les incendies de bus

par **com_71** » 29 Oct 2006, 18:27

Sur les provocations : Malheureusement pas besoin d'aller chercher ça (bien que l'éventualité ne soit pas à exclure). L'état de démoralisation, le manque de solidarité, l'individualisme est tel dans une fraction de la jeunesse que j'imagine très bien que de tel salopards puisse "agir" sans avoir à être tenus par la main.

Notre solution est dans l'organisation de la population travailleuse. Y'a du pain sur la planche !

par **Gaby** » 29 Oct 2006, 18:33

(Zelda @ dimanche 29 octobre 2006 à 18:26 a écrit : Et même quand les jeunes l'emploient entre eux, c'est avec légéreté, en souriant... "Eh mais tu t'émancipes toi, une vraie p'tite racaille !" Et dans ce cas, je me marre avec eux ! Car ça ne renvoie pas ni au sens raciste, ni au sens de véritable nuisible... Bref, trop d'abus de ce mot fourre-tout selon qui l'emploie.

Sur comment nommer les jeunes de banlieue en général, autre problème... Parce que ne pas les nommer, c'est nier qu'ils ont un ou des problèmes spécifiques, et ils estiment (à juste titre) qu'ils en ont. Alors eux ont repris ce mot ironiquement... Mais je ne sais pas comment les nommer moi, de façon à être comprise de tous sans arrière pensée : à part "jeunes des banlieues"... Et pour la minorité qui a franchement mal tourné, je dis "caïd"... Voilà... Maintenant si d'autres ont d'autres idées.

C'est important les mots pour désigner les gens sur des sujets aussi brûlants.

Sauf que tu ne peux pas parler de "jeunes de banlieue" au sujet des violences d'octobre-novembre 2005, puisqu'il s'agit peut-être tout au plus d'1% de ladite jeunesse (fourchette TRES large, voire carrément ridicule).

par **Combat** » 29 Oct 2006, 18:36

(Gaby @ dimanche 29 octobre 2006 à 18:33 a écrit :
(Zelda @ dimanche 29 octobre 2006 à 18:26 a écrit : Et même quand les jeunes l'emploient entre eux, c'est avec légéreté, en souriant... "Eh mais tu t'émancipes toi, une vraie p'tite racaille !" Et dans ce cas, je me marre avec eux ! Car ça ne renvoie pas ni au sens raciste, ni au sens de véritable nuisible... Bref, trop d'abus de ce mot fourre-tout selon qui l'emploie.

Sur comment nommer les jeunes de banlieue en général, autre problème... Parce que ne pas les nommer, c'est nier qu'ils ont un ou des problèmes spécifiques, et ils estiment (à juste titre) qu'ils en ont. Alors eux ont repris ce mot ironiquement... Mais je ne sais pas comment les nommer moi, de façon à être comprise de tous sans arrière pensée : à part "jeunes des banlieues"... Et pour la minorité qui a franchement mal tourné, je dis "caïd"... Voilà... Maintenant si d'autres ont d'autres idées.

C'est important les mots pour désigner les gens sur des sujets aussi brûlants.

Sauf que tu ne peux pas parler de "jeunes de banlieue" au sujet des violences d'octobre-novembre 2005, puisqu'il s'agit peut-être tout au plus d'1% de ladite jeunesse (fourchette TRES large, voire carrément ridicule).
Estimation ridicule. 1% soutenus par des dizaines de milliers de gens, et sympathiques a des centaines de milliers d'autres.

par **Gaby** » 29 Oct 2006, 18:37

(Combat @ dimanche 29 octobre 2006 à 18:36 a écrit : Estimation ridicule. 1% soutenus par des dizaines de milliers de gens, et sympathiques a des centaines de milliers d'autres.
Mais oui, à 40 par bagnoles quand il y en a eu au plus 10000, sans jamais répêter le méfait... tu dois pouvoir faire le compte.

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