a écrit :Ckockette, un analphabète politique!
a écrit :Relis l'histoire de la révolution ruse de Trotsky et tu comprendras pourquoi dès février 17 c'est une révolution prolétarienne alors que personne, pas même les bolcheviks, ne réclament alors le pouvoir aux ouvriers.
a écrit :toujours aux basques des appareils contre-révolutionnaires et leurs journées d'action bidon .
.a écrit :convidado
Si on ne peut pas attendre "rien" de "raisonnable" de la CGT, de qui peut-on attendre quoi que ce soit?
Du mouvement "spontannée" de la classe? cette vieille lune anarcho-syndicaliste jamais averée dans la pratique réelle de la lutte de classes? ou sous une forme etriquée (plus encore que celle des "bureaucrates") et sans landemain?
Cette conception eminement gauchiste et vieille gauchiste (voir le bouquin de Lénine) vienne de l'incomprehension d'une des thèses le plus fondamentales de Marx "la conscience est determinée par l'être social" ou dite autrement la conscience "réformiste" de la classe est fonction de la dynamique de la lutte de classes.
Les mêmes de qui "on ne peut rien attendre" feront bien plus que les gauchistes dès que les masses se mettront en mouvement. Cette loi c'est toujours verifiée; et si ce ne sont pas les mêmes personnes physiques, ce seront les memes representants des travailleurs.
On peut donc attendre beaucoup et on doit (non seulement) attendre beaucoup de la CGT, de la CFDT, de FO et de toute organisation qui organise et mobilise les travailleurs. D'ailleurs pendant les mouvements importants de lutte "on" compte et beaucoup sur ces messieurs dames.
Le travail au sein des syndicats est une tâche de première importance et doit être planifiée et conduite avec beaucoup d'attention. Les débats au sein des syndicats doivent compter avec la participation active et militante des communistes. Il doit meme se constituer une fraction communiste au sein des syndicats "réformistes".
Bien sur, si on pense qu'on ne "peut pas attendre rien de raisonnable" du syndicat tenu par les masses comme le plus combatif; ce n'est pas la peine de faire un travail quelconque dans leur sein et on peut s'amuser à creer des organisationns toutes neuves et "libérées" de toute tâche bureaucratique (mais de vie éfemère et très localisée) qui satisferont notre esprit sectaire et gauchiste mais qui ne serviront à rien le jour où les masses se mettront à lutter, parce que elles ont la facheuse tendace (pour les doctrinaires, puristes, amis de la non contamination et autres gauchistes) de s'appuyer dans les structures nationales syndicales reconnues.
Et si les communistes ont fait "l'économie" du travail dans leur sein...alors ce ne sont pas des communistes, mais des jean foutres, et ils peuvent rester sur la touche à compter les coups et s'ils ont le temps (cela ne les manquera pas) à faire des "analyses " très pointus (et très gauchistes) sur l'extraordinnaire "révirement" des militants des centrales syndicales quand il se produira inévitablement.
Le comment de la transformation de l'eau en vin, restera toujours un "miracle" aussi impenetrable que la radicalisation d'une centrale syndicale "pourrie jusqu'à la moelle et dont on ne peut rien attendre" le jour où la période de relative calme sociale prendra fin.
L'opposition à la ligne Thibault reflete (à sa manière) la lutte de classes réelle dans la société et l'aggravation des conditions de vie des travailleurs. Si devant cela, "on ne peut rien faire", il faudrait travailler au moins pour qu'on puisse "beaucoup faire"
a écrit :Une chaîne tunisienne attaquée par des islamistes pour avoir diffusé Persepolis
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 09.10.11 | 15h21 •
La tension demeurait vive dimanche 9 octobre à Tunis, où des policiers anti-émeutes ont fait usage de gaz lacrymogènes pour tenter de disperser plusieurs centaines d'islamistes qui les attaquaient à coups de pierres, de couteaux et de bâtons.
Les islamistes protestaient contre l'interdiction faite aux femmes portant le niqab, ou voile intégral, de s'inscrire à l'université, mais aussi contre la décision d'une chaîne de télévision privée tunisienne d'avoir diffusé vendredi le film d'animation franco-iranien Persepolis, où figure une représentation d'Allah, ce qu'interdit l'islam. La diffusion était suivie d'un débat sur l'intégrisme religieux. Les islamistes se sont rassemblés devant le principal campus universitaire de la capitale, d'où ils se sont dirigés vers le quartier populaire de Djebel El-Ahmar, au nord du centre, où ont eu lieu les échauffourées.
Le siège de la télévision privée tunisienne Nessma a été pris d'assaut dimanche par quelque deux cents salafistes. "Les salafistes, rejoints ensuite par une centaine d'autres personnes, se sont dirigés vers Nessma pour attaquer la chaîne. Les forces de l'ordre sont intervenues et ont dispersé les assaillants", a annoncé le ministère de l'intérieur.
"Après la diffusion de Persepolis il y a eu des appels sur Facebook à brûler Nessma et à tuer les journalistes, a raconté le président de la chaîne, Nebil Karoui. Nous sommes habitués aux menaces mais ce qui est grave c'est que cette fois-ci ils sont passés aux actes. Nessma est la chaîne moderniste du Maghreb, on ne se laissera pas intimider et nous continuerons à diffuser les films qu'on veut. On n'a pas chassé une dictature pour revenir à une autre."
La police protège désormais le siège de la chaîne. Plusieurs journalistes de Nessma ont fait part de leur vive inquiétude, certains craignant que les autres locaux de la chaîne en région soient également ciblés. Cette attaque menée par des intégristes intervient au lendemain de l'invasion par des hommes armés de la faculté de lettres de Sousse, ville à 150 km au sud de Tunis, après le refus d'inscription d'une étudiante en niqab conformément aux directives gouvernementales.
La tension monte entre les islamistes tunisiens et les laïques, lesquels dominent l'élite dirigeante, à l'approche des élections à l'assemblée constituante le 23 octobre, lors desquelles le parti islamiste Ennahda devrait arriver en tête. Le gouvernement de transition, au pouvoir depuis la chute du président Zine El-Abidine Ben Ali en janvier, a autorisé pour la première fois les islamistes à présenter des candidats, mais les organisations laïques estiment désormais que leurs valeurs libérales, modernes, sont menacées.
Les affrontements de dimanche "sont un très mauvais signe avant la tenue d'élections démocratiques", a déclaré l'analyste Salah Attya. "Le climat n'est pas bon. Il y a certains partis ou courants qui font tout pour que la situation explose avant l'élection", a-t-il poursuivi.
Pour une cadre de la chaîne, citée anonymement par l'AFP, cette attaque doit inciter les Tunisiens à se rendre aux urnes. "J'espère que ce genre d'événement va pousser les citoyens indécis à aller voter le 23 octobre, car le danger [intégriste] est imminent", a-t-elle ajouté.
Le parti Ennahda s'était publiquement démarqué des salafistes – dont le parti Tahrir n'a pas été légalisé – après l'attaque, fin juillet, d'un cinéma de Tunis qui avait diffusé un film de Nadia El-Fani sur la laïcité. Dimanche, un de ses responsables a condamné cette nouvelle attaque. "On ne peut que condamner ce genre d'incident. Il ne faut pas brouiller les cartes et les gens doivent garder leur calme. Si les gens ont des critiques à faire contre Nessma, ils doivent s'exprimer dans la presse, pas utiliser la violence", a dit Samir Dilou, membre du bureau politique d'Ennahda, qualifiant ces attaques "d'actes isolés".
Le PDP (Parti démocrate progressiste) a également "condamné énergiquement" l'attaque de Nessma alors que le parti Ettakatol (gauche) a exprimé "sa solidarité" avec Nessma et insisté sur "le droit à la liberté d'expression". Persepolis, dont c'était la première diffusion en arabe dialectal tunisien, sera à nouveau à l'antenne de Nessma mardi soir.
.(roudoudou @ dimanche 9 octobre 2011 à 18:30 a écrit :a écrit :Ckockette, un analphabète politique!
Tu peux me mettre dans le même sac que Ckrockette.a écrit :Relis l'histoire de la révolution ruse de Trotsky et tu comprendras pourquoi dès février 17 c'est une révolution prolétarienne alors que personne, pas même les bolcheviks, ne réclament alors le pouvoir aux ouvriers.
Renseigne toi un peux sur la situation géopolitique de l'époque!!!!
Il y avais non seulement une deuxième international , mais surtout des idéologue marxiste d'envergure dans toutes l’Europe : :luxemburg: :lenine: :trotsky:
Sans compté le travail militant derrière.
Se qui n'est malheureusement pas le cas dans cette période historique de merde.a écrit :toujours aux basques des appareils contre-révolutionnaires et leurs journées d'action bidon .
On prends les journée que l'on a sous la main ou se que l'on nous donne si tu préfère.
Lo comme le NPA ou le PC ne peuvent pas mieux faire.
Ne pas y aller est l'ordre du gauchisme ni plus ni moins
Je vais cité convidado car je suis bien d'accord avec lui sur se point.a écrit :convidado
Si on ne peut pas attendre "rien" de "raisonnable" de la CGT, de qui peut-on attendre quoi que ce soit?
Du mouvement "spontannée" de la classe? cette vieille lune anarcho-syndicaliste jamais averée dans la pratique réelle de la lutte de classes? ou sous une forme etriquée (plus encore que celle des "bureaucrates") et sans landemain?
Cette conception eminement gauchiste et vieille gauchiste (voir le bouquin de Lénine) vienne de l'incomprehension d'une des thèses le plus fondamentales de Marx "la conscience est determinée par l'être social" ou dite autrement la conscience "réformiste" de la classe est fonction de la dynamique de la lutte de classes.
Les mêmes de qui "on ne peut rien attendre" feront bien plus que les gauchistes dès que les masses se mettront en mouvement. Cette loi c'est toujours verifiée; et si ce ne sont pas les mêmes personnes physiques, ce seront les memes representants des travailleurs.
On peut donc attendre beaucoup et on doit (non seulement) attendre beaucoup de la CGT, de la CFDT, de FO et de toute organisation qui organise et mobilise les travailleurs. D'ailleurs pendant les mouvements importants de lutte "on" compte et beaucoup sur ces messieurs dames.
Le travail au sein des syndicats est une tâche de première importance et doit être planifiée et conduite avec beaucoup d'attention. Les débats au sein des syndicats doivent compter avec la participation active et militante des communistes. Il doit meme se constituer une fraction communiste au sein des syndicats "réformistes".
Bien sur, si on pense qu'on ne "peut pas attendre rien de raisonnable" du syndicat tenu par les masses comme le plus combatif; ce n'est pas la peine de faire un travail quelconque dans leur sein et on peut s'amuser à creer des organisationns toutes neuves et "libérées" de toute tâche bureaucratique (mais de vie éfemère et très localisée) qui satisferont notre esprit sectaire et gauchiste mais qui ne serviront à rien le jour où les masses se mettront à lutter, parce que elles ont la facheuse tendace (pour les doctrinaires, puristes, amis de la non contamination et autres gauchistes) de s'appuyer dans les structures nationales syndicales reconnues.
Et si les communistes ont fait "l'économie" du travail dans leur sein...alors ce ne sont pas des communistes, mais des jean foutres, et ils peuvent rester sur la touche à compter les coups et s'ils ont le temps (cela ne les manquera pas) à faire des "analyses " très pointus (et très gauchistes) sur l'extraordinnaire "révirement" des militants des centrales syndicales quand il se produira inévitablement.
Le comment de la transformation de l'eau en vin, restera toujours un "miracle" aussi impenetrable que la radicalisation d'une centrale syndicale "pourrie jusqu'à la moelle et dont on ne peut rien attendre" le jour où la période de relative calme sociale prendra fin.
L'opposition à la ligne Thibault reflete (à sa manière) la lutte de classes réelle dans la société et l'aggravation des conditions de vie des travailleurs. Si devant cela, "on ne peut rien faire", il faudrait travailler au moins pour qu'on puisse "beaucoup faire"
a écrit :PARTICIPER À LA JOURNÉE DU 11 OCTOBRE
PARTICIPER À LA JOURNÉE DU 11 OCTOBRE
Le mardi 11 octobre sera une journée de débrayages et de manifestations à l'appel de plusieurs confédérations syndicales. Il faut en être.
Il faut en être malgré l'attitude des confédérations syndicales qui ont appelé à cette journée comme un âne qui recule, dans la dispersion et sans véritable préparation.
Il faut en être sans illusion sur la possibilité pour une seule journée d'action de faire reculer le grand patronat et le gouvernement. Pour les faire reculer, il faudra bien autre chose, une action déterminée, explosive, puissante, du monde du travail.
Il faut en être tout simplement pour montrer que les travailleurs, les salariés, en ont assez des coups que leur assènent tout à la fois le patronat et le gouvernement et que la coupe est pleine.
Aucun salarié, aucun chômeur, aucun retraité, ne peut espérer échapper autrement que par la lutte à la volonté de la classe capitaliste de faire payer la crise de son économie aux exploités.
Une entreprise comme Montupet, qui soumet ses travailleurs au chantage d'accepter une réduction de près de 25 % de leur salaire ou de se retrouver à la rue par la fermeture de l'usine, fait encore figure d'exception. Mais d'autres la suivront, sous cette forme ou sous une autre. Une grande entreprise comme Peugeot-Citroën, qui planifie la fermeture de trois sites de production, avec plusieurs milliers de travailleurs dehors, malgré des profits confortables, des dividendes plantureux pour ses actionnaires -dont la famille Peugeot- est représentative de tous ces grands trusts, à commencer par Unilever avec sa filiale Fralib, qui licencient, délocalisent ou réduisent leurs effectifs, toujours guidés par la même préoccupation d'accroître les revenus du capital quitte à pousser vers le chômage et la misère une partie de leurs effectifs et faire crever au travail ceux qui restent.
Les attaques de la classe capitaliste seront d'autant plus féroces que la crise s'aggravera. Ni les dirigeants des États ni les têtes pensantes de l'économie ne maîtrisent la crise financière : tous abdiquent devant les banquiers. Cela se répercute déjà sur les entreprises de production.
Et il faut être conscient que, face au patronat, non seulement nous ne pouvons pas compter sur l'État mais, au contraire, l'État ne cesse, de son côté, de porter des coups au monde du travail. Ce n'est pas seulement lié à Sarkozy et à son gouvernement. Même si Sarkozy était écarté lors de l'élection présidentielle, son successeur, quel que soit celui qui sortira vainqueur de la primaire socialiste, brandira le montant de la dette accumulée par l'État pour nous dire qu'il faut faire des économies sur les services publics, sur les retraites, sur la Sécurité sociale, sur les hôpitaux ou l'Éducation nationale, pour rembourser cette dette qui a été pourtant faite au seul profit des banques et des groupes capitalistes.
Et pendant qu'on annonce de nouveaux sacrifices, l'État continue à augmenter son endettement pour venir au secours des banquiers menacés par la faillite d'États à qui ils ont prêté à des taux usuraires. Alors, tant qu'on les laisse faire, ces grands patrons, ces banquiers, spéculateurs et irresponsables, et leurs porte-bidon du gouvernement, continueront, et cela ira de pire en pire.
La nécessité de réagir s'imposera tôt ou tard à l'ensemble du monde du travail. Mais il est important que ceux qui en sont déjà conscients le manifestent. Il est important de discuter de nos revendications vitales, de les faire connaître et faire partager.
Les travailleurs ne sont en rien responsables de la crise d'une économie capitaliste folle qui s'étouffe dans sa propre graisse parce que l'argent dégagé de l'exploitation est consacré à la spéculation qui ruine l'économie.
Un emploi et un salaire sont les seuls choses qui permettent aux travailleurs de vivre. Nous ne pouvons pas laisser le capital les démolir.
Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas accepter le chômage. Il faut interdire tout licenciement collectif et imposer la répartition du travail entre tous sans diminution de salaire. Pour contrecarrer les effets des hausses de prix sur le pouvoir d'achat des salariés, il faut imposer une augmentation conséquente des salaires afin de rattraper le retard et l'indexation des salaires sur les prix, l'échelle mobile des salaires.
Ce n'est certainement pas une journée d'action qui permettra d'imposer ces objectifs, mais elle nous donne l'occasion d'en discuter. Et de dire aussi à la classe capitaliste que le désespoir qu'elle insuffle aux travailleurs se transformera tôt ou tard en colère.
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