(canardos @ mercredi 1 février 2006 à 07:57 a écrit : je renonce......
continuer le débat sans moi....
:rtfm: Ah là là ! L'instit-à-l'haleine-fétide de Canardos ne lui avait pas appris l'impératif :
ContinueZ, pas ContinueR ... ! :yes:
(canardos @ mercredi 1 février 2006 à 07:57 a écrit :
dis donc, shadoko, la oui, j'ai interpellé zdanko et bertrand, oui, mais sans hargne, gentiment, et pour leur demander d'arreter de se sentir remis en cause et , pour le cas de bertrand, d'arreter de traiter d'engueuler ceux qui ont l'audace de parler pédagogie sans etre instit....
relis tous le fil, depuis que bertrand est intervenu, il a fait des observations sur le cas évoqué des attaques contre tous les instits, contre toute l'école, et contre lui.....
je lui ait simplement rappelé ainsi qu'à zdanko que ce genre de réactions n'était pas normal pour un instit communiste qui doit accepter que ce genre de questions pédagogiques sur lesquelles tous ceux qui ont ou ont eu des enfants ont quelques chose à dire également soit discuté sans traiter ses interlocuteurs de nuls et d'incompétents.
mais j'avoue que ce genre de rédaction épidermique, cette assimilation totale à sa collègue mise en cause, cette violence, cette agressivité, tout ça me rend pantois....
j'ai essayé de calmer le jeu, de ramener le débat aux questions posées, ....impossible....
je renonce......
continuer le débat sans moi....
:altharion: :altharion:
(txi a écrit :
Et bien au moins sur ce dernier point concret, je suis en TOTAL désaccord avec toi (et donc ça n'a rien à voir avec le problème particulier de l'instit de ma fille).
En désaccord pour la simple raison que des gamins de milieu favorisé acquièrent automatiquement la déclinaison des verbes à tous les temps (ils ont des parents qui s'expriment ainsi , qui vont les corriger systméatiquement quand ils font une faute de temps), c'est beaucoup moins le cas pour les autres (et pas du tout le cas pour des enfants d'origine étrangère où dans bien des cas on ne s'exprime pas du tout en français chez eux). Le fait d'apprendre par coeur ses règles à l'école (même si c'est pas très marrant), de les appliquer dans des exercices oraux et écrits permet justement de compenser (partiellement) ce handicap culturel.
(zdanko a écrit :
le gouvernement aimerait bien qu'on en revienne à ce faùmeux socle commun des savoirs utiles, UTILES pour qui? Pour les patrons.Ces savoirs sont évidemment indispensables, j'espère m'être fait clairement comprendre, mais ils ne suffisent pas, en tous cas moi je ne serais pas heureux de savoir qu'un de mes élèves part en sachant lire, écrire une lettre et un CV, et faire les opérations de calcul, et juste ça.
a écrit :Quant à commencer un fil en critiquant l'instit de sa fille, je saisis pas bien . Txi n'a qu'à aller la voir.
a écrit :TOTAL désaccord avec toi (et donc ça n'a rien à voir avec le problème particulier de l'instit de ma fille).
En désaccord pour la simple raison que des gamins de milieu favorisé acquièrent automatiquement la déclinaison des verbes à tous les temps (ils ont des parents qui s'expriment ainsi , qui vont les corriger systméatiquement quand ils font une faute de temps), c'est beaucoup moins le cas pour les autres (et pas du tout le cas pour des enfants d'origine étrangère où dans bien des cas on ne s'exprime pas du tout en français chez eux). Le fait d'apprendre par coeur ses règles à l'école (même si c'est pas très marrant), de les appliquer dans des exercices oraux et écrits permet justement de compenser (partiellement) ce handicap culturel.
a écrit :construire le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé simple, le futur, le conditionnel et le présent du subjonctif des verbes les plus fréquents,
- utiliser les temps verbaux du passé dans une narration (en particulier en utilisant à bon escient l'opposition entre imparfait et passé simple),
a écrit :On ne saurait apprendre à maîtriser le langage, en particulier écrit, sans une observation réfléchie de la langue française (grammaire, conjugaison, orthographe, vocabulaire). C'est lorsqu'on comprend les logiques d'une langue que l'on peut prendre plaisir à jouer avec elle et le faire avec efficacité. C'est parce que l'on aura pris le temps de cette réflexion, dans le cadre de l'horaire qui lui est réservé, que l'on pourra, chaque fois qu'on écrit (dans n'importe lequel des domaines d'enseignement du cycle 3), faire référence à ces observations patiemment effectuées pour réviser les textes élaborés et s'assurer d'une relative sécurité orthographique. Cette plus grande familiarité avec la structure de la langue permet aussi de mieux comprendre les textes qui, du fait de leur relative complexité, résistent à une interprétation immédiate. Toutes les dimensions de cette observation, qu'elles concernent la syntaxe, la morphosyntaxe ou le lexique, peuvent être explorées.
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