Comment lutter contre l'excision

[com_71]

des familles "naturelles " ont des motivations éducatives qui peuvent pour les mêmes raisons, dans cette société, être fondées sur d'autres intérêt que celui de l'enfant....
Naturellement.

Et maintenant, retour au sujet du fil ?

[artza]

Je connais pas la DASS d'aujourd'hui.

Mais si ça ressemble tant soit peu à l'Assistance d'il y a 50 ans. :w00t:

Ca y ressemble plutôt plus que moins, chez des gens qui ne font souvent ça que pour le fric.

Franchement cette réponse est complètement réac : je connais des structures pour momes en difficultés qui font un excellent "boulot" je me dis que les ( je vais mettre certains) trostkards sont les rois des amalgames...

Comparer l'ASE à la DASS et pourquoi pas aux bagnes d'enfants

Dire que ces structures le font pour le fric en oubliant qu’ils bossent ds des conditions déplorables avec un grand dévouement et motivation (je sais beurk c’est catho, ce mot)

je pourrais vous en parler pendant des heures : j'y ai consacré une partie de ma vie apres avoir été bolcho .Je pourrais en dire plus mais là je suis vénere :headonwall:

Toujours H-S, mais bon.

Mieux vaut lire ce qui est écrit et tenter de le comprendre, pour éventuellement le condamner et de toutes façons éviter d'amalguer les "trotskards" à tout ça en employant un adjectif qui ne convient que dans la bouche d'un stalinien ou d'un autre plus à droite encore :hinhin:

Pour ma part je suis heureux d'entendre que la DDASS et autres "structures" se sont vachement améliorées depuis 1953, date à laquelle j'ai cessé de les fréquenter.

Néanmoins, avant d'arrêter mon point de vue, j'attendrais d'avoir celui "d'usagers" plus récent.

[yannalan]

A mon modeste niveau, je dirais que oui, ça s'est amélioré dans la mesure où en 58, en campagne, on te disait carrément que "prendre les gamins de la DASS, ça ramène des sous tous les mois",pour certains c'était un genre d'élevage et le traitement de ces gosses par rapport aux enfants de la maison était souvent honteux.
Aujourd'hui,je connais des familles d'accueil, d'autres qui ont été refusées, je dois dire que parfois on se pose des questions sur les critères,mais dans l'ensemble, ça a l'air mieux.
Dans les cités ouvrières pauvres, la "DASS" est souvent vue comme un épouvantail. C'est vrai sue quand on retire des gosses parce que la famille n' a pas de maison, en dépensant plus pour leur accueil que pour donner un logement décent à al famille,on comprend la révolte aussi.
Même si les agents de la DASS ou de l'ASE font leur boulot avec conscience

[artza]

A mon modeste niveau, je dirais que oui, ça s'est amélioré dans la mesure où en 58, en campagne, on te disait carrément que "prendre les gamins de la DASS, ça ramène des sous tous les mois",pour certains c'était un genre d'élevage et le traitement de ces gosses par rapport aux enfants de la maison était souvent honteux.
Aujourd'hui,je connais des familles d'accueil, d'autres qui ont été refusées, je dois dire que parfois on se pose des questions sur les critères,mais dans l'ensemble, ça a l'air mieux.
Dans les cités ouvrières pauvres, la "DASS" est souvent vue comme un épouvantail. C'est vrai sue quand on retire des gosses parce que la famille n' a pas de maison, en dépensant plus pour leur accueil que pour donner un logement décent à al famille,on comprend la révolte aussi.
Même si les agents de la DASS ou de l'ASE font leur boulot avec conscience

Merci Yannalan, c'est en gros ce à quoi je faisais allusion, pas plus pas moins.

J'ajouterais qu'il n'y a pas que le problème de la famille d'accueil , de ses motivations et de ses compétences, mais aussi de l'environnement, l'opinion du village, celles des autres enfants à l'école etc... et puis la séparation de la famille que beaucoup d'enfants n'apprécient pas toujours.

Encore, une fois, je connais que par vague ouï-dire la situation actuelle et je n'en parle pas.

Je n'ai jamais abordé la question du personnel de ces institutions, je tendrais simplement à croire qu'ils font leur boulot avec les moyens qu'on leur donne et les "idées dominantes" de leur époque.