Guadeloupe-Martinique

Message par com_71 » 22 Fév 2009, 22:00

RCI Guadeloupe peut être écoutée en live :

http://gp.rci.fm/rciparis/index.html

(en haut, plutôt à droite)

en ce moment la cérémonie en hommage à J. Bino.

et en différé sur Orange

http://www.orangecaraibe.com/?checkBrowser=false#
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par com_71 » 22 Fév 2009, 22:45

Sur Carib Creole One, un éditorialiste fait le rapprochement Domota-Machoro.

(mais il n'y avait pas de grève générale en Nlle Calédonie)

http://www.caribcreole1.com/edito.php?at=1002

Un article sur les cérémonies d'hier à Petit-Canal : -Adieu Bino, "la lit ka kontinyé-
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Message par com_71 » 23 Fév 2009, 00:23

(LIYANNAJ KONT PWOFITASYON tract du 21.02.2009 a écrit :

LIYANNAJ KONT PWOFITASYON
Un peuple en lutte contre toutes les exploitations


Des travailleurs, des jeunes, des retraités, des créateurs en mouvement pour une Guadeloupe plus juste.

Population de Guadeloupe, voilà déjà 5 semaines que des dizaines de milliers de guadeloupéens sont dans les rues pour dénoncer les pwofitasyon dont ils sont victimes du fait tant du système colonial qui a encore cours en Guadeloupe, que des pouvoirs octroyés à la puissance patronale, que de la lâcheté et de la soumission de la représentation politique.

Il fallait en effet tôt ou tard dire « Awa », dire non !

  Non au chômage qui frappe plus de 30 % de la population active, soit 50 000 hommes et femmes.
  Non à la précarité, à la misère qui assaille plus de 60 000 foyers
  Non à l’exclusion, à la discrimination à l’embauche qui interdit aux jeunes, principale composante de la population (plus de 40 % de la population est âgée de moins de 25 ans) tout projet de vie
  Non à l’échec scolaire qui jette près de 1000 jeunes chaque année dans les rues sans qualification
  Non au hold up économique organisé par des importateurs distributeurs, par des affairistes avec le soutien politique et l’aide financière de l’Etat, qui pratiquent des prix de services (électricité, carburant, transport, gaz, loyer) et de produits de première nécessité inaccessibles aux ménages petits et moyens.
  Non à l’empoisonnement des terres agricoles, aux spéculations foncières et immobilières, à la disparition de la production locale qui autorise l’importation de plus 80 % de ce qui est consommé sur place.
  Non à la taxation, aux impôts excessifs des collectivités et de l’Etat, et aux marges exorbitantes des commerçants agoulou et des établissements financiers.
  Non à l’accaparement de toutes les richesses produites par on ti pilo fanmi.
  Non au chantage au licenciement et à la répression anti-syndicale qui voudraient imposer à plus de 60000 salariés de ne se contenter que de 1000 euro net mensuel de salaire sous prétexte de la crise, du réalisme, et de l’amour pour la Guadeloupe.
  Non à la destruction du patrimoine écologique, non à la délinquance environnementale.

Depuis le 16 décembre, LIYANNNAJ KONT PWOFITASYON, véritable fédération de 48 organisations d’origines diverses, syndicats, associations, organisations politiques, culturelles, de consommateurs a décidé de fédérer les mécontentements et les revendications de tout un peuple et de les porter au plus haut.

LIYANNNAJ KONT PWOFITASYON (L.K.P.) a su ainsi donner de la voix aux sans voix et donner de la dimension à toutes les voix.

Aujourd’hui, malgré des dizaines de milliers de manifestants fiers, dignes et solidaires dans les rues, malgré des heures et des heures de négociation, après l’assassinat du militant syndicaliste de la CGTG et militant culturel de AKIYO, Jacques BINO, le gouvernement français, les patrons de Guadeloupe refusent toujours de satisfaire les justes revendications et aspirations du Peuple. Le Président N. SARKOZY préférant noyer nos revendications dans une formule magique « Assemblée Unique, Evolution statutaire ». Ce n’est pas là la revendication du LKP.

Pour mettre un terme au conflit, ils ne proposent que des mesures de portée générale (RSA, prime exceptionnelle de 1500 euro maximum par an exonérée de charges, …), mais n’entendent pas réformer leur système inique.
En clair, le revenu de solidarité active (RSA) est une allocation familiale payée par la CAF, destinée aux familles à bas revenus ; le RSA est le petit frère du RMI et de l’Allocation parent isolé (API), alokasyon fanm sel.
Le RSA n’est donc pas un salaire mais une prestation sociale basée sur la situation familiale et non sur la rétribution du travail. Ainsi par exemple pour une même qualification et un même travail, deux salariés avec une situation familiale différente percevront un salaire différent.

La fameuse prime exceptionnelle de 1500 euro est une prime prévue par la loi du 3 décembre 2008, destinée à donner aux salariés l’illusion d’une participation au bénéfice des entreprises. Ce n’est donc pas non plus une augmentation de salaire. Yo péké kouyonné nou ! Les grands patrons et les békés, eux, n’ont proposé lors de la dernière séance de négociations du 20 février 2009 qu’une prime comprise entre 50 et 70 euro. Ils attendent que l’Etat finance entièrement comme il l’a toujours fait l’augmentation de 200 euro réclamée ; en leur octroyant subventions, exonérations et défiscalisations de tous ordres.

C’est inacceptable, inadmissible !

Pourtant ils déclarent tous avoir perdu depuis le début de la grève des centaines de millions d’euros. Ils n’ont pas évolué depuis 1967, et persistent à dire que lè nèg ké fen yo ké woupran travay.

LKP et les travailleurs de Guadeloupe continuent de réclamer 200 euro d’augmentation nette en faveur des salariés du secteur privé, l’application de la garantie individuelle du pouvoir d’achat et du régime indemnitaire pour les salariés des trois fonctions publiques.

Contrairement aux allégations laissant entendre qu’un certain nombre de points auraient été actés, LKP et le Peuple de Guadeloupe exigent plus que jamais, la poursuite des négociations et la satisfaction de tous les autres points de revendications immédiates (Baisse des prix – Mise en place d’un moratoire de 4 ans pour la réforme du recrutement des enseignants – Plan d’urgence pour la formation et l’emploi des jeunes – Règlement de la situation des Transporteurs, des Marins-pêcheurs et des Agriculteurs, des petites Mutuelles – Prise en compte dans la programmation des media de la langue et de la culture Guadeloupéenne - Résolution définitive des conflits en cours – Abandon des poursuites liées au conflit en cours…).

LKP et le Peuple de Guadeloupe continuent de réclamer la transformation des rapports sociaux, le respect de toutes les libertés fondamentales, le droit de vivre et de travailler dignement au pays, en somme l’arrêt de toute pwofitasyon.

LKP appelle à la Solidarité Internationale et invite les Organisations de travailleurs, les Organisations progressistes anticapitalistes et anticolonialistes de France et des dernières colonies de la France à poursuivre et à renforcer leur soutien et leur mobilisation.
La GREVE GENERALE EST MAINTENUE !

Travailleurs et peuple de Guadeloupe, en mémoire et en respect de Jacques BINO, renforçons et amplifions la mobilisation et la solidarité dans toutes les entreprises, dans tous les secteurs, dans les rues, les ronds-points, dans les quartiers, dans nos familles !

Travailleurs et peuple de Guadeloupe, continuons la lutte pour dénoncer et nous opposer à toutes les répressions : tant celles conduites par la police et la justice à l’encontre de notre jeunesse ; que celles conduites par le patronat en refusant de payer les salaires, en mettant en chômage partiel les travailleurs grévistes et solidaires !

NOU PÉKÉ LAGÉ !

Tous au rendez-vous de négociations du lundi 23 février 2009 à 11 h00 au Port Autonome.
Rassemblement à 08H00 douvan bik la, Lapwent.

L.K.P
Lapwent, le 21.02.09
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Message par jedi69 » 23 Fév 2009, 00:37

Wesh les amis !!!

Bien ou bien ?



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JUSTE POUR LE PLAISIR(29 Janvier) :whistling_notes: :


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Message par com_71 » 23 Fév 2009, 01:02

(LIYANNAJ KONT PWOFITASYON a écrit :Le Président N. SARKOZY préférant noyer nos revendications dans une formule magique « Assemblée Unique, Evolution statutaire ». Ce n’est pas là la revendication du LKP.


Sarkozy aimerait bien attirer le mouvement vers les ornières d'une discussion vers telle ou telle évolution statutaire. Il n'est d'ailleurs pas le seul, on a entendu des "notables" guadeloupéens jouer cette partition.

Mais le collectif ne se laisse pas détourner. Par écrit et oralement ses représentants rappellent qu'un des objectifs principaux de la grève est de faire céder patronat et gouvernement sur une augmentation conséquente des salaires.

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Message par com_71 » 23 Fév 2009, 01:32

La Gwadloup sé tan nou

Akiyo et Voukoum, deux groupes culturels du Collectif Lyannaj Kont Pwofitasyon, viennent d'enregistrer le chant qui accompagne depuis le début les marches du mouvement, "La Gwadloup sé tan nou"

et à la Martinique c'est, surprise, Matinik sé tan nou.
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Message par com_71 » 23 Fév 2009, 04:11

Un premier article, le 16/02, dans le Nouvelliste, quotidien haïtien :

a écrit :Paralysie aux Antilles françaises : crise sociale et controverse raciale


La grève générale, qui paralyse depuis des semaines les Antilles françaises, a mis en évidence les clivages sociaux et raciaux, issus du colonialisme, dans ces îles paradisiaques, ainsi que les difficultés à développer leur économie.



Des barrages ont encore été érigés lundi matin en Guadeloupe, en grève générale depuis le 20 janvier, tandis que la Martinique a rejoint le mouvement le 5 février.

La première revendication est sociale, les grévistes regroupés au sein du Collectif contre l'exploitation (LKP) protestant contre le coût de la vie et voulant 200 euros d'augmentation pour les bas salaires.

Mais le débat s'est rapidement doublé d'une dimension raciale, car les leviers de l'économie sont, dans les deux îles, largement aux mains d'une petite minorité de blancs, descendants des colons esclavagistes des XVIIe et XVIIIe siècles : les "békés".

"Une caste détient le pouvoir économique et en abuse", s'est emportée la députée Christiane Taubira (centre-gauche), originaire d'un autre département d'outre-mer, la Guyane.

"C'est vrai que là-bas il y a un lourd malaise dû à la cherté de la vie, au niveau du pouvoir d'achat, et, au-delà, à un problème de répartition des richesses", a déclaré la secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme Rama Yade, seule ministre noire du gouvernement. Selon elle, c'est "le contexte social qui exacerbe" les tensions raciales.

"Guadeloupe, c'est à nous, Guadeloupe, c'est pas à eux !" : le slogan, dont un équivalent existe en Martinique, cible les békés depuis le début du conflit.

Le ressentiment à l'égard de ces familles, qui ne se sont pas métissées au fil des siècles, a été accentué par les déclarations explosives d'un des plus riches Martiniquais dans un reportage télévisé diffusé le 30 janvier. Alain Huygues-Despointes y affirmait notamment "vouloir préserver sa race".

L'influence économique de ces familles est difficile à quantifier, mais elle est cruciale dans l'import-export et dans la grande distribution, ce qui explique qu'elles soient accusées de l'augmentation des prix.

"La particularité, ici, c'est que les privilégiés qui contrôlent 80% de notre économie sont tous blancs et pour la plupart descendants des anciens colonisateurs européens", affirme une universitaire guadeloupéenne Patricia Braflan-Trobo dans le Nouvel Observateur.

A quelque 7.000 kilomètres de Paris, ces îles où les Français aiment aller passer leurs vacances accumulent les problèmes sociaux, en dépit de transferts financiers massifs. Le taux de chômage est d'environ 22% à la fois pour la Guadeloupe, une île de 450.000 habitants, et la Martinique (environ 400.000 habitants).
Le produit intérieur brut (PIB) par habitant n'y représente que 60% environ de la moyenne française. Mais les Antilles françaises sont aussi beaucoup plus riches que les îles des Caraïbes voisines et elles ont du mal à s'insérer dans l'économie régionale.

Au nom de la continuité territoriale, l'Etat subventionne les transports entre les Antilles et la métropole. On y trouve les mêmes services publics qu'en France métropolitaine, les mêmes chaînes de supermarchés proposant des produits identiques, mais à des prix beaucoup plus élevés.

Le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, Yves Jégo, a assuré lundi qu'il fallait trouver une réponse économique à cette crise sociale. "Il y a un problème de monopole, celui d'une économie insulaire qui est l'héritière des comptoirs" coloniaux, a-t-il dit.

La France possède des départements d'outre-mer, dont font partie ces deux îles, et d'autres territoires dans le Pacifique et l'Océan indien. Au total 2,3 millions de personnes y vivent.
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Message par com_71 » 23 Fév 2009, 04:20

Et un deuxième (18/02) :

a écrit :Embrasement dans la crise guadeloupéenne

Désormais, la crise s'embrase en Guadeloupe avec la mort par balle, dans la nuit du mardi 17 au mercredi 18 février, d'un délégué syndical, membre de «Lyannaj kont pwofitasyon » connu sous le sigle LKP. Les négociations s'enlisent. Les parties en conflit, le collectif contre l'exploitation outrancière ainsi que le patronat ont abandonné la table des négociations avec un durcissement de ton. Le président français Nicolas Sarkozy va tenter de sauver ce qui peut être sauvé jeudi 19 février en recevant les élus.

Dans ce territoire français d'outre-mer, le problème du pouvoir d'achat paraît primordial en raison de la baisse du niveau de vie, du taux de chômage record et des abus de position dominante d'entreprises et de groupes conduisant à des prix excessifs et des marges démesurées, selon les revendications du collectif contre l'exploitation outrancière (ndlr: en créole haïtien, Lyannaj kont profitasyon pourrait signifier Tèt ansanm kont eksplwatasyon).

La situation devient compliquée en Guadeloupe paralysée depuis le 20 janvier 2009 par une grève générale. En début de cette semaine, la violence vient enflammer le mouvement emmené par LKP, le collectif regroupant plus d'une cinquantaine d'organisations sociales qui appelle au renforcement du mouvement social actuel pour construire une Guadeloupe solidaire et unie dans sa diversité.

Plusieurs bandes de jeunes, cagoulés et armés, ont pris d'assaut comme la veille les rues de plusieurs villes mardi soir. Pointe-à-Pitre, principale agglomération de Guadeloupe, et d'autres localités ont connu de nombreux pillages, tandis que des barrages, parfois enflammés, ont été érigés dans les rues désertées par les habitants.

Les informations de la cellule de la préfecture fait état, mercredi, de 15 commerces pillés, 7 établissements incendiés, 21 véhicules brûlés, 13 interpellations et une soixantaine d'interventions de pompiers. En tout, six fonctionnaires des forces de l'ordre auraient été légèrement blessés par des tirs d'armes à feu, en comptant trois gendarmes mobiles victimes de coups de feu dans la commune de Baie-Mahault lors de violentes échauffourées avec une centaine de jeunes.

La genèse des faits... 

On en est arrivé là, aussi, parce que s'agissant du carburant, il y a eu, outre l'opacité dans la fixation des prix, une politique qui a consisté à augmenter les prix à la pompe alors que le baril de pétrole, lui, était en train, sur toutes les places du monde, de chuter. Aux Antilles et en Guyane, on ne comprenait pas pourquoi le prix de l'essence continuait à grimper.

C'est ça qui a été l'événement déclencheur », a déclaré le politologue Julien Mérion, professeur à l'université des Antilles-Guyane dans une interview accordée au journal Le Point. Selon lui, toutes ces blessures, qui ne sont pas refermées, sur lesquelles l'État n'a jamais eu l'opportunité de faire la lumière, ont fortement contribué à engendrer des frustrations et une situation de repli identitaire.

Julien Mérion que nous avons rencontré récemment en Guadeloupe lors d'une levée de fonds en faveur d'Haïti, explique les fondamentaux du mouvement, en ces termes : « Le conflit n'a pas de base raciale, ni ethnique d'ailleurs. Un groupe de Français d'origine [des blancs non fortunés, ndlr] a même adhéré au LKP, et l'a fait savoir, pour lutter contre cette idée qui émergeait dans un certain nombre de médias. Ils voulaient démontrer qu'il n'y avait aucune connotation raciste dans la démarche entreprise. De plus, il y a aujourd'hui, dans le patronat, des personnes noires qui se retrouvent très bien dans le Medef ou dans des structures de ce type. Il n'y a pas d'affrontements blancs/noirs sur place, même si c'est la réalité des Antilles depuis toujours, l'économie est détenue par une caste, le pouvoir est représenté par une caste, quand la grande majorité des sans-grade est, elle, essentiellement composée des anciens esclaves et des personnes d'origine indienne. »

La crise en Guadeloupe a eu des échos en Martinique, en Guyane voire jusqu'en métropole où des Antillais et des partisans de l'extrême gauche française ont adhéré au mouvement du LKP en manifestant à Paris au XVIIIe arrondissement. Après un mois, aucune avancée significative n'est à noter dans les négociations.

 
  Dieudonné JOACHIM (Sources combinées)
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Message par com_71 » 23 Fév 2009, 10:06

(Zelda @ lundi 23 février 2009 à 06:22 a écrit :

En tout cas, si tous les cortèges aux Antilles sont "enlevés" de cette façon, ça doit être un bonheur de manifester là-bas...

Pour te donner raison.

http://www.youtube.com/watch?v=evsecCZ8XdI

moins harmonieux :

http://www.youtube.com/watch?v=JVoMCWA5YTM&NR=1
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