Vers un grand parti anti-capitaliste

Tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité politique en France

Message par Frédo » 17 Avr 2007, 17:57

La capitalisme s'appuie sur la propriété privée, c'est un fait. Maintenant on peut renoncer à la propriété privée qu'elles soient de biens ou de moyens de production. Ce que je demande, c'est si ce parti réclamerait un retour sur le droit à celle-ci.

Revenir sur le libre échange revient à favoriser l'autarcie et à fermer les frontières. Si on adopte un système où l'on ne peut plus vendre et acheter à sa guise, il va de soi que cela sera encore plus difficile au-delà de nos frontières. Excuse-moi mais moi je suis pour une ouverture complète des frontières !

Empreint de libéralisme, certainement, mais tu l'es aussi certainement. Nous le sommes tous. D'abord parce que le libéralisme ne touche pas que l'économie et ensuite, parce qu'au niveau économique, on touche (presque) tous un salaire qui nous est donné en échange d'une tâche effectuée. Tu peux aller au bout des choses et refuser ce système en arrêtant de travailler, en vivant comme un ermite.

Je ne suis pas contre le libéralisme. Je regrette que ce libéralisme provoque toujours plus d'inégalité entre les individus, à l'intérieur d'un même état et entre les divers états. Je ne veux pas remettre en cause la liberté d'entreprendre. Que le type qui veut monter sa boîte la monte. J'ai des amis qui l'ont fait : pour l'instant, ils rament un peu mais j'espère que ça marchera pour eux. Je connais aussi des commerçants qui triment. Et pourtant ce sont des patrons qui ne gagnent pas énormément. Maintenant, ce qui me dérange, ce sont les fonds de pension qui traitent les ouvriers comme des outils, les grands patrons qui font couler les boîtes et partent avec la caisse, l'exploitation des salariés ! Mais ça, ce n'est dû au libéralisme ou au capitalisme mais bel et bien à la cupidité humaine. Et ceci, dans n'importe quel système, elle sera présente ! Alors, je préfère faire partie d'une gauche égalitariste que d'une gauche anti-capitaliste, ça ne fait pas de moi un jeune libéral.

J'ajouterai pour finir que je n'aime pas les "anti" car s'opposer ne signifie pas forcément proposer et la seule chose dont je me réclame anti, c'est anti-sectarisme et par conséquent, anti-FN !
Frédo
 
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Message par lavana » 17 Avr 2007, 18:22

(Frédo @ mardi 17 avril 2007 à 18:57 a écrit : Je ne suis pas contre le libéralisme. Je regrette que ce libéralisme provoque toujours plus d'inégalité entre les individus, à l'intérieur d'un même état et entre les divers états. Je ne veux pas remettre en cause la liberté d'entreprendre. Que le type qui veut monter sa boîte la monte. J'ai des amis qui l'ont fait : pour l'instant, ils rament un peu mais j'espère que ça marchera pour eux. Je connais aussi des commerçants qui triment. Et pourtant ce sont des patrons qui ne gagnent pas énormément. Maintenant, ce qui me dérange, ce sont les fonds de pension qui traitent les ouvriers comme des outils, les grands patrons qui font couler les boîtes et partent avec la caisse, l'exploitation des salariés ! Mais ça, ce n'est dû au libéralisme ou au capitalisme mais bel et bien à la cupidité humaine. Et ceci, dans n'importe quel système, elle sera présente !


Merci donc de ta réponse. Tes sympathies politiques me paraissent toujours un peu étranges.

Ta conception du monde me semble relever d'une grande confusion politique. (je n'utilise pas le mot comme une injure)et je me demande si c'est une conception personnelle ou si tu t'appuies sur des lectures pour élaborer ton point de vue. (et donc quelles lectures ?)
lavana
 
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Message par regivanx » 17 Avr 2007, 19:09

[auto-modération ; propos de mauvais goût]

Tes références sont risibles. Wikipédia est bourrée d'idioties.

_ liberté d'entreprendre avec les risques associés,

Ou tu la vois la liberté d'entreprendre ? Pour entreprendre, il faut un capital, et pour obtenir ce capital, il faut emprunter. La liberté d'entreprendre est donc la liberté de la banque d'encaisser tes bénéfices ou de voler tes meubles. Et c'est la banque qui décide encore de te prêter ou pas.

_ une certaine liberté des échanges économiques,

Sottise ! Il n'y a aucune liberté ! Tous les échanges sont dirigés par les impérialistes grâce aux états, aux trusts, etc.

_ recherche du profit afin de rémunérer les prises de risque des actionnaires,

Encore une sottise. Les profits permettent avant tout l'accroissement du capital dans le cadre de la concurrence internationale. Qu'est-ce que ça veut dire « rémunérer les prises de risque » ?

Rémunérer : rétribuer, payer pour un travail, un service. (Petit Larousse)

Les capitalistes ne travaillent pas et ne rendent aucun service. Ils s'occupent simplement de dépenser une fraction des bénéfices et l'argent publique pour s'acheter des villas, des avions personnels et ce genre de chose. Ce sont des parasites. De plus ils ne prennent évidement aucun risque. Lorsqu'une entreprise fait trop peu de bénéfices, ils licencient, la délocalisent, ou la vendent en pièces détachées. Ce sont toujours les ouvriers qui prennent les risques. Une fois devenu millionnaire, un capitaliste ne perd jamais d'argent.

Nous ne vivons plus au temps du libéralisme depuis le début du 20ème siècle. Nous vivons au temps de l'impérialisme, le règne des grands monopoles.

Lis l'impérialisme, stade suprême du capitalisme
regivanx
 
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Message par Frédo » 17 Avr 2007, 21:26

Juste une question : qui est salarié ici d'un groupe privé ?

Moi personnellement, je suis salarié d'un service public non marchand. Je ne suis donc pas rémunéré par un groupe privé qui n'a pour but unique de faire des bénéfices. Et si je travaille dans ce service non marchand, c'est aussi un peu par conviction politique. J'aurai un peu honte de me réclamer de l'anti-capitalisme tout en continuant à enrichir des gens qui m'exploitent. Mais les convictions baissent parfois pavillon devant la nécessité !
Frédo
 
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Message par lavana » 17 Avr 2007, 21:28

(Frédo @ mardi 17 avril 2007 à 22:26 a écrit : Juste une question : qui est salarié ici d'un groupe privé ?

Moi personnellement, je suis salarié d'un service public non marchand. Je ne suis donc pas rémunéré par un groupe privé qui n'a pour but unique de faire des bénéfices. Et si je travaille dans ce service non marchand, c'est aussi un peu par conviction politique. J'aurai un peu honte de me réclamer de l'anti-capitalisme tout en continuant à enrichir des gens qui m'exploitent. Mais les convictions baissent parfois pavillon devant la nécessité !
Bien, bien, mais ce que tu écris n'a aucun sens .
lavana
 
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Message par Gaby » 17 Avr 2007, 21:30

(Frédo @ mardi 17 avril 2007 à 22:26 a écrit : Juste une question : qui est salarié ici d'un groupe privé ?

Moi personnellement, je suis salarié d'un service public non marchand. Je ne suis donc pas rémunéré par un groupe privé qui n'a pour but unique de faire des bénéfices. Et si je travaille dans ce service non marchand, c'est aussi un peu par conviction politique. J'aurai un peu honte de me réclamer de l'anti-capitalisme tout en continuant à enrichir des gens qui m'exploitent. Mais les convictions baissent parfois pavillon devant la nécessité !
Tu te poses ici une question individuelle : comment ne pas me compromettre ? Tu as la chance de pouvoir te la poser, ce n'est pas le cas de la majorité des travailleurs. En faisant de la politique, on ne cherche pas des solutions individuelles, ce que l'on veut c'est changer la société (ce qui est assez différent, même si c'est peut-être autant motivant de pouvoir se regarder dans le miroir). En fait, les travailleurs à qui tu reproches de se compromettre en enrichissant quelqu'un sont ceux qui, parcequ'ils produisent les richesses, peuvent transformer l'économie et s'en prendre au capital.
Gaby
 
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Message par Frédo » 17 Avr 2007, 21:54

Alors prenons le texte qui fait office de programme pour LO lors de ces élections (puisqu'Arlette Laguiller n'a pas émis de programme officiel mais reprend les éléments du dernier congrès de LO)

interdiction des licenciements dans les entreprises qui font des profits et maintien de l'emploi en prenant sur ces profits;
accès pour les salariés, les consommateurs et la population à toute la comptabilité des grandes entreprises. Il faut éclairer les circuits de l'argent, voir d'où il vient, par où il passe, où il va et à qui il va. Pas le genre de bilans qu'on montre une fois par an aux syndicalistes des comités d'entreprises. Il faut rendre publique mensuellement, voire au jour le jour, toute la comptabilité des grandes entreprises afin de savoir tout ce qu'elles prennent à la collectivité et tout ce qu'elles préparent;
relever le smic d'au moins 300 euros et interdire le temps partiel imposé et les emplois précaires, car il y a trop de travailleurs pauvres;
imposer la construction par l'État, et non par les municipalités, d'habitats sociaux vivables au sein des grandes agglomérations en réquisitionnant les terrains nécessaires; on en a trouvé du jour au lendemain pour les Jeux olympiques de 2012;
modifier la scolarité pour que, dans tous les quartiers, surtout les plus défavorisés, tous les enfants et, en particulier, ceux issus de l'immigration qui maîtriseraient mal le français, trouvent d'abord des classes maternelles en nombre voulu pour ne pas être surchargées et que des enseignants suffisamment nombreux pour être disponibles, puissent faire ce que les parents ne peuvent pas faire. Il faut faire de même au début de l'enseignement primaire.
Sur le plan politique, nous continuerons à œuvrer pour tenter de construire un véritable parti communiste qui défende les intérêts politiques du monde du travail.
Nous ne faisons pas un appel, comme certains l'ont cru, à unifier la multitude de groupuscules gauchistes, existants ou pas. Nous nous livrerons à un patient travail devant lequel les autres reculent mais qui peut, nous l'espérons, connaître des accélérations. Un travail de recrutement, en particulier en milieu ouvrier mais sans pour autant négliger les intellectuels. Nous continuerons aussi un travail de formation culturelle et politique non seulement pour nos militants mais vis-à-vis de tous ceux qui sympathisent avec nos idées. Nos efforts de recrutement individuel seront tournés en direction des jeunes, travailleurs ou intellectuels.
Nous continuerons et augmenterons l'effort réalisé avec notre presse d'entreprise qui s'adresse aux travailleurs du rang à la fois sur le terrain politique ou social en partant de ce qui concerne leur propre entreprise. Ceux de nos groupes d'entreprise qui ont cette activité, environ trois cents au total, s'adressent ainsi politiquement à leurs camarades de travail. De plus, évidemment, nos camarades salariés militent tous syndicalement et exercent le plus souvent des responsabilités élues.
Bien sûr, ils sont aussi les artisans de notre recrutement parmi les travailleurs: ouvriers, employés, personnel de santé, des transports, des services publics, qu'ils soient agents techniques ou enseignants.
C'est tout cela que nous voulons continuer et renforcer en 2006


Qu'est-ce qui est anti-capitaliste là dedans ? Interdire les licenciements n'est pas un acte anti-capitaliste mais un acte modérateur du capitalisme, l'accès des salriés à la gestion des entreprises non plus, pas plus relever le SMIC. Je tiens juste à dire que je suis d'accord avec toutes ces propositions qui à mon sens relèvent du bon sens. Mais aucune d'entre elles n'est anti-capitaliste. Ce ne sont que des actes de modération du capitalisme. Voilà où je veux en venir depuis le début : même LO, dans son "programme" ne remet pas en cause le capitalisme mais bel et bien ce que les hommes en font, à force que l'Etat se désengage. LO n'est pas anti-capitaliste ou alors ses propositions, qui, je le repète, pour une bonne partie d'entre elle, je soutiens, ne sont pas en accord avec son positionnement...
Frédo
 
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Message par emman » 17 Avr 2007, 22:45

(Frédo @ mardi 17 avril 2007 à 22:54 a écrit : Alors prenons le texte qui fait office de programme pour LO lors de ces élections (puisqu'Arlette Laguiller n'a pas émis de programme officiel mais reprend les éléments du dernier congrès de LO)

interdiction des licenciements dans les entreprises qui font des profits et maintien de l'emploi en prenant sur ces profits; 
accès pour les salariés, les consommateurs et la population à toute la comptabilité des grandes entreprises. Il faut éclairer les circuits de l'argent, voir d'où il vient, par où il passe, où il va et à qui il va. Pas le genre de bilans qu'on montre une fois par an aux syndicalistes des comités d'entreprises. Il faut rendre publique mensuellement, voire au jour le jour, toute la comptabilité des grandes entreprises afin de savoir tout ce qu'elles prennent à la collectivité et tout ce qu'elles préparent; 
relever le smic d'au moins 300 euros et interdire le temps partiel imposé et les emplois précaires, car il y a trop de travailleurs pauvres; 
imposer la construction par l'État, et non par les municipalités, d'habitats sociaux vivables au sein des grandes agglomérations en réquisitionnant les terrains nécessaires; on en a trouvé du jour au lendemain pour les Jeux olympiques de 2012; 
modifier la scolarité pour que, dans tous les quartiers, surtout les plus défavorisés, tous les enfants et, en particulier, ceux issus de l'immigration qui maîtriseraient mal le français, trouvent d'abord des classes maternelles en nombre voulu pour ne pas être surchargées et que des enseignants suffisamment nombreux pour être disponibles, puissent faire ce que les parents ne peuvent pas faire. Il faut faire de même au début de l'enseignement primaire. 
Sur le plan politique, nous continuerons à œuvrer pour tenter de construire un véritable parti communiste qui défende les intérêts politiques du monde du travail. 
Nous ne faisons pas un appel, comme certains l'ont cru, à unifier la multitude de groupuscules gauchistes, existants ou pas. Nous nous livrerons à un patient travail devant lequel les autres reculent mais qui peut, nous l'espérons, connaître des accélérations. Un travail de recrutement, en particulier en milieu ouvrier mais sans pour autant négliger les intellectuels. Nous continuerons aussi un travail de formation culturelle et politique non seulement pour nos militants mais vis-à-vis de tous ceux qui sympathisent avec nos idées. Nos efforts de recrutement individuel seront tournés en direction des jeunes, travailleurs ou intellectuels. 
Nous continuerons et augmenterons l'effort réalisé avec notre presse d'entreprise qui s'adresse aux travailleurs du rang à la fois sur le terrain politique ou social en partant de ce qui concerne leur propre entreprise. Ceux de nos groupes d'entreprise qui ont cette activité, environ trois cents au total, s'adressent ainsi politiquement à leurs camarades de travail. De plus, évidemment, nos camarades salariés militent tous syndicalement et exercent le plus souvent des responsabilités élues. 
Bien sûr, ils sont aussi les artisans de notre recrutement parmi les travailleurs: ouvriers, employés, personnel de santé, des transports, des services publics, qu'ils soient agents techniques ou enseignants. 
C'est tout cela que nous voulons continuer et renforcer en 2006


Qu'est-ce qui est anti-capitaliste là dedans ? Interdire les licenciements n'est pas un acte anti-capitaliste mais un acte modérateur du capitalisme, l'accès des salriés à la gestion des entreprises non plus, pas plus relever le SMIC. Je tiens juste à dire que je suis d'accord avec toutes ces propositions qui à mon sens relèvent du bon sens. Mais aucune d'entre elles n'est anti-capitaliste. Ce ne sont que des actes de modération du capitalisme. Voilà où je veux en venir depuis le début : même LO, dans son "programme" ne remet pas en cause le capitalisme mais bel et bien ce que les hommes en font, à force que l'Etat se désengage. LO n'est pas anti-capitaliste ou alors ses propositions, qui, je le repète, pour une bonne partie d'entre elle, je soutiens, ne sont pas en accord avec son positionnement...

Si, il y a un programme ici

mais ça reprend (ce qui est logique) les points que tu as cités.
emman
 
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Message par Frédo » 18 Avr 2007, 07:52

(El convidado de piedra @ mardi 17 avril 2007 à 22:05 a écrit : Bah oui, c'est un programme de modération du capitalisme et à la fois c'est un programme anti-capitaliste.

Comment ça? Comme ça: Ce programme bien que ce ne soit que des réformes possibles sous le capitalisme, c'est impossible sous le capitalisme....parce que la classe capitaliste a besoin exactement du contraire: de prendre chaque fois plus dans les poches des travailleurs elle ne peut pas vivre sans augmenter l'exploitation.

Donc c'est un programme réformiste...révolutionnaire; ou mieux, pour la comprehension; il s'agit d'un programme communiste pour la période actuelle.

Comment une chose peut être réformiste et révolutionnaire à la fois? Voila le secret qu'il faut trouver...

Mais comme secret il n'y en a pas; il s'agit tout simplement de moduler les revindications à ceux qui les masses peuvent comprendre et s'en emparer pour leurs luttes et c'est le premier pas de la longue (ou moins longue) marche qui amene à la révolution socialiste.

Si c'est pas encore clair, fais signe, mais demain, je bose moi (dans le privé malhéreux que je suis) et je dois aller me coucher.
Non là, ce que tu décris, c'est un effet pervers du capitalisme mais en aucun cas son essence même. La preuve, c'est que LO et les autres formations de gauche croient (c'est dans leur programme) qu'il est possible d'incorporer une plus grande dose d'égalité. Quand sont arrivés les congés payés, on aurait pu dire que c'était une mesure anti-capitaliste dans ce cas, or la capitalisme n'a pas disparu avec les congés payés. Augmenter le SMIC réduira les inégalités mais en aucun cas, ne tuera le capitalisme. Voilà pourquoi je répète que l'anti-capitalisme (comme l'anti-libéralisme et ça ce n'est pas moi qui le dis mais la porte-parole de LO) ne veut rien dire en soi. Le problème n'est pas là d'ailleurs. Que le type qui crée son entreprise gagne de l'argent n'est pas scandaleux en soi. Ce qui l'est, c'est qu'à côté des milliards brassés par les grands groupes pour enrichir actionnaires et responsables, il y a des hommes et des femmes qui n'ont pas de quoi se payer à bouffer. Mais là c'est plus la société de l'individualisme que la société capitaliste même s'il est vrai que la capitalisme peut mener vers l'individualisme.

Et là où je suis d'accord avec toi, c'est quand tu dis que c'est un programme réformiste d'influence socialiste.
Frédo
 
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