(nosiarvi7 @ mardi 6 novembre 2007 à 14:33 a écrit : vraiment un de ses meilleurs films (peut etre mieux que les sentiers de la gloire, qui passe cette semaine et mieux que full metal jacket qui est passé la semaine derniere ) :w00t: merci arte!!!
Ha oui, sur quelle chaine et a quelle heure ?
(en meme temps, je l'ai en DVD, c'est pour les autres :hinhin: )
(Zelda @ lundi 5 novembre 2007 à 17:38 a écrit : Barry Lindon, de Stanley Kubrick. Un film que l'on n'oublie pas, et très abordable.
http://television.telerama.fr/tele/emission.php?id=7156334
Une belle critique de Télérama :a écrit :CRITIQUE TELERAMA
3T
Film de Stanley Kubrick (Barry Lyndon, GB/Allemagne, 1975). D’après le roman de William Makepeace Thackeray. Image : John Alcott. Musique : adaptée par Léonard Rosenman. 180 mn. VM. Avec Ryan O’Neal : Barry Lyndon. Marisa Berenson : lady Lyndon.
Genre : fresque piquante.
En adaptant les Mémoires de Barry Lyndon, de Thackeray, récit picaresque situé dans l’Europe du XVIIIe siècle, Kubrick s’attaquait au cinéma romanesque en costume pour en donner sa version, évidemment à nulle autre pareille.
Son film est une suite de scènes splendides, venant illustrer un récit mené par la voix d’un conteur qui semble feuilleter pour nous les pages d’un livre d’images. Un procédé assez radical : la vedette, ici, c’est l’histoire qu’on nous raconte...
Celle de l’Irlandais Redmond Barry est a priori des plus plaisantes : pour fuir la police, après un duel, il s’engage dans l’armée anglaise, combat pendant la guerre de Sept Ans puis déserte et, coincé par un capitaine prussien, est enrôlé de force dans les troupes de Frédéric II. Pressé de devenir quelqu’un, il réussit à épouser la comtesse de Lyndon et à lui prendre son nom.
Au fil de son ascension, Barry Lyndon nous est de plus en plus étranger, et pourtant le film n’en est que plus fascinant. C’est que l’album d’images de Kubrick fonctionne comme un piège : dans ces magnifiques plans-tableaux, les personnages sont mis à distance, et leur petitesse saute aux yeux face à une histoire qui les dépasse.
Barry Lyndon se voit en héros, il n’est que le jouet du destin, et sa femme, une jeune beauté déjà embaumée. Sans jamais renoncer à une sorte de sérénité contemplative, Kubrick épingle sans pitié les vanités humaines.
Frédéric Strauss
Télérama, Samedi 3 novembre 2007
(Zelda @ lundi 5 novembre 2007 à 18:38 a écrit : Barry Lindon, de Stanley Kubrick. Un film que l'on n'oublie pas,
Ben si...
Comme souvent, pour moi les Kubrick...
et d'ailleurs souvent le cinéma.
C'était pour mettre un bémol à ce "concert" de louanges.
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