Je suis tombe sur cet article(en anglais) de la tendance bolchevique internationale, qui decrit l'attitude pratique de soutien electoral a la gauche developpee par Trotsky vers la fin de sa vie.
http://www.bolshevik.org/
Il faut cliquer sur l'article concernant la france.
Avec le traducteur approximatif de Google ca donne ca:
En juin 1940, plusieurs chefs du parti socialiste américain d'ouvriers (SWP) ont visité le Mexique, où ils ont discuté la tactique pour l'élection présidentielle des États-Unis avec Leon Trotsky. Car le SWP ne pouvait pas tenir son propre candidat pour le président, Trotsky a suggéré une politique « d'appui critique » au parti communiste (CP), qui était alors, en raison du pacte de Hitler-Stalin signé moins qu'une année plus tôt, assumant un maintien d'anti-impérialiste de l'opposition à la participation américaine dans la deuxième guerre mondiale. Trotsky a suggéré que le SWP devrait essayer de tirer profit « de la coïncidence entre leurs slogans et le nôtre, » qui, il a observé, pourrait seulement être « transitoire, » en approchant les rangs de CP et en posant clairement les conditions pour l'appui électoral : « J'ai une suggestion concrète, celle que nous éditons une lettre aux ouvriers stalinistes : pendant cinq ans vos chefs étaient des protagonistes des démocraties, puis ils ont changé et étaient contre tous impérialismes. Si vous prenez une décision ferme pour ne pas permettre un changement de ligne puis nous sommes prêts au convoke par convention à soutenir votre candidat présidentiel. Vous devez donner un engagement. Ce serait une lettre de la propagande et de l'agitation aux ouvriers stalinistes. Nous verrons. Il est probable que la ligne changera en quelques semaines. Cette lettre te donnerait des possibilités libres sans devoir voter pour leur candidat. » - « Discussions avec Trotsky, » 12 au 15 juin 1940 Trotsky n'a pas regardé l'appui critique au CP en tant que certaine sorte « classe d'impératif catégorique contre classe », mais plutôt en tant que manoeuvre « sous très peu et très critique » : « Notre partie n'est plus liée à la manoeuvre staliniste [c.-à-d. appui critique dans l'élection présidentielle] qu'elle était au PS entrée réussie de manoeuvre [c.-à-d. le Trotskyists américain' dans le parti socialiste]. Néanmoins nous avons entrepris une telle manoeuvre. Nous devons ajouter les plus et le minus. » Le canon de James P., le chef central du SWP, a formulé l'objection suivante : « C'est une question fausse : [Le Président Franklin D. des États-Unis] Roosevelt contre les Staliniste. Ce n'est pas une véritable opposition de classe à Roosevelt. Probablement nous pourrions soutenir [comte de candidat de CP] Browder contre Roosevelt, mais Browder nierait non seulement nos voix, mais se retirerait en faveur de Roosevelt. » Trotsky a répondu : « Qui serait l'occurrence la meilleure pour nous. Après avoir établi nos conditions pour l'appui, cette capitulation nous gagnerait une section des Staliniste. » L'approche de Trotsky a été diamétralement opposée à une politique automatiquement du vote pour les parties réformistes indépendamment de leur disque et intentions avouées. L'appui électoral aux candidats du PCF/PS quand chacun les sait formera une coalition avec des montants de forces de bourgeois à approuver la collaboration de classe. Une politique révolutionnaire doit commencer en faisant à l'indépendance à partir de la bougeoisie une condition préalable pour n'importe quelle forme d'appui électoral. Ce n'est pas l'Omega de la tactique électorale de Trotskyist, mais c'est l'alpha. La classe ouvrière française a à plusieurs reprises démontré sa capacité pour la lutte et son désir de trouver une manière de résister efficacement à des attaques de capitaliste. De ce qu'elle manque est une organisation capable de fournir la conduite révolutionnaire, qui est préparée pour combattre agressivement le défaitiste, pro-capitaliste maintient l'ordre de la bureaucratie de syndicat et de leurs contre-parties parlementaires parmi le « socialiste » et « communiste » à gauche. Les critiques chargent de forger une telle conduite doivent commencer en assemblant un noyau des militants commis « classe à une politique révolutionnaire contre classe » et sans réserve opposés à chaque forme de frontism populaire.