(Sinoue @ mardi 26 juin 2012 à 01:45 a écrit : Visiblement ce combat identitaire passait souvent bien plus en avant que les revendications sociales. Espérons que ce mouvement étudiant sur fond de crise va remettre les pendules à l'heure.
(artza @ mardi 26 juin 2012 à 09:01 a écrit :(Sinoue @ mardi 26 juin 2012 à 01:45 a écrit : Espérons que ce mouvement étudiant sur fond de crise va remettre les pendules à l'heure.
(Sinoue @ mercredi 27 juin 2012 à 00:20 a écrit :(artza @ mardi 26 juin 2012 à 09:01 a écrit :(Sinoue @ mardi 26 juin 2012 à 01:45 a écrit : Espérons que ce mouvement étudiant sur fond de crise va remettre les pendules à l'heure.
Voilà qui serait étonnant!
Pourquoi? Je veux dire qu'est-ce qui te fait affirmer ça avec autant d'appoint? Tu penses qu'un mouvement étudiant qui ne resterait que sur ses propres bases ne peut joindre ses revendications avec celles des travailleurs? C'est un problème de période?
a écrit :L'un des aspects centraux de la critique révolutionnaire du nationalisme est qu'il s'agit d'une idéologie essentiellement bourgeoise qui a pour but d'unir deux classes aux intérêts antagonistes dans la compétition contre d'autres nations, tout en donnant le leadership de la lutte politique à une fraction de la classe dominante. C'est exactement ce qui s'est passé et ce qui continue de se passer sous nos yeux au Québec.
a écrit :Fausse solution à de vrais problèmes, comme celui de l’inégalité sociale, économique et politique qui est le fruit de la domination d’une classe de parasites sur toutes les autres. Car il faut bien le constater, ce sont surtout les politiciens et les chefs d’entreprise qui ont bénéficié en tout premier lieu du nationalisme à la sauce québécoise, pas les classes ouvrières et populaires (entre 1960 et 1990, la propriété des entreprises entre les mains des francophones passe de 15% à 65%).
(azadi @ lundi 9 juillet 2012 à 12:13 a écrit :
Ni Quebec, Ni Canada. =D>
Ils ont les deux, et bien obligés de faire avec...L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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