En gros la bourse de Paris est à son niveau de 2003, ce qui n'est pas si mal

(Ottokar @ lundi 13 octobre 2008 à 22:25 a écrit :(Crockette @ lundi 13 octobre 2008 à 20:32 a écrit :sinon nous sommes déjà perdant puisque lorsque la planche à euros fonctionne à plein régime...c'est l'inflation qui va galoper, sans oublier que l'euros risque de passer d'une monnaie puissante à une monnaie de singe...
Pour l'inflation, je pense que tu as raison, mais pour ce qui est de la monnaie de singe, c'est très relatif. Car toutes les monnaies sont des monnaies de singe et l'euro n'était "puissant"' que par rapport au dollar qui était faible. Le dollar est un peu remonté, mais vu le poids des dettes US en dollars, il n'y a pas de raison qu'il remonte tant que cela.
Les monnaies reflètent les rapports de forces entre Etats et les USA restent la puissance dominante. Le yuan n'est pas encore coté et pas près de l'être!
a écrit :En gros la bourse de Paris est à son niveau de 2003, ce qui n'est pas si mal
a écrit :Sauf que le niveau de 2003 était déjà celui de 1997 (entre les deux bulle internet). Donc ça progresse guère, tout ça....
(Puig Antich @ mardi 14 octobre 2008 à 16:19 a écrit : De plus, la valeur des actions n'est qu'une image déformée, comme celle des prix en général à notre époque, de la santé des entreprises capitalistes.
(Ottokar @ mercredi 15 octobre 2008 à 07:36 a écrit : Quant au yuan, contrairement à ce que dit Vérié, il était impossible à un spéculateur de spéculer dessus, d'en acheter l'équivalent de 100 000 ou 1 million de dollars en espérant voir son cours s'apprécier (ce qu'il a fait en partie).
a écrit :
Ces dernières années, la Chine a accumulé de considérables réserves de change en dollar afin de contrecarrer l’appréciation de sa monnaie nationale (…) En 2004, les réserves totales se seraient élevées à 634 milliards de dollars (ça a encore beaucoup augmenté depuis NDV), alors qu’elles atteignaient 145 milliards de dollars en 1998 ( + 337 %)
Cette hausse exponentielle est due ; premièrement aux entrées de capitaux qui spéculent sur le yuan à la hausse. L’étude économique HEC-Eurasia estime que les flux d’investissement de portefeuille et les flux non identifiés auraient représentés 49 % de la hausse des réserves de change en 2004.
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