Pourquoi est-ce qu'un article publié dans un journal algérien est de facto sujet à caution sans qualification ? Avez-vous lu l'article ? Pourquoi ne pas répondre point par point sur ce qui pourrait vous déranger ou poser question dans cette article. Les quelques écrits que la presse locale (lire française) ait pu s'arracher sont tous disponbles sur Internet, si vous souhaitez les lire.
Le premier article était écrit après le première audience et ne se propose uniquement de rendre compte des témoignages donnés lors de cette audience, mais l'information donné est déjà édifiant.
En ce qui concerne l'édition du livre Le huitième mort deTibhirine, ce livre est édité en même temps dans deux éditions, l'une aux Editions Tatamis en France et un autre aux Editions Lazhari Labter avec Le Soir d'Algérie, ce qui, pour un sujet dont tout le même semble voulair se taire, constitue déjà un exploit un soi. Le manuscrit a été présenté à bon nombre de maisons d'éditions ; au retour, j'ai reçu autant de lettres que de manuscrits envoyés exprimant l'intérêt du texte et sa qualité d'écriture, mais là encore, chacun a trouvé une raison pour ne pas le faire. En fait, après la signature avec la maison d'édition française, j'ai réçu deux propositions de publication, dont une d'une grande maison.
Le livre parle pour lui-même en mon nom et rien d'autre, ni pour aucun éditeur ni pour personne d'autre, de même que je ne suis pas responsable des émanations des éditeurs.
Je n'ai pas l'arrêt de la cour d'appel, mais le juge était catégorique dans ses conclusions sur les deux accusations, dont le fait que ce lobby médiatique existe bel et bien et sur le fait que la campagne de calomnie est avérée.
Rina Sherman
Petite correction, M. Bercoff, que je ne connais pas, a préfacé un des livres des éditions Tatamis.
Avez-vous lu le livre Le huitième mort de Tibhirine ?
Vos commentaires d'ancien combattants sont fort intéressantes, mais dépassent le sujet du livre, pourquoi ne lire le livre, compte rendu de la contre-enquête menée sur une période de dix-huit mois, qui méritent votre attention. Je n'ai pas été de la période dont vous parlez, et même si je trouve vos commentaires intéressantes, il s'agit ici du ici et maintenant de vie de notre droit à le liberté d'expression. Le livre commence d'ailleurs avec les mots suivants : « Le maquis c'est Paris, Madame. » Lisez dont comment la belle capitale s'est tranformée en maquis pour la citoyenne Sherman et répondez au propos qui y sont exposées.