(Gaby @ mercredi 16 juin 2010 à 23:41 a écrit : La bonne blague. La ligne éditoriale est peut-être de gauche, alter' à tout casser, mais pas gauchiste, ni dans son sens heureux ni même dans son sens péjoratif. En plus c'est sexiste à souhait.
hmy: Faudra que tu me montres où c'est sexiste. Il y a pas longtemps ils ont fait un dossier intéressant sur la place des femmes dans le football professionnel et ils condamnent à tour de bras l'homophobie, si présente dans le foot ( comme dans tous les milieux très majoritairement masculins d'ailleurs ). Alors peut-être qu'une blague ou deux de mauvais goût...
Gauchiste veut pas dire grand chose mais j'avais du mal à trouver un autre mot pour définir la ligne. Certainement qu'ils sont pas la pointe avancée du marxisme mais ils démystifient bien le foot, parlent volontiers de classe ouvrière, t'as régulièrement des petites références à Marx, tu sens qu'ils ont un attachement pour les personnages iconoclastes du foot.
(Faber @ jeudi 17 juin 2010 à 11:52 a écrit :C'est pas faux qu'il y a toujours une double page avec plein de fille en tenue légère, 5-6 photos maximum, mais dont le contenu se moque pas mal du coté très... disons superficielle de certaines femmes-compagne-maitresse de footballeurs, ...
(Wapi @ mercredi 16 juin 2010 à 08:41 a écrit :Dans les milieux autorisés, on s'autorise à penser que Domenech serait un vrai mec "de gauche", et qu'il ne laissera aucune occasion au gouvernement de pouvoir afficher la moindre satisfaction dans la période actuelle.
(Libération @ 17/06/2010 à 12h14 a écrit :
Domenech, sous-marin de l'ultragauche
Raymond Domenech n'est compris par personne. 50% des gens le considèrent comme un sombre con, les autres 50% comme un génie incompris. Où est la vérité ? Facile. Une simple enquête sur le passé du sélectionneur permet de se faire une idée sur l'homme.
Fils de communistes zapatistes, il adhère très jeune à la TRB, Troupe révolutionnaire bolchévique avant de devenir un des bras armé du GCC, le groupuscule des coupeurs de cravates. Déçu par ses compagnons de route (Lionel Jospin, Julien Dray), il se radicalise encore plus en intégrant le FCPF, le Front des Creveurs de Pneus de Ferrari, où il côtoie Lionel Stoléru et Huguette Bouchardeau. Mais Raymond Domenech veut aller plus loin.
Il décide alors de créer son propre mouvement, le PAM, Parti anti-monégasque. Aidé par quelques amis déterminés (Louis Mexandeau, Anicet le Pors), il veut s'attaquer à trois symboles de la Principauté par des actions terroristes. Un: la nuit, décapiter un à un tous les cactus du jardin exotique. Deux: prendre en otage le célèbre éléphant du zoo. Trois: chier dans le bonnet rouge du commandant Cousteau.
Finalement, après avoir réfléchi cinq minutes, il abandonne son projet fou et devient footballeur. Mais il déteste ce milieu où règnent alors l'argent et le pastis. Il crée alors, dans le plus grand secret, la FRBR, la Fédération des rebelles du ballon rond. Avec quelques joueurs de sensibilité de gauche (Raymond Kéruzoré, Claude Papi, Joël Tanter, Gilbert Marguerite, Jean-Noël Huck), ils se refusent à ouvrir un magasin de sport à la fin de leur carrière.
Mal vu par ses collègues qui lui reprochent «de chier dans la colle», il devient peu à peu le mouton noir. Qu'importe! Raymond a du caractère. Il se tait mais organise, chez lui, des réunions secrètes où se retrouvent, outre ses amis du FRBR, des activistes du FRT, le Front des raseurs de tête. Un groupuscule anarchiste che-guévariste emmené par Marc Berdoll, dont le but est de tondre Robert Herbin de force.
Les années passent. Raymond Domenech, lassé par les querelles intestines, s'assagit. Mais, au fond de lui, il sait que le Grand soir va arriver. Ce sera fait, quand, en 2004, il accède à la fonction suprême: sélectionneur de l'équipe de France. Grâce à ce poste, il va enfin pouvoir agir à sa guise.
Première chose: foutre le bordel entre les jeunes joueurs surpayés, enfants gâtés qu'il déteste par dessus tout. Deuxième objectif: changer d'équipe à chaque match pour faire chier Jean-Michel Larqué. Troisième chose: rendre fous les journalistes sportifs, boutonneux insupportables qui pètent plus haut que leur cul. Il s'emploiera pendant toutes ces années à réaliser ces préceptes coûte que coûte.
Aujourd'hui, son but est clair: l'équipe de France doit échouer, quoi qu'il arrive, au premier tour de ce Mondial. Pour cela, il n'a pas hésité à faire jouer Sidney Govou. De même, il glisse régulièrement des strings avec des petits mots signés Zahia sous la porte de Ribéry. Une entreprise de démolition subtile, orchestrée par le désormais chef du NPA: le Nouveau parti anti-nouveaux riches aux pieds carrés qui jouent à la PS3 en écoutant Lady Gaga.
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