(El convidado de piedra @ samedi 27 mai 2006 à 17:59 a écrit : Déjà rien que parler de "Castro" est une indice. C'est ainsi que l'appelent les impérialistes; les militants anti-impérialistes de toute l'Amérique l'appelent "Fidel". Et ce n'est pas une remarque sans importance; on sait le jeu des "services" américains et de leurs officines de propagande.
Dès toujours il y a eu cette cassure du nom du leader de la Révolution. Pour les impérialiste et ses laquais c'est "le dictateur Castro"; pour nous il a toujours été "el compañero Fidel".
:blink:
Non.
(convi a écrit :Après il rentre dans une théorisation fumeuse sur la nécessaire critique du régime etc. ou il insiste sur le coté "dictature personnelle" de "Castro" qui comme analyse de classes est au niveau des analyses impérialistes.
Non.
(convi a écrit :Ce qui est encore plus grave est qu'il se pose la question "théorique" des avantages comparés de "l'invasion"!! par l'impérialisme sur la possibilité d'un redressement interne par la lutte des travailleurs cubains.
Non.
(convi a écrit : Je ne sais pas s'il fait express, ou s'il comprend que ce n'est pas de la meme manière qu'on peut critiquer un régime anti-impérialiste qu'une dictature quelconque
Je ne l'ai pas fait non plus.
Convidado, comme toujours, ne sait pas discuter. Les déformations de propos, sur tous les sujets, ca va bien deux minutes, mais ca ne sert qu'à balancer des insultes. Et quand il affiche clairement que Castro est son camarade, je crois que c'est une façon claire de clore la conversation.
Au fait, juste un truc, que j'aurais pu relever plus tôt, convidado. Que certains activistes plus ou moins d'extrème-gauche parlent du "compagnon Fidel", je n'en doute pas, mais alors dans le mouvement latinos pour les droits des immigrants, tu te fourres le doigt dans l'oeil bien comme il faut. Je ne sais même pas d'où tu peux tirer cette idée.