Le texte du congrès LO vis-à-vis du NPA

[pelon]

Revenons dans le sujet.

[Crockette]

Je ne pense pas que le combat communiste révolutionnaire gagne grand chose à la multiplication des groupes se réclamant du combat trotskyste.

[jeug]

[quote=" (Crockette @ mercredi 31 décembre 2008 à 11:11"]
Je ne pense pas que le combat communiste révolutionnaire gagne grand chose à la multiplication des groupes se réclamant du combat trotskyste.
Franchement, Croquette, ça n'apporte pas grand chose de dire ça.
Personne ne dit que le combat communiste révolutionnaire gagnera beaucoup à la multiplication des groupes se réclamant du combat trotskyste.
Ou alors, dis-moi qui.

[roudoudou]

Jeug,mon ami,je me trouve rarement en"harmonie" avec Croquette,mais la ce que tu lui répond,c'est n'importe quoi.

Non moi je ne trouve pas perso qu'à donc écrit de si dérangeant pour toi Jeug????

Crockette Je ne pense pas que le combat communiste révolutionnaire gagne grand chose à la multiplication des groupes se réclamant du combat trotskyste.

jeug Franchement, Croquette, ça n'apporte pas grand chose de dire ça.

Et bien oui écrire ça n'apporte pas grand chose et personne ne prétend vouloir ici la multiplication des groupes Trotskiste?????



modération -totore

[Crockette]

bon je ne récuse pas les termes de lucifer à mon égard, il est vrai que mes idées ici sont apolitiques je base toutes mes réflexions, toutes mes idées sur un axiome détaché du trotskisme à savoir :

nous devenons depuis dirais je 2002 (mais avt aussi), de véritables larbins des employeurs, et ce fait est étayé par plusieurs facteurs objectifs dénués de toute idéologie, que j'ai dénoncé ici :

annualisation du temps de travail
libre séparabilité
précarité des contrats de travail
développement chez les patrons d'un sentiment de toute puissance vis à vis de leurs "collaborateurs"
compétition exacerbée entre travailleurs l'exemple de renault en est un parmi d'autres notamment chez les ingénieurs.
écrasement de ssalaire au profit des dividendes des actionnaire et des bénéfices des patrons.

et enfin le meilleur : multiplication ds tous les secteurs des entretiens d'évaluation qui n'ont qu'un seul but à long terme : classer les salariés, les noter sur des critères "maison" et ensuite virer les plus récalcitrants...au bourrage de crane patronal. ce système est infantilisant, scolaire et d'un point d evue philosophique rabaisse l'homme à une simple variable d'ajustement dans un système de production.
culpabilisation des chomeurs...à l'heure ou l'industrie française s'évapore comme neige au soleil...

pour l'instant pour revenir au sujet, c'est LO que je soutiens car le NPA est une espèce de soupe de n'importe quoi, le troskisme c'est la meilleure façon d'arreter les dégats du capitalisme chez les travailleurs et les dégats infligés à la planète. Altermondialiste comme communiste du PCF ou dela CGT c'est aller droit ds le mur, on peut pas proner du capitalisme adoucie, ça fait trente ans que ça marche pas.

encore faudrait il que LO ait le courage de dénoncer le ssyndicats qui trahissent ouvertement les intérets de stravailleurs et nepas se contenter d'une position de neutre comme lorsque je lis son journal sur le net...

[com_71]

encore faudrait il que LO ait le courage de dénoncer les syndicats qui trahissent ouvertement les intérêts des travailleurs et ne pas se contenter d'une position de neutre comme lorsque je lis son journal sur le net...

Vieux débat.

"ouvertement", tu en es vraiment sûr ? Et es-tu sûr que LO se contente d'une position neutre ?

exemple, extraits d'un article sur les élections prud'homales :

Les élections prud'homales : répondre aux attentes des travailleurs qui veulent faire face aux patrons

Les résultats des élections aux conseils des prud'hommes, le 3 décembre, ont été marqués d'une part par la progression des résultats de la seule CGT, parmi les grandes confédérations syndicales, et d'autre part par une nouvelle baisse du taux de participation des salariés à cette élection.

...

Si ce résultat peut conforter les militants CGT qui dans les entreprises font tout pour avoir une attitude plus combative, c'est tant mieux. Bernard Thibault, le secrétaire général de la CGT, avait déclaré avant ces élections qu'elles seraient « un test social » ; après les résultats, il a dit que ceux-ci avaient « une vraie signification dans le contexte actuel ; c'est un message adressé au gouvernement et aux employeurs sur la politique sociale et économique mise en œuvre ». Mais comment le dirigeant de la première confédération syndicale du pays va-t-il traduire dans les faits ce « message » ?

En effet, il y aurait du chemin à faire de la part de tous les dirigeants confédéraux, s'ils voulaient vraiment redonner confiance aux travailleurs dans l'action collective, et par là le goût et l'envie de s'investir dans l'action syndicale. Car si ces élections ont été marquées, encore cette année, par le barrage de bien des employeurs à la participation de leurs salariés à ces élections, la désaffection croissante des salariés a aussi bien d'autres raisons.

...

Mais si la participation des salariés n'a jamais cessé de chuter, passant (selon les chiffres de la CGT) de 63,25 % en 1979 à 25,54 % cette année (32,66 % en 2002), la politique des grandes confédérations syndicales y est aussi pour quelque chose. Cela fait des années que le patronat est à l'offensive, appuyé par les gouvernements en place. La peur du chômage a certes pesé, mais la passivité des grandes confédérations aussi. Avant même ces dernières semaines et le développement soudain de la crise, elles n'ont jamais présenté le moindre plan de mobilisation, ni indiqué comment à leur avis les travailleurs pouvaient mettre en échec l'offensive gouvernementale et patronale.

Les compétitions les plus acharnées entre confédérations syndicales (y compris dans ces élections) ont porté sur leur place respective dans les futures rencontres auxquelles le gouvernement et les patrons voudront les convier ; on n'ose pas dire « négociations », tant ce sont ces derniers qui dictent leur loi. Mais justement, ce qui est plus urgent que jamais est d'inverser ce rapport de forces au profit des travailleurs. Cela ne se jouera pas autour des tables de négociation mais dans les usines, dans les bureaux, dans la rue. Les travailleurs qui ont manifesté leur volonté de ne pas se laisser faire dans ces élections doivent être entendus, non seulement du patronat, mais aussi de ceux qui se proclament leurs dirigeants.

[Valiere]

En réponse à Crockette : au moins LO ne cogère pas loyalement des syndicats comme le POI ou la LCR! et là je parle des positions clés dans la direction confédérale de FO ou la direction fédérale de la FSU !

[roudoudou]

Crockette encore faudrait il que LO ait le courage de dénoncer le ssyndicats qui trahissent ouvertement les intérets de stravailleurs et nepas se contenter d'une position de neutre comme lorsque je lis son journal sur le net...

salut Crockette :wavey:

Tu es sérieux quand tu nous écrit cette ânerie sur le falo???? :swoon:
car on li le même canard sauf que je le reçois par la poste le samedi????? :swoon:

la seul chose que fait le journal ou le canard de Lo et à tout à fait raison du reste.
Ne pas mettre la base militante quelque soit l'étiquette syndical dans le même panier que les bureaucrates carriéristes.
Comme les Blondel, la mère nota et tout les autres dans le même moule.