Dans les agissements de l'an dernier, Vérié a sacrément banalisé ses propos, des "agissements" on est loin "d'une révolte d'une fraction de la jeunesse prolétarienne" car c'est ça qui était discuté et que je conteste.
Encore une fois si je comprends bien une révolte de la jeunesse etc... pour des révolutionnaires c'est quand vachement positif et ça ouvre des perspectives, alors lesquelles?
Et dans ce cas les réserves de Vérié sur "certaines manifestations" n'ont pas de sens. Par exemple quand à la fin de la manif des sidérurgistes lorrains à Paris en 198... certains la rage au ventre par l'impuissance organisée et imposée par les syndicats ont descendus des vitrines autour de la gare de l'Est à Paris avant d'embarquer dans le train qui pouvait condamner ça?
En 1968 on pouvait écrire des choses du genre
Les étudiants nous montre la voie.
Peut-on écrire la même chose dans cette situation?