sur les zones franches, il faut en passer avec le révérend moon !
tout est dans cette page (attention, y'en a aussi pas mal sur l'activité "purement" sectaire du brav' réverend)
http://www.prevensectes.com/moon31.htm a écrit :Moon depuis 1991
Souvenons nous des avances de Moon et de ses implications dans la stratégie de la Corée du Nord depuis 1991 : En décembre la revue mooniste Sekkaï Nippo rapportait la visite officielle du couple Moon et de l'indispensable Bo Hi Pak, ancien lieutenant colonel de la CIA Sud Coréenne : de grandes photos les montrent là en pourparlers avec Kim Il Sung et ses proches. Leurs actions sont détaillées par l'auteur coréen vivant au Japon, Charles M. Son, dans son livre paru en 1993 : "Comment le Moonisme a contribué financièrement à la Bombe Nord Coréenne".
A l'occasion de cette visite, Moon a donné 380 millions de yens (équivalant à 4 millions de dollars). Ceci a permis en plus d'aménager son lieu de naissance en lieu de pélerinage, avec une zone franche permet tant à la Corée du Nord de recueillir des devises. Par surcroît, au même moment Moon a ordonné à ses fidèles du Japon de collecter 500 millions de yens.
Cela a permis des largesses qui ne sont pas étrangères, selon toute vraisemblance, au fait que le 15/4/2002, à l'occasion solennelle du 80ème anniversaire du Président Kim Il Sung, Moon ait été cité comme un des sept héros de la résistance à l'occupant japonais, et qu'il lui ait été permis de développer en Corée du Nord ses joint ventures très lucratives vu le prix minime de la main d'oeuvre Nord coréenne. . C'est dès 1987 que le groupe commercial mooniste Kum Kang San s'était établi à Pyong Yang (hôtel de luxe, parc de loisirs, compagnie de transports aériens, chantiers navals, puis armements).
Mais on trouve partout trace de ces fameuses "zones franches" :
a écrit :
Enfin, la Corée du Sud, avec qui Pyongyang a engagé dans un processus de réchauffement depuis six ans, a annoncé mardi avoir refusé au Nord l'ouverture d'un compte bancaire dans la zone franche industrielle de Kaesong, situé à la frontière intercoréenne et développé grâce à des fonds sud-coréens. "En mars, nous avons rejeté la demande de la Corée du Nord car notre établissement n'est pas autorisé à traiter avec les Nord-Coréens à cet endroit", a indiqué Oh Sung-wook, un porte-parole de la banque