinationales) et encore moins aux plus démunis est un drôle de procédé.
Je rappelle à toute fin utile, que personne ne s'oppose à des cultures transgéniques à des fins médicales, à conditions qu'elles soient réalisées en espace fermé. Un peu comme les expériences bactériologiques, il vaut mieux les réaliser en labo P4 que dans sa salle de bain.
Question d'hygiène.
Je sens que mon passage parmi vous sera de courte durée si je continue sur ce ton. Incorrigible associaliste.
I'm bad ! Je suis le Michael Jackson du pivertisme.
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cockney red
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par Louis » 07 Oct 2003, 17:54
mais le camarade caupo ne m'a pas dit ce qu'il y avait de profondément réactionnaire et pour tout dire idéaliste dans la série de proposition que je faisait sur les ogm (pour enrichir le futur accord lo lcr Mais, plus fondamentalement, pour les problemes "écologistes" en général, les problemes d'environnement en particulier j'envisage les problemes écologistes en général comme un cas particulier des problemes de "sécurité au travail" puisque dans leur grande majorité, les risques écologiques qu'ils font courir a la population, les travailleurs en sont les premieres victimes C'est pour ça que je pense que les travailleurs doivent etre les premiers a étudier, estimer les risques etc... Ce qui fondrait aussi un instrument de liaison et de collaboration entre les travailleurs et la population Dans mon premier message, je partait de l'existence des CHSCT (comités d'hygiene et de sécurité du travail) et proposait qu'on étende leurs missions dans ce sens Bien évidemment, cela n'empeche pas qu'on redéfinisse les modes de fonctionnements des chsct, leurs pouvoirs, etc etc Dit caupo, pourquoi tu reste si silencieux ?
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Louis
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