a écrit :Un rapport sur Besancenot trouvé lors des perquisitions chez Taser France
Par LEXPRESS.fr, mis à jour le 15/10/2008 12:07:39 - publié le 15/10/2008 09:18
Mardi 14 octobre, les enquêteurs ont trouvé au siège de la société SMP Technologies-Taser France une copie du rapport de surveillance visant le porte-parole de la LCR et sa famille.
Magistrats et policiers vont de surprise en suprise dans l'enquête sur l'espionnage dont ont été victimes Olivier Besancenot et sa famille. Selon des sources concordantes, lors d'une perquisition le 14 octobre au siège de la société SMP Technologies-Taser France, ils sont tombés sur le rapport de surveillance émanant d'une officine privée. Il s'agirait d'une version plus aboutie que celle révélée par L'Express en mai dernier.
En outre, les recherches effectuées sur la comptabilité de l'agence de détectives privés visée par l'enquête, ainsi que sur celle d'une associée, mettrait en évidence des sommes de plus de 20 000 euros pouvant correspondre au paiement de cette opération de surveillance.
L'avocate d'Antoine di Zazzo, le PDG de SMP Technologies-Taser France, a contesté toute implication de son client dans cette affaire.
Mercredi matin, un autre ancien policier a été placé en garde à vue dans les locaux de la Brigade de répression des atteintes à la personne (BRDP).
a écrit :Espionnage de Besancenot par Taser: pas d'atteinte à la vie privée
NOUVELOBS.COM | 24.10.2008 | 07:51
Le parquet de Paris ne retient pas le chef d'"atteinte à l'intimité de la vie privée" dans l'affaire de l'espionnage présumé du leader trotskiste, considérant que les détectives ont agi dans des endroits publics.
Le parquet de Paris n'a pas retenu le chef d'"atteinte à l'intimité de la vie privée" dans l'affaire de l'espionnage présumé d'Olivier Besancenot par la société Taser France, révèle L'Express, jeudi 23 octobre.
Pourtant, les éléments de l'enquête démontrent que des détectives ont pris en filature et photographié le dirigeant d'extrême-gauche ainsi que sa compagne, et sont allés jusqu'à mentionner l'adresse de l'école où est scolarisé son enfant.
La justice considère que les détectives ont agi dans des endroits publics, et qu'il ne s'agit juridiquement pas d'une atteinte à la vie privée. Cette décision surprenante, si elle était confirmée par le juge, pourrait faire jurisprudence, notamment dans les affaires opposant des personnalités à la presse people.
Toujours selon L'Express, le parquet a en revanche retenu les infractions liées à la consultation de fichiers administratifs.
Antoine di Zazzo, le directeur de Taser France, reconnaît avoir engagé des détectives privés mais, dit-il, uniquement afin de trouver l'adresse de Besancenot afin de lui envoyer une assignation.
(shadoko @ vendredi 24 octobre 2008 à 12:08 a écrit : Je trouve ça étonnant qu'il choississe d'être défendu par Mamère. Mais bon.
Bof!
Là il joue petits bras.
On reste dans la connivence.
Choisir maître Varaut, ça, ça aurait fait causer dans les salons en ville et à la télé
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