a écrit :Je ne suis pas militant de sinistra critica en italie (ouf) et donc je ne peux pas faire grand chose pour eux.
La seule maniere d'etre un peu aidant dans cette histoire, c'est aussi de tirer les bilan d'une politique desastreuse. Aujourd'hui, tu le dis toi meme, ce courant, c'est environ 200 militants noyé dans un parti de dizaine de milliers d'adherant.
Un courant qui aussi peu de militants après des années de travail dans rifondazione, c'est un aveu d'echec. Et de plus comment arriver à gerer une situation aussi perilleuse (avoir des élus en situation de mettre en minorité le gouvernement) quand on a aussi peu de militants pour expliquer sur le terrain sa politique.
Non, decidement, le piege est diabolique, et c'est Sinistra Critica qui la construit lui meme. A ce titre, relire les taxtes triomphaliste des années précedente annoncant un "tournant à gauche" de Rifondazione ne manque pas de piquant.
Je suis d'accord : si Turigliatto se retrouve dans cette situation aujourd'hui, c'est en raison de la politique d'abdiquation de Sinistra critica. Ils ont décidés de rompre avec cela et de mener une politique indépendante, de mener une bataille de fraction et s'apprête à une exclusion imminente. Ils doivent poursuivre, rectifier leur ligne politique, et ils le font. Leur nouvelle orientation est elle la bonne? Au vue des différentes possibilités, je le pense. Il faut donc les soutenir dans cette voie.