Les municipales, c'est en mars

Tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité politique en France

Message par gerard_wegan » 07 Déc 2007, 03:05

(com_71 @ jeudi 6 décembre 2007 à 23:10 a écrit :Un camarade est (re)tombé là-dessus :
(28 avril 1995 @  Roger Girardot a écrit :Mais nous reviendrons sur ces élections [municipales]. Car si nous pensons que les dirigeants du Parti Communiste et du Parti Socialiste sont responsables de la situation démoralisante où se trouvent les travailleurs, nous n'avons rien contre les militants de ces deux partis. Et nous ne sommes pas hostiles a priori à des listes communes, dans la mesure où il ne s'agit pas de soutenir une tête de liste qui aurait une part de responsabilité personnelle dans cette situation politique. En tout cas, nous sommes ouverts à cette discussion-là aussi.

C'est ici, dans le cadre des discussions ayant suivi les présidentielles de 1995.

Dit de façon aussi générale, cela n'éclaire en rien la discussion actuelle !
Des "listes communes" ? Mais sur quel programme ? Le texte se borne à ne pas avoir d'a priori (là au moins je suis d'accord : je n'en ai pas non plus :bleh: )... et renvoie à plus tard la discussion de fond. Ne "pas [...] soutenir une tête de liste qui aurait une part de responsabilité personnelle dans cette situation politique" ? Là aussi, c'était volontairement vague. Mais les camarades placeraient-ils aujourd'hui les députés PS dans cette catégorie ?
Remarquons au passage que l'idée est évoquée ici, juste après le 1er tour de la présidentielle de 1995, dans le cadre de l'annonce d'une démarche vers un éventuel nouveau parti. Mais LO n'y a pas donné suite : pour les municipales de juin 1995, elle n'a pas proposé de "listes communes" à une gauche qui n'était plus au gouvernement depuis deux ans et qui restait dans l'opposition avec l'élection de Chirac à la présidence.

Quoi qu'il en soit, ce n'est même pas de "listes communes" avec la gauche dont il s'agit aujourd'hui pour 2008, mais seulement de demander des places éligibles sur des listes de gauche. Dans cette logique, LO n'annonce même pas de plateforme politique minimale comme base de négociation avec le PS ou le PC ; elle ne peut que faire planer la menace de listes LO concurrentes !
gerard_wegan
 
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Message par artza » 07 Déc 2007, 07:34

Certes, chacun voit midi à sa porte.

Néanmoins ceux qui se contentent de hurler "virage à 180°", "tournant catastrophique", "dérapage irrémédiable" et qui appellent celà "discussion" connaissent à l'évidence assez peu la politique de LO ou du moins la manière dont LO peut aborder les problèmes et n'ont aucun titre à brandir une "rigueur" passée encensée pour la circonstance et l'opposer à un "opportunisme" d'aujourd'hui.

De quoi s'agit-il de discuter? Vraiment?

Ou de faire du scandale pour attirer sur soi l'attention de la galerie?
artza
 
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Message par gerard_wegan » 07 Déc 2007, 08:29

(artza @ vendredi 7 décembre 2007 à 07:34 a écrit :[...] connaissent à l'évidence assez peu la politique de LO ou du moins la manière dont LO peut aborder les problèmes [...]
Mais qui essaye de faire passer les vessies du passé (1971, 1988, 1995...) pour des lanternes éclairant le présent ? :33:

(artza @ vendredi 7 décembre 2007 à 07:34 a écrit :De quoi s'agit-il de discuter? Vraiment?
On peut effectivement se poser la question ! :whistling_notes:
gerard_wegan
 
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Message par Vérié » 07 Déc 2007, 08:29

(artza @ vendredi 7 décembre 2007 à 07:34 a écrit : (...)

Néanmoins ceux qui se contentent de hurler "virage à 180°", "tournant catastrophique", "dérapage irrémédiable" et qui appellent celà "discussion" connaissent à l'évidence assez peu la politique de LO ou du moins la manière dont LO peut aborder les problèmes et n'ont aucun titre à brandir une "rigueur" passée encensée pour la circonstance et l'opposer à un "opportunisme" d'aujourd'hui.

De quoi s'agit-il de discuter? Vraiment?

Ou de faire du scandale pour attirer sur soi l'attention de la galerie?

Bon, voilà Artza reparti sur la ligne de défense du départ, qui consistait à banaliser ce virage, voire à le nier complètement. Une autre ligne de défense consistait à dire qu'il s'agirait de cas particuliers, dans de petites comunes, avec de petits maires socialistes sympas etc. Tout ce discours n'a plus aucun sens, puisque les communiqués et déclarations officielles de LO ont au moins le mérite de reconnaitre le virage. Mais à l'aide d'un paragraphe sorti de son contexte, en l'interprêtant à leur manière, des camarades voudraient encore nous faire croire que cela a toujours été la politique de LO. Un peu de sérieux SVP.
__

Sinon, il y avait sur la 2 hier soir, vers 20 H 30 (je l'ai prise en cours) une émission sur le thème "Qui a peur de l'extrême-gauche ?" centrée sur Besancenot, avec la participation de Dray, Duhamel, une représentante du Modem et un conseiller de Sarko.

Olivier a été excellent comme d'habitude et on peut dire que Dray portait sa bassesse et son hypocrisie sur son visage. La représentante du Modem a été minable et le conseiller de Sarko paternaliste et démago, mais on ne l'a pas trop entendu.

Olivier a notamment repoussé avec mépris les propositions de Dray de participer à son projet Arc en ciel ( de l'EG à Bayrou - en s'inspirant parait-il le la coalition italienne). Olivier a expliqué clairement qu'il n'était pas dans le meme camp "de gauche" que ces gens-là qui soutiennent les mesures contre les retraites, étaient hostiles à la grève des cheminots. (Il n'a pas été question de LO ni de Arlette dans l'émission, du moins dans la partie que j'ai visionné, de sorte que Besancenot apparaissait comme le porte-parole de l'extrême-gauche.)

J'attend avec interet une confrontation entre Arlette et une personnalité PS de cette envergure pour voir si elle sera aussi catégorique qu'Olivier pendant la période des municipales.
Vérié
 
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Message par Ottokar » 07 Déc 2007, 09:07

(GW a écrit :Des "listes communes" ? Mais sur quel programme ? Le texte se borne à ne pas avoir d'a priori
Il y a eu quelques rares listes communes avec le PC, peut-être aussi avec la gauche entière. Je peux en citer une dans la banlieue de Troyes, avec un intitulé folklorique "La Chapelle pour tous", ce qui n'était pas une invitation à la messe, mais une référence à la commune populaire de La Chapelle St Luc... une liste soutenue par le PC, LO, le MDC et "des citoyens" sur laquelle figurait le futur élu LO de La Chapelle, porte parole de LO dans le département en 4ème position, je crois.
(Vérié a écrit :Bon, voilà Artza reparti sur la ligne de défense du départ, qui consistait à banaliser ce virage
Il y a une inflexion de la politique (de la tactique) électorale de LO, que reconnait Arlette. Mais ce n'est pas non plus la négation de principes sacrés, intangibles et atemporels comme le croit Vérié. La preuve, cela a déjà été fait ou envisagé.





mais porque no te callas ? moi aussi, j'ai dit que je me taisais...
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Message par Bertrand » 07 Déc 2007, 09:08

(Vérié @ vendredi 7 décembre 2007 à 08:29 a écrit :
J'attends avec interet une confrontation entre Arlette et une personnalité PS de cette envergure pour voir si elle sera aussi catégorique qu'Olivier pendant la période des municipales.

39 pages Vérié ! 39 pages pour en arriver à cette phrase qui, entre autres, pose bien les limites de ta compréhension de la politique de LO à moins qu'il ne s'agisse de toute autre chose.
39 pages sur le net pour en arriver là !
Bin je peux te dire que dans la vraie vie, il n'y a aucun doute !
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Message par com_71 » 07 Déc 2007, 09:13

Le post suivant d'Emma-Louise a été effacé à tort, puisque la lettre est maintenant publiée sur le site de la LCR.

a écrit :Lettre de la LCR à Lutte ouvrière

Cher(e)s Camarades,

Suite à la rencontre des délégations de nos directions respectives le 14 novembre, nous voudrions poursuivre la discussion engagée entre nous, revenir sur la politique qui nous semble devoir être celle des révolutionnaires aujourd’hui dans les mobilisations ainsi que face aux échéances électorales, préciser les points sur lesquels nous pensons qu’il serait possible d’unir nos forces par delà les divergences.

Le contexte social et politique, les mobilisations en cours, les problèmes et difficultés qu’elles rencontrent nous semblent donner la mesure des responsabilités qui sont les nôtres. Le bras de fer engagé entre les salariés de la SNCF et de la RATP et le gouvernement, la convergence qui s’est imposée, de fait, entre eux et les fonctionnaires le 20 novembre, les négociations que le gouvernement a été contraint d’ouvrir, la montée du mécontentement à travers tout le pays soulignent la nécessité d’un mouvement d’ensemble, les possibilités aussi d’agir et de peser dans ce sens. Au sein du monde du travail, une nouvelle combativité s’exprime, le mouvement dans les transports publics en est le témoignage. Les critiques de l’attitude de Thibault chez les cheminots et même dans la fédération CGT des cheminots traduisent d’une certaine manière le refus de la politique de diagnostic partagée des directions confédérales. Cette prise de conscience s’exprime aussi sur le terrain politique par rapport au PS qui n’a pas manqué une occasion de rappeler son accord avec la réforme des régimes spéciaux et des retraites se contentant de critiquer le gouvernement sur le terrain de la méthode.

Une telle situation crée pour nous de nouvelles responsabilités qui sont dominées par la nécessité d’unir les forces indépendantes du PS, se situant sur le terrain du mouvement ouvrier et agissant dans le sens de la préparation d’un mouvement d’ensemble, d’une contre offensive du monde du travail. C’est pourquoi nous pensons qu’il serait utile, profitable à chacune de nos organisations que s’établissent des liens entre nos camarades, à la SNCF par exemple, mais aussi chaque fois que cela est possible permettant de discuter de nos interventions, de les coordonner, de les unifier.

Il nous semble aussi, comme nous vous l’avons dit lors de notre dernière rencontre, que les élections municipales de mars 2008 prennent un sens particulier. Elles seront un test contre Sarkozy et sa politique, elles seront une nouvelle occasion de défendre les exigences du monde du travail, des mesures d’urgence sociale qu’Arlette Laguiller et Olivier Besancenot, chacun à leur manière, ont défendu durant les échéances électorales de 2007. Elles seront aussi l’occasion de regrouper, d’organiser sur la base des localités, mais aussi des entreprises, tous ceux qui s’y reconnaissent. Il est de l’intérêt de tous que nos deux organisations agissent ensemble dans ce sens. Notre direction nationale a adopté au mois de septembre une résolution municipale. Il y est dit : « Il s’agit de constituer des listes anticapitalistes, opposées à la politique du gouvernement Sarkozy/Fillon et indépendantes du Parti Socialiste. La LCR et ses sections prennent toutes les dispositions pour créer les conditions de telles listes dans le plus grand nombre de communes sur la base d’une plate-forme défendant les axes d’une politique anticapitaliste, autour du plan d’urgence sociale et démocratique que nous avons défendu lors des élections présidentielle et législatives de 2007. La LCR et ses sections chercheront à développer sur ces bases le rassemblement le plus largement unitaire, à l’échelon national si possible, et dans tous les cas à l’échelon local, en proposant un sigle commun.

Dans ce contexte et compte tenu de sa place dans le champ politique, la LCR continuera à se déployer au maximum. L’enjeu est bien d’être présent, à ces élections, dans plusieurs centaines de municipalités en proposant aux jeunes, aux salariés, aux militants syndicaux, associatifs qui regardent vers nous, aux électeurs d’Olivier Besancenot de constituer ces listes ensemble. Elle s’adressera également et largement à toutes les forces, collectifs, courants et militants, dont Lutte ouvrière qui au plan national et local partageraient la volonté de constituer un maximum de listes sur ces bases. Cela suppose l’acceptation d’une politique de rassemblement qui ne saurait se résumer à un tête à tête. »

C’est dans le cadre de cette orientation que nous nous adressons à vous.

Vous le savez, nous avons été étonnés de votre position pour ces prochaines élections. Il semble que vous envisagez dans une série de villes - Saint Brieuc, Besançon, Angers, Orléans et bien d’autres - de participer dès le 1er tour à des listes d’union de la gauche. C’est une première dans l’histoire de LO. Surtout que cette orientation se fait jour au moment où le PS est loin de s’opposer, c’est le moins qu’on puisse dire, à la politique de Sarkozy. De même, nous ne comprendrions pas que vous puissiez refuser de discuter des moyens d’unir nos forces pour les municipales en avançant l’argument qu’il y aurait entre nous un désaccord sur la question du nouveau parti à la construction duquel nous appelons.

Nous vous l’avons dit, et nous le réitérons dans cette lettre : nous ne faisons pas de l’adhésion à notre appel à un nouveau parti, une condition pour constituer des listes de rassemblement anticapitaliste pour les municipales. Nous aurions des divergences sur le parti dont le monde du travail à besoin. Peut-être bien que le sujet mériterait une discussion sérieuse. Vous-mêmes aviez proposé la perspective d’un nouveau parti des travailleurs au lendemain de l’élection présidentielle de 1995, quand l’extrême gauche, en la personne d’Arlette Laguiller, avait recueilli plus de 5% des suffrages Vous ne disiez pas à l’époque vouloir construire un parti « trotskyste », sans compter que le contenu actuel, pratique, de cette référence mériterait d’être précisé. Par ailleurs, - est-il besoin de le préciser - le parti anticapitaliste, révolutionnaire à la construction duquel nous appelons, ne saurait se considérer comme un bloc uni par avance. Nous ne dépasserons nos divergences passées qu’à travers le débat, en relation avec la pratique, en confrontation avec elle. Si les références de ce nouveau parti à la lutte de classes seront clairement établies , une série de questions devront être débattues et resteront ouvertes. Bien évidemment, dans le processus constituant de ce nouveau parti que nous espérons réussir à engager le regroupement d’organisations, de groupes militants, d’anciens militants du PC... passe par le droit à la libre organisation de chacun en tendance, voire en fraction, droit qui est, de façon plus générale, indissociable d’une véritable démocratie et qui sera nécessairement inscrit dans le fonctionnement d’un nouveau parti.

Il serait tout à fait préjudiciable que vous vous teniez à l’écart. Ala différence de ce que vous aviez fait en 95 à notre égard, nous nous adressons à vous. Nous pensons qu’il serait utile que nos deux organisations se donnent les moyens de peser ensemble sur la situation sociale et politique. Cette dernière a évolué depuis 1995 et l’appel d’Arlette à un parti des travailleurs, les conditions rendant possibles la construction d’un tel parti ont mûri. L’intégration toujours plus grande du PS à la politique libérale de la bourgeoisie, le déclin accéléré du PC incapable de rompre avec une politique qui ne vise qu’à défendre ses intérêts d’appareil, ses élus, le syndicalisme adapté à la politique des réformes des grandes confédérations syndicales rendent plus urgent la nécessité d’une nouvelle représentation des travailleurs.

C’est bien pourquoi, d’ailleurs, nous ne souhaitons pas, pas plus que vous, un tête à tête entre nos deux organisations, mais que nous vous proposons d’agir ensemble, dans le respect de nos divergences, pour mettre en oeuvre une politique d’unité et de rassemblement Les mobilisations, comme les élections, en sont l’occasion. Il nous semble nécessaire d’initier entre nos deux organisations, entre nos camarades de nouvelles relations, de nourrir entre nous un débat démocratique tel qu’il devrait avoir lieu entre différentes tendances du mouvement révolutionnaire.

Recevez, Cher( e)s Camarades, nos salutations communistes et révolutionnaires.

Le bureau politique de la LCR
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par Vérié » 07 Déc 2007, 09:36

(gerard_wegan @ vendredi 7 décembre 2007 à 03:05 a écrit : des listes communes, dans la mesure où il ne s'agit pas de soutenir une tête de liste qui aurait une part de responsabilité personnelle dans cette situation politique.
Je reprend ce qu'a souligné Gérard Wegan, car on dirait que certains ont fait semblant d'ignorer ces précisions :

1) Il ne s'agit pas de "listes communes", mais de quelques strapontins sur les listes d'Union de la gauche/gauche plurielle. De plus cette hypothèse était semble-t-il envisagée dans le cadre d'accords.

2) Considérez-vous qu'une personnalité comme Danielle Bousquet directrice de campagne de Ségolène Royal, n'a pas de responsabilité dans la politique anti-ouvrière ? Certes elle ne gouverne pas aujourd'hui et n'a pas gouverné à ma connaissance hier. Mais, comme bras droit d'une personnalité qui regrette les 35 H, qui trouve démagogique l'idée d'augmenter le SMIC etc, il me semble qu'elle a suffisamment de responsabilités pour entrer dans la catégorie "pas d'accord ou de soutien possible".
___

Toutefois, Gérard Wegan dit qu'il n'a pas d'a priori. Je n'ai pas non plus d'a priori non plus, et je l'ai dit, pour conclure des accords avec le PC (tout dépend du contenu etc), mais certainement pas avec le PS, sauf cas particuliers.
_____
J'ai jeté un oeil sur cette discussion de 95 grace au lien fourni par Com. Ce qu'on peut constater c'est que le ton, après le résultat des présidentielles, est assez optimiste voire un poil triomphaliste. Ce qui rappelle le ton actuel de la LCR qui tombe elle aussi (un peu plus peut-etre) dans le triomphalisme. Dans les deux cas, les illusions électoralistes sont évidentes : il y a confusion entre le succès d'un individu - Arlette ou Olivier - et celui de l'organisation qui le présente.
Vérié
 
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Message par com_71 » 07 Déc 2007, 09:41

exemple de ton triomphaliste :

a écrit : Nous sommes, nous le rappelons, une petite organisation qui n'a aucune existence dans les trois-quarts du territoire.
    Mais cela peut changer, cela doit changer, avec votre aide, nous l'espérons.
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