Gulf Stream... stop ou encore ?

Et lutte contre les pseudo-sciences et les obscurantismes

Message par titi » 13 Déc 2005, 13:17

dans la discussion sur le réchauffement climatique, un thème a été popularisé : le gulf stream est responsable de la douceur de l'europe, et le réchauffement de a planète va affaiblir le gulf stream et donc refroidir l'europe

sauf que...

voici quelques articles, du plus ancient au plus récent, qui montrent que la connaissance de ces phénomènes est encore aujourd'hui très floue, et que les médias font des raccourcis vendeurs mais faux

(tous les articles sont publiés sur le site futura-sciences)
titi
 
Message(s) : 112
Inscription : 21 Juin 2003, 17:09

Message par titi » 13 Déc 2005, 13:19

la menace du Grand Froid
12 octobre 2004

http://www.futura-sciences.com/news-rechau...-froid_1237.php

a écrit :Le réchauffement de la planète pourrait produire un ''Grand Froid''

Des chercheurs de plusieurs centres de recherche comme le Geophysical Fluid Dynamics Laboratory du gouvernement américain à Princeton (New Jersey), l'Université de Colorado à Boulder, le Potsdam Institute for Climate Impact (Allemagne), ou la Woods Hole Oceanographic Institution alimentent un débat qui anime actuellement la communauté des climatologues.

La question est de savoir si le Gulf Stream pourrait s'arrêter et laisser alors une partie de l'Amérique du Nord et l'Europe en proie à un grand froid.

Le Gulf Stream dépend de l'activité des sites thermohalins à l'est du Labrador et au nord de l'Irlande où des courants d'eaux chaudes venus des tropiques rencontrent des masses d'eaux froides, qui repoussent les courants chauds en profondeur et vers le nord. Ceux-ci conservent leur chaleur qui se dissipe et réchauffe les latitudes septentrionales.

Ces phénomènes thermohalins dépendent à leur tour du contenu en sel des courants froids assez " lourds " pour perturber les courants chauds.

Un apport augmenté en eaux raîches - plus légères - par le dégel actuel de pans entiers de la calotte polaire permettrait aux eaux chaudes de se disperser plus vite, ce qui pourrait bouleverser, voire arrêter, les mécanismes des sites thermohalins.

Si les chercheurs s'accordent à penser que les grands courants de l'Atlantique Nord sont en pleine mutation, l'hypothèse de l'arrivée soudaine d'un " Grand Froid " reste cependant très débattue.
titi
 
Message(s) : 112
Inscription : 21 Juin 2003, 17:09

Message par titi » 13 Déc 2005, 13:20

et même une glaciation
(16 décembre 2004)
http://www.futura-sciences.com/news-arret-...iation_4950.php

a écrit :Arrêt du courant Atlantique Nord : demain, une autre glaciation ?

Plus de 8000 ans en arrière. La Terre sort à peine d’une longue aire glaciaire quand la voici confrontée à un véritable cataclysme ! Le climat de l’Atlantique Nord est complètement bouleversé et un grand froid s’installe sur cette partie du globe… Ce scénario glacial, révélé par les prélèvements d’un chercheur de Chicago, est-il à craindre dans le futur ?

Torbjörn Törnqvist est spécialisé en sciences de la terre à l’Université de Chicago en Illinois. C’est en analysant des prélèvements de tourbe (datation des dépôts au radiocarbone/évaluation de la tolérance végétale au sel) réalisés dans les marécages du delta du Mississipi en Louisiane pour une étude sur les modifications du niveau de la mer dans le Golf du Mexique qu’il a enfin la preuve de l’apparition brutale d’une montée des eaux il y a 8200 ans ! Un phénomène que de nombreux géologues et climatologues s’accordaient à imaginer sans en avoir de preuves tangibles jusqu’à présent. « Certains soutiendraient qu’il s’agit du changement de climat le plus dramatique de ces 10.000 dernières années ! » s’exclame même le chercheur…

Gulf Stream : le 'chauffage' de l’Atlantique Nord

Petit rappel auparavant sur l’état actuel du climat dans la partie atlantique de l’hémisphère nord. Le Gulf Stream est un courant constamment présent en Atlantique Nord. C’est à lui que nous devons la persistance de climats plutôt chauds sur la côte Est des Etats-Unis, et tempérés en Europe de l’Ouest. En effet, il appartient à un courant de taille supérieur qui prend naissance dans les eaux chaudes du golfe du Mexique, puis passe entre Cuba et la pointe de Floride (sa température est comprise entre 30 et 35°C dans cette zone).

Il remonte ensuite vers le nord, et prend cap vers l’ouest. Il traverse l’Atlantique où il se refroidit (25°C). Se rapprochant de l'Europe, il se sépare en deux : une partie va au nord en direction de l'Islande, et l'autre au sud vers l'archipel des Açores. Mais toutes deux, à forte salinité, s’enfoncent plus encore dans l’océan et sont bien plus fraîches (2°C), c’est là que se termine le travail du Gulf Stream, et de son influence bénéfique sur le climat de l’Atlantique Nord…

C’était donc il y a 8200 ans : la planète quitte son dernier âge de glace. Les températures remontent et les calottes de glace aux pôles commencent à fondre. Mais c’est surtout un réservoir colossal, le Lac Agassiz, dont l’eau douce semble avoir creuser dans la baie d’Hudson (pourtant véritable barrage de glace) qui est suspecté d’avoir engendré un flux d'eau gigantesque. Ainsi, en à peine quelques mois, celui-ci s’engouffre dans le courant salé atlantique nord…

Le niveau des mers monte. Eaux douces et salées se mélangent, modifiant la densité générale : le Gulf Stream est totalement perturbé et ne parvient plus à réchauffer le climat de part et d’autre de l’Atlantique Nord… Les régions sur lesquelles est sensé veiller le Gulf Stream sont soudain plongées dans un froid profond et durable. Quel changement climatique brutal ! Il faudra certainement plus d’un siècle pour que l’équilibre eau douce/eau salée se rétablisse, que les courants océaniques s’ajustent et que les températures reviennent à la normale…

Notre futur ?

Torbjörn Törnqvist publie son étude ce mois-ci dans la revue en ligne Geophysical Research Letters. Il explique l’importance de bien comprendre ce phénomène passé : « si nous pouvons mesurer l’augmentation du niveau de la mer il y a 8200 ans, nous pourrons être capable de convertir ceci en une quantité mesurable d’eau douce. Avec nos premières données, nous savons maintenant que l’augmentation du niveau de la mer était probablement inférieure à 1.2 mètre, un chiffre inférieur à plusieurs estimations publiées auparavant. »

Jean-Marc Jancovici, célèbre ingénieur conseil indépendant spécialisé sur les questions de climatologie, avait abordé la question d’un éventuel refroidissement brutal en Atlantique Nord sur la planète en plein réchauffement climatique, le 3 mai dernier, lors d’un discours qui précédait la présentation du film "Le Jour d'Après" face à la presse. « Un tel refroidissement brutal de l'ensemble de l'Atlantique Nord pourrait survenir si le Gulf Stream s'arrêtait à l'avenir, comme il l'a déjà fait à plusieurs reprises au cours des 100.000 dernières années, pour des raisons désormais relativement bien connues » expliquait-il, précisant que « par brutal il faut comprendre ‘en quelques décennies’ »

Pour Torbjörn Törnqvist, notre avenir dépend de la compréhension que nous pouvons avoir de ce genre de phénomène, et donc de notre anticipation : « les climatologues ont un besoin urgent de ce genre d’information pour réaliser leurs modèles climatiques dans le but de comprendre les conditions qui peuvent produire un changement climatique si brusque ». Et Jean-Marc Jancovici de nous rappeler à juste titre… « ce que peut néanmoins dire la science, c'est que tant que nous émettrons des quantités croissantes de gaz à effet de serre, le risque qu'un tel arrêt du Gulf Stream se produise, d'ici quelques décennies à quelques siècles, augmentera avec le temps... »
titi
 
Message(s) : 112
Inscription : 21 Juin 2003, 17:09

Message par titi » 13 Déc 2005, 13:21

le gulf stream va s'arrêter
26 juillet 2005

http://www.futura-sciences.com/news-si-gul...retait_6805.php

a écrit :Et si le Gulf Stream s’arrêtait ?

Pour l’homme de la rue, freiner voire tout simplement arrêter le Gulf Stream relève de la science-fiction. Ce vaste courant océanique de surface de l’Atlantique en provenance de la zone intertropicale et qui baigne les côtes européennes (ce qui nous assure des hivers doux et des étés tempérés) ne peut tout simplement pas “tomber en panne”. Pourtant, une diminution de son intensité, voire même son arrêt complet ne sont pas impossibles. L’histoire climatique de la planète le prouve.

Le Gulf Stream a déjà connu de sérieuses perturbations dans son “écoulement”

Des chercheurs canadiens, américains et britanniques, dont les travaux ont en partie été soutenus par le 5e programme-cadre de recherche de l'Union européenne, estiment que le réchauffement global de notre planète entraîne depuis 10 ans une modification de la salinité des océans, ce qui pourrait perturber la circulation des courants marins (circulation thermohaline).

Une question de salinité

C’est l’évaporation plus importante des eaux de surface dans la région intertropicale, générant un surplus important de vapeur d'eau dans l'atmosphère et des précipitations d’eau douce plus intenses aux plus hautes latitudes, qui serait responsable de cette modification de la salinité dans l’Atlantique nord.

Des eaux moins chargées en sel s’enfoncent plus difficilement vers les profondeurs marines. Or c’est précisément ce qui se produit avec le Gulf Stream au nord de l’Islande. C’est là que le fameux courant plonge vers les fonds océaniques pour retourner vers les Tropiques puis, plus loin encore, vers l’océan Antarctique. Ce courant océanique profond est en quelque sorte le courant “retour” du Gulf Stream de surface.

L’apport d’eau douce supplémentaire, suite à des précipitations plus intenses, empêcherait le Gulf Stream de plonger en Arctique vers les fonds océaniques et donc enrayerait la vaste machine climatique mondiale. Ce qui à terme interfère, voire bloque en surface le Gulf Stream.

Conséquences : avec un Gulf Stream connaissant des ratés, l’Europe, privée de ses effets, plonge à son tour dans une nouvelle période froide. En clair, les hivers à Lisbonne risquent ainsi de devenir aussi rigoureux que ceux de New York. Utopie ? L’histoire climatique de notre planète montre que de tels phénomènes dus à un apport considérable d’eau douce dans les eaux de l’Atlantique nord (suite au déchargement massif des glaces de l’inlandsis américain) ont déjà enrayé la mécanique du Gulf Stream.
titi
 
Message(s) : 112
Inscription : 21 Juin 2003, 17:09

Message par titi » 13 Déc 2005, 13:23

le gulf stream s'arrête t-il ?
26 octobre 2005

http://www.futura-sciences.com/news-gulf-s...tendus_7436.php

a écrit :Gulf Stream : des changements inattendus

Contrairement à ce que laissaient prévoir les observations menées jusqu'à aujourd'hui, le Gulf Stream n'est pas en train de s'affaiblir. C'est ce que rapportent des chercheurs norvégiens de Nansen Environnemental and Remote Sensing Centre et du Bjerknes Centre for Climate Research et de l'Université de Bergen dans un article publié en collaboration avec des chercheurs des Iles Ferroe et d'Islande dans le journal Science le 16 septembre dernier.

L'équipe de chercheurs a montré que les eaux océaniques d'Europe du Nord présentaient des records de température et de salinité sans précédent depuis 1948, et que ces records étaient dus à des changements de circulation des courants de l'Atlantique Nord depuis le milieu des années 1990.

La température et la salinité des eaux circulant dans l'Océan Atlantique Nord ont un rôle clé dans le système du Gulf Stream. Dans les tropiques Sud, les eaux sont chaudes et particulièrement salées. Plus au Nord, ces eaux rencontrent les eaux froides et douces venant des régions polaires. Les deux types d'eaux circulent l'un à côté de l'autre dans une grande partie de l'Atlantique, et se mélangent dans la partie nordique de l'océan. Le taux de mélange des deux courants détermine la salinité des eaux entrant dans les mers du Nord. Une faible salinité implique un affaiblissement du Gulf Stream, et inversement.

Des données collectées depuis 1960 montrent que la salinité des eaux de l'Atlantique Nord a baissé régulièrement, ce qui laissait prévoir un affaiblissement du Gulf Stream. La baisse observée s'expliquait par la fonte des glaces polaires et donc l'augmentation des courants d'eaux froides et douces.

Les dernières observations de l'équipe norvégienne montrent que le phénomène s'inverse : la salinité des eaux de l'Atlantique Nord a augmenté depuis 1995. "En utilisant des observations satellitaires et un système avancé de simulation de la dynamique océanique, nous avons montré que l'expansion des eaux froides et douces du Sud de l'Islande a diminué. Ceci a permis aux eaux chaudes et salées du Sud de circuler plus facilement dans l'Atlantique Nord" explique Anne Britt Sandø, chercheur au Nansen Environnemental and Remote Sensing Centre et l'un des auteurs principaux de l'article paru dans Science.

Le Gulf Stream n'est donc pas en train de s'affaiblir, il devrait continuer à circuler avec la même force le long des côtes nordiques pendant au moins dix ans.
titi
 
Message(s) : 112
Inscription : 21 Juin 2003, 17:09

Message par titi » 13 Déc 2005, 13:24

ah ben non, le gulf stream ne bouge pas...
ben zut alors !
12 décembre 2005

http://www.futura-sciences.com/news-gulf-s...atique_7793.php

a écrit :Le Gulf Stream insensible au réchauffement climatique !

Ce n’est pas le calme plat dans l’océan atlantique ! Une étude publiée dans la revue Nature le 1° décembre par le scientifique Harry Bryden du Britain’s National Oceanography Centre, en pleine ouverture du sommet de Montréal (qui s'est clôturé vendredi dernier), montre un phénomène curieux : le réchauffement climatique pourrait provoquer une baisse de la température dans le nord de l’Europe…

Ce résultat paradoxal, confirmé par les simulations du Centre Hadley de prévision du climat (Londres) dans son dernier rapport, met en lumière que des courants marins profonds de l’océan Atlantique subissent de fortes variations.

Mais attention : le Gulf Stream proprement dit n’y est pour rien ! Contrairement à ce que l’on a pu lire récemment dans de nombreux articles de presse, et à l’opposé des idées reçues qui en découlent, les travaux de Bryden démontrent que le fameux courant de surface de l’hémisphère nord est très stable.

Rappelons que le Gulf Stream fait partie d’une boucle de courant océanique entraînée par les vents, qui part de la Floride, traversant l’atlantique nord dans le sens des aiguilles d’une montre (on parle de « gyre subtropicale »). Les masses d’eau relativement chaudes et salées déplacées en surface vers le nord par un ensemble de courants prolongeant le Gulf Stream (dérive nord-atlantique) jusqu’au Spitzberg subissent ensuite des échanges avec l’atmosphère avant de repartir vers le Sud. L’équilibre de cette boucle de courant n’est pas modifié depuis un demi-siècle, malgré les bouleversements actuels. Jusqu'à quand ?

Il en va différemment de la « circulation thermohaline », qui transporte de la chaleur vers le Nord. Il s’agit là d’un tout autre phénomène, initié par des courants verticaux de densité. Ces courants se produisent afin de rétablir un équilibre entre les couches superficielles de l’océan atlantique nord (au Labrador notamment), froides et salées, donc très denses et par conséquent descendant en profondeur, et les couches basses, plus chaudes et moins denses qui ont tendance à remonter vers la surface.

Or, chutant de 20 millions de m3 par seconde à seulement 14 millions, la circulation thermohaline montrerait un déclin d’environ 30% du flux océanique “général” ainsi que des changements de la circulation de retour en profondeur. En particulier, le flux dans la partie la plus enfouie du courant de retour, entre 3000 et 5000 mètres sous la surface, s’est réduit.

La raison : le réchauffement de la planète, dû aux émissions de gaz à effet de serre, entraînerait une augmentation des précipitations en surface, diminuant la densité de la couche d’eaux froides de surface qui alors a moins tendance à « plonger ».

En affectant la circulation thermohaline, donc en réduisant la quantité de chaleur transportée vers le Nord, cette modification des flux verticaux pourrait engendrer un rafraîchissement dans l’océan Atlantique Nord de 2°C environ. Mais il faut être prudent dans les conclusions. « La marge d’erreur des calculs réalisés pour évaluer l’intensité de la circulation thermohaline est importante, de l’ordre de grandeur de la variation constatée » fait remarquer David Salas, chercheur climatologue à Météo France, interrogé par Tech & Co pour Futura Sciences . Et la température simulée en Europe (non plus dans l’océan) ne baisserait que d’environ 0,5°C. Nous sommes encore très loin des images glaciales du film à grand spectacle « The day after tomorrow »…
titi
 
Message(s) : 112
Inscription : 21 Juin 2003, 17:09

Message par titi » 13 Déc 2005, 13:28

voilà, sur un sujet aussi compliqué à comprendre, où les données sont multiples, contradictoires, et difficiles à obtenir, la prudence serait de rigueur, et l'on devrait laisser du temps (et de l'espace !) aux scientifiques

au lieu de ça, certains communiquent à tour de bras, pas forcément les scientifiques d'ailleurs, mais souvent des industriels qui tronquent les messages pour faire passer leurs intérets à eux.
titi
 
Message(s) : 112
Inscription : 21 Juin 2003, 17:09

Message par Crockette » 14 Déc 2005, 12:14

moi j'ai parlé d'une augmentation globale de la T° de 2° en Atalantique.

Cela dit avec l'article très interessant de ci-dessus, la prudence s'impose car l'océan est composé de plusieurs flux en fonction de la profondeur à laquelle on se trouve (si j'ai bien compris l'article).

Une chose est sûre : le nombre de cyclones ayant été battus en Atlantique cette année, cela veut dire que la t° à 60 mètres de profondeur a nécessairement augmenté, c'est une condition sine qua non pour la création de cyclones.



Crockette
 

Message par volia » 14 Déc 2005, 13:26

(Crockette @ mercredi 14 décembre 2005 à 14:14 a écrit :
Une chose est sûre : le nombre de cyclones ayant été battus en Atlantique cette année, cela veut dire que la t° à 60 mètres de profondeur a nécessairement augmenté, c'est une condition sine qua non pour la création de cyclones.

Je trouve bien oser de parler de record du nombre de cyclones ou d'augmentation liée au réchauffement climatique.
Comme tous les phénomènes climatique, il faut faire attention.
Statistiquement, on ne peut pas parler d'augmentation significative, en prenant une seule année.
De plus, nous n'enregistrons ces phénomènes systématiquement que depuis récemment.

On a beaucoup entendu dire de la part des journalistes au moment de katrina qu'effectivement il y a avait une augmentation du nombre de cyclones et que c'était dû cau réchauffement climatique. Mais en fait on n'en sait rien !

Comme d'habitude, il faut faire très attention à ce que disent les journaux, même si la peur engendré peut servir à une prise de conscience plus générale.
Ce n'est pas en mentant ou en simplifiant à outrance que l'on pourra convaincre efficacement.
volia
 
Message(s) : 0
Inscription : 10 Nov 2005, 15:15

Message par toulaiev » 14 Déc 2005, 22:46

si le courant gulf stream disparait on pourra skier en armorique...

Il est clair que question latitude, ce sera New york ou Moscou...
toulaiev
 
Message(s) : 0
Inscription : 26 Nov 2005, 03:21

Suivant

Retour vers Sciences

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 0 invité(s)