(Puig Antich @ lundi 19 janvier 2009 à 13:48 a écrit : Tu extrapoles quand même un peu![]()
Sur ce que tu écris ou sur Obama ? :33:
a écrit :Appel Unitaire de la Jeunesse en Soutien au Peuple Palestinien.
L'offensive militaire israélienne déclenchée le 27 décembre 2008 contre la bande de Gaza a engendré la mort de près d'un millier de Palestiniens et plus de 4000 blessés. Cette agression militaire préparée depuis plusieurs mois à des fins coloniales continue à être présentée comme un acte de légitime défense par Israël! Ce nouveau massacre vise en réalité l'ensemble du peuple palestinien afin qu'il abandonne sa résistance et sa terre. En solidarité avec cette résistance, des millions de manifestants dans le monde entier ont réclamé l'arrêt immédiat de ce massacre.
Dans cette dynamique de mobilisation croissante, les organisations associatives, syndicales et politiques de jeunesse lancent un appel de mobilisation en soutien au peuple Palestinien, pour exiger sans conditions :
–. L’arrêt des massacres,
- La levée immédiate et totale du blocus,
- L’arrêt de la collaboration de la France et de l’Union Européenne, pour des sanctions contre Israël,
- Le soutien à la résistance du peuple palestinien et à sa souveraineté !
–.
–. Nous appelons toute la jeunesse de France à se mobiliser sur ces bases, dans les Lycées, les Universités, dans les quartiers. Nous proposons pour cela de créer des collectifs unitaires locaux pour appeler à des réunions publiques d’information, à des rassemblements et aux journées de mobilisation nationale.
Tous unis et mobilisés,
Nous pouvons stopper ce massacre
et obtenir la Justice pour le peuple palestinien !
Signataires: Association Mouvement des Quartiers pour la Justice Sociale, Alternative Libertaire (AL), Collectif Faty Koumba, Les Alternatifs, Fontenay Générations, Fédération Syndicale Etudiante (FSE), Fédération SUD-Etudiant, Mouvement des Jeunes Communistes de France (MJCF),Jeunes pour un Nouveau Parti Anticapitaliste, GUPS France, Génération Palestine...
a écrit :Israël a ouvert une enquête sur l'utilisation de bombes au phosphore à Gaza
LEMONDE.FR | 21.01.09 | 15h42 • Mis à jour le 21.01.09 | 21h01
Au lendemain du retrait israélien de la bande de Gaza, la polémique sur l'usage de bombes au phosphore par Tsahal pendant l'offensive, qui a coûté la vie à plus de 1 300 Palestiniens, ne cesse de prendre de l'ampleur. Dénonçant l'utilisation massive de ces armes chimiques contre des populations civiles, Amnesty International a accusé, lundi 19 janvier, Israël de "crimes de guerre".
Une équipe de l'ONG qui s'est rendue à Gaza en début de semaine affirme avoir trouvé des particules de phosphore et des obus à l'intérieur et à proximité des maisons. "Nous avons vu des rues jonchées de débris, qui prouvent l'utilisation de phosphore blanc, y compris des particules incandescentes et des restes d'obus tirés par l'armée israélienne", a déclaré Christopher Cobbsmith, expert en armement. Sur le site du Guardian, plusieurs vidéos prises par l'ONG International Solidarity Movement corroborent les observations des membres d'Amnesty. On y voit notamment un garçon de 15 ans, gravement blessé au dos lors du bombardement de sa maison. "Il a été brûlé au phosphore", explique un médecin.
ISRAËL ASSURE RESPECTER LES CONVENTIONS INTERNATIONALES
Utilisé comme fumigène et dans la fabrication d'obus de mortier, cet agent toxique peut provoquer de graves brûlures de la peau et endommager le foie, le cœur ou les reins. A ce jour, aucun traité international n'en interdit l'usage. Seule la Convention sur les armes classiques de 1980, et particulièrement le protocole III "sur l'interdiction ou la limitation des armes incendiaires", précise qu'elles sont strictement prohibées dans les zones peuplées de civils.
Israël, qui n'a pas ratifié le texte, assure respecter à la lettre les conventions internationales. Mais dans un endroit aussi densément peuplé que Gaza, l'utilisation de bombes au phosphore blanc pose problème. D'après le quotidien israélien Haaretz, une enquête militaire a été ouverte sur le tir d'une vingtaine d'obus à Beit Lahiya par une unité de parachutiste de Tsahal.
Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a également demandé à Israël de mener "une enquête approfondie" sur les bombardements du complexe de l'agence de l'ONU pour l'aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA), les qualifiant d'"attaques scandaleuses et totalement inacceptables". Le directeur du centre, John Ging, affirmait alors que les entrepôts avaient été touchés par des armes chimiques. Un expert militaire cité par le Times, le 5 janvier, estimait que "si le phosphore blanc était délibérément utilisé contre une foule de gens, cela se terminerait devant la Cour pénale internationale à La Haye".
Le Monde.fr avec AFP
a écrit :Pour en revenir à Gaza, je suppose que tout le monde a constaté comment les dirigeants israëliens ont massacré jusqu'à la dernière heure précédent l'investiture d'Obama. Ce qui ne peut s'expliquer que par un deal entre Israël, l'ancienne administration américaine et la nouvelle au travers d'Obama lui-mëme. "Vous avez le champ libre jusqu'à mon arrivée. Je ne veux pas que mon investiture soit termie par de simages de massacres à la TV". Ignoble mais significatif. Verié
(com_71 @ jeudi 22 janvier 2009 à 05:53 a écrit :
Israël a ouvert une enquête sur l'utilisation de bombes au phosphore à Gaza LEMONDE.FR |
L'interview de l'ambassadeur Israëlien par Pujadas sur France 2 était du même tonneau surréaliste.
C'était, en substance :
Pujadas. On dit que ces armes ne seraient pas légales ?
L'ambassadeur. Si, elles sont légales, reconnues par le droit international, et tout et tout...
Pujadas. Tout de même, il parait qu'elles ne seraient pas tout à fait légales contre des civils...
L'ambassadeur. A ma connaissance, elles sont légales... Mais je ne suis pas un spécialiste de ces questions. Je vais m'informer bien entendu auprès de nos braves militaires. De toute façon, c'est bien difficile de distinguer les civils des militaires, parce que, comme vous le savez, le Hamas utilise les civils comme boucliers humains.
Pujadas. Certes, mais tout de mëme, si ce n'était pas légal ?
L'ambassadeur. N'ayez aucune inquiétude. Je vais m'informer. S'il le faut, il y aura une enquëte.
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Comment réagissent les gens autour de vous à ce genre de choses, en dehors des militants évidemment ?
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