(Ottokar @ vendredi 28 septembre 2007 à 13:51 a écrit : Moi ce que je pense surtout c'est que col bleu est sans pouvoir aucun sur la classe ouvrière birmane, comme nous autres sans doute... c'est ce qui rend un peu ridicule l'affirmation péremptoirea écrit :Dans cette confrontation je pense que la classe ouvriére ne doit pas choisir de camp.
A moins qu'il ne s'agisse d'une maladresse de formulation et d'un commentaire sur le fait que nous serions indifférents aux affrontements actuels. Ce ne serait pas plus juste à mon avis et des militants birmans pourraient difficilement rester chez eux, regardant passivement des démocrates comme Aung San Suu Kyi i se faire arrêter et les bonzes se faire fusiller. Même si ce sont des bonzes...
Sur le fond, bien sûr, quand tout le peuple birman est dans la rue contre la dictature, nous devons le soutenir...
Mais ta critique de la formulation de Col Bleu, Ottokar, me semble un peu rude. Combien de fois, dans des textes, les trotskystes - ceux de la 4 comme les "ancètres" de LO - ont-ils pu écrire "la classe ouvrière de tel pays doit faire celci ou cela etc", alors qu'ils ne représentaient pas plus de quelques dizaines de personnes, voire moins, dans leur propre pays ?