je me fonde sur ça:
a écrit :Cela démontrerait donc que des facteurs qui influencent l’expression d’un gène, sans modifier le gène lui-même, sont transmissibles au moins sur deux générations. En l’occurrence, les nutriments comme le zinc ou la B12 influent sur la méthylation de l’ADN, un mécanisme épigénétique qui permet d’inactiver un gène.
maintenant si j'ai bien compris, et ont comprend encore mal comment le zinc ou la B12 administrés à une génération et pas à la suivante peuvent continuer à influencer l'expression de genes. Pour cela il faudrait mieux comprendre la cascade d'evenements et de signaux chimiques qui influe cette expression.
ce qu'on peut penser c'est que dans la souris de deuxieme génération, cette expression génétique continue à etre modifiée et que le zinc ne peut plus etre mis en cause,
c'est donc que c'est le developpement épigénétique de la deuxieme génération qui a un impact sur le developpement epigénetique de la troisieme, et ainsi de suite...
reste bien sur à comprendre comment, quels osnt les facteurs épigénétiques qui subsistent et qui continue à modifier l'expression des gènes.
pour le moment on constate simplement que des facteurs épigénétiques perdurent sur plusieurs générations mais on ne sait pas expliquer comment.
comme disent les auteurs de l'article de PLOS ONe sur le poulet:
a écrit :
Significance
Our results suggest that, in WL the gene expression response to stress, as well as some behavioural stress responses, were transmitted across generations. The ability to transmit epigenetic information and behaviour modifications between generations may therefore have been favoured by domestication. The mechanisms involved remain to be investigated; epigenetic modifications could either have been inherited or acquired de novo in the specific egg environment. In both cases, this would offer a novel explanation to rapid evolutionary adaptation of a population.