Le mouvement lycéen va mourir ?

Message par DocStarrduck » 31 Mars 2005, 15:19

Moi , j'en suis certain aujourd'hui le mouvement n'est toujours pas mort ![
Vive le mouvement lycéens.

Le JOKER "Greve illimité des urgentistes" serait-il efficace ?

a écrit :TOULOUSE, 31 mars 2005 (AFP)
Midi-Pyrénées: poursuite des actions des lycéens dans une quinzaine d'établissements

Des lycéens opposés à la loi Fillon poursuivaient des actions jeudi dans une quinzaine de lycées de la région Midi-Pyrénées où l'on assistait à un retour à la normale dans certains établissements et un durcissement dans d'autres, a-t-on appris auprès du rectorat et des lycéens. Le rectorat faisait état à la mi-journée de sept occupations nocturnes dans la région, d'une dizaine de lycées bloqués où les cours n'ont pas lieu et de barrages filtrants dans plusieurs établissements. Par rapport à mercredi, certains lycées étant marqués par un retour à la normale - comme par exemple à Muret, à Toulouse (Saint-Sernin, Bellevue, Berthelot), à Cugnaux et Saint-Orens - et d'autres par un durcissement du mouvement, comme à Tarbes aux lycées Marie Curie et Théophile Gautier ou à Colomiers, dans la banlieue toulousaine. Le rectorat signalait aussi des blocages filtrants entraînant des perturbations dans les cours aux lycées toulousains de Jolimont et Rive Gauche. Au lycée Bellevue, les élèves qui campaient devant l'établissement depuis mardi ont quitté les lieux, mais ont annoncé des opérations "coups de poing". En Aveyron, les lycées de Millau et Saint-Affrique étaient totalement bloqués, tandis qu'à Rodez, au lycée Foch le blocage était partiel, et au lycée Monteil un retour à la normale s'effectuait, selon le rectorat. Une nouvelle manifestation de lycéens est prévue jeudi après-midi à Toulouse.
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Message par DocStarrduck » 31 Mars 2005, 15:22

Selon LIBERATION le mouvement lycéen ressemble plus à un MAI 68
qu'a un mort http://www.liberation.fr/page.php?Article=286254

a écrit :Le «mini-Mai 68» lycéen continue

Malgré le vote de la loi Fillon, les occupations d'établissements et la grève ne faiblissent pas.

Par Pierre CARREY, Emmanuel DAVIDENKOFF, Gilbert LAVAL et Audrey SAVOURNIN

jeudi 31 mars 2005 (Liberation - 06:00)




rôle de guerre. Alors que les organisations lycéennes, officieusement au moins, tiennent le mouvement contre la loi Fillon pour «mort», plusieurs milliers d'élèves continuent de lutter. Difficile d'évaluer l'ampleur des occupations de lycée «inaugurées» la semaine dernière. Le collectif Cétacé (1) en dénombre près de 150. Loin du compte, le ministère estime que les 45 lycées objet «d'un blocage ou d'une tentative de blocage» la semaine dernière ont fondu : ils n'auraient été que 18 hier.

«Entêtement». Pourtant, toute la journée a été ponctuée par des annonces d'occupations de lycée, parfois assorties d'interventions policières. A Besançon, un cordon de gendarmes a empêché la poursuite du blocage du lycée Pasteur, mais des élèves ont empêché l'accès à un autre établissement. A Toulouse, le mouvement fait florès. Les établissements de Rodez, Millau, Saint-Affrique (Aveyron), Foix et Saint-Girons (Ariège), Castres et Mazamet (Tarn) sont «bloqués ou occupés de jour et de nuit». «Cette énorme remobilisation est le fait du gouvernement qui s'entête à ne pas écouter les grévistes», explique Marion, élève de première S. Sur les quinze lycées publics de l'agglomération, seuls deux restent encore à l'écart du mouvement. Mais le lycée privé Jeanne-d'Arc le rejoint. Le souci du rectorat : assurer la sécurité dans les établissements occupés, si nécessaire en faisant appel à des sociétés de vigiles.

Idem à Paris et en Ile-de-France. «C'est un mini-Mai 68 lycéen», risque un parent d'élève du lycée Joliot-Curie de Nanterre (Hauts-de-Seine). La coordination lycéenne a maintenu la pression. Du simple concert de tam-tams dans la cour au blocage total des cours, une trentaine d'établissements au moins étaient encore perturbés en Ile-de-France. Suscitant la colère des chefs d'établissement, incapables d'assurer seuls la sécurité de leurs lycées, notamment la nuit.

Renforts policiers. Résultat, la police a souvent été appelée en renfort. Au risque de dérapages peu contrôlés. A Paris, Martin, qui a quitté l'école depuis plusieurs mois mais se joint au mouvement par solidarité, assure avoir été victime de brutalités policières mardi après-midi devant le lycée Sophie-Germain, dans le IIIe arrondissement. «J'ai été tiré par les cheveux et traîné sur le sol, se plaint-il. Aux urgences, on a vérifié que je ne portais pas de traces d'hématome. Mais les policiers savent ce qu'ils font : ils m'ont donné des coups de poing, pas de matraque.» Corinne Lellouche, rédactrice en chef du magazine DS et mère d'une lycéenne, a affirmé à l'AFP avoir vu «des policiers frapper des lycéens qui hurlaient, en larmes», devant l'établissement. Mais le rectorat assure de son côté qu'«il n'y a jamais eu de violences policières» et que les incidents du lycée Sophie-Germain résultent d'un «coup monté de la part de certains lycéens, aidés par des parents d'élèves».

De fait, quand les lycéens s'essoufflent, les enseignants et les parents prennent le relais ­ c'est le second ressort de la colère : les effets, sur le terrain, de trois ans de disette budgétaire et de suppressions de postes. Ainsi, au lycée Voltaire de Paris (XIe), les portes sont restées closes hier. Jeudi dernier, à la suite du blocage de l'établissement par les lycéens, le proviseur avait décidé de le fermer jusqu'à mardi. Le soir même, une cinquantaine d'entre eux parvenaient malgré tout à l'occuper pendant deux heures. Depuis, le mouvement s'est étiolé. Mais, dès mardi, c'était au tour des professeurs de lancer une grève contre une dotation horaire insuffisante, des suppressions de postes et un recours accru aux personnels précaires. «Sans compter qu'un collègue enseignant le russe a été appelé à assurer des remplacements en lettres modernes... après avoir été invité à suivre une formation de trois jours !», s'insurge un prof. Hier matin, la grève était maintenue et le lycée toujours fermé. A Montreuil (Seine-Saint-Denis), cinq jeunes ont été placés en garde à vue hier matin : ils bloquaient la circulation pour alerter sur la situation (2).

La coordination lycéenne appelle à une manifestation aujourd'hui, à 14 heures, place de la République, à Paris.



(1) www.cetace.org
(2) www.lyceens-en-action.fr.st


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Message par DocStarrduck » 31 Mars 2005, 15:32

Des dizaine de lycées bloqué par un mouvement mort
Soyons, serieux, j'ai gagné mon pari , le mouvement lycéen
a sorti son JOKER !

a écrit :Manifestations lycéennes à Pau et à Bordeaux

Deux lycées ont été bloqués jeudi matin à Pau et Bordeaux, tandis qu'une manifestation contre la loi Fillon et les dotations horaires réunissait environ 150 lycéens à Bordeaux, a-t-on appris auprès des manifestants.

A Bordeaux, les lycéens d'une demi-douzaine d'établissements se sont rassemblés avec des banderoles devant le rectorat où une délégation devait être reçue.

Dans la matinée, une cinquantaine d'élèves du lycée Magendie ont formé une chaîne humaine pour bloquer l'accès de l'établissement. Ils comptaient répéter la même action dans l'après-midi.

A Pau, une cinquantaine d'élèves accompagnés de quelques parents ont campé dans la nuit de mercredi à jeudi dans le lycée Saint John Perse. Jeudi matin, ils ont bloqué les grilles de l'établissement, empêchant quelque 350 élèves d'entrer et empêchant la tenue des cours, selon la direction de l'établissement.



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Message par Wapi » 31 Mars 2005, 18:10

Salut Doc, j'espère sincèrement que tu gagneras ton pari. J'ai misé sur le même cheval !

sur reuters.fr

a écrit :Des lycéens toujours sur la brèche, des établissements bloqués

Thu March 31, 2005 6:05 PM CEST
PARIS (Reuters) - Parallèlement au blocage de dizaines d'établissements, des lycéens ont manifesté spontanément à Paris et dans plusieurs villes de province contre la politique éducative du gouvernement.

En dépit du "passage en force" de la réforme Fillon sur l'école, adoptée le 24 mars par le Parlement, plusieurs milliers d'élèves prolongent le mouvement par des opérations ponctuelles.

Près de 1.500 d'entre eux, selon la police, ont défilé en début d'après-midi jeudi de la place de la République au Panthéon, sans appel des syndicats lycéens.

Des groupes d'une centaine de manifestants avaient auparavant tenté de perturber la circulation place de la Nation ou aux abords de la Maison de la radio aux cris de "Fillon, on veut des profs, pas des réformes".

A Toulouse, près de 200 collégiens se sont rassemblés en début d'après-midi place du Capitole pour défiler sans incident dans les rues du centre-ville. Ils ont ensuite organisé un sit-in devant le rectorat de l'académie.

"Non à la casse de l'Education nationale-collégiens en colère", proclamait une banderole.

L'Union nationale lycéenne (UNL) et la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL) encouragent les occupations de lycées "inaugurées" la semaine dernière mais ne semblent pas croire à la résurrection d'un mouvement spécifique contre la loi Fillon.

Elles appellent en revanche les lycéens à participer aux "manifestations inter-régionales" du 2 avril rassemblant "tous les acteurs de l'Education nationale" contre l'ensemble de la politique gouvernementale en matière d'éducation.

Des défilés sont prévus à Ajaccio, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Lyon, Marseille, Nancy, Paris, Rennes et Toulouse.

Néanmoins, plusieurs milliers d'élèves estiment que "le mouvement n'est pas mort" grâce aux actions de blocage des lycées, qu'il s'agisse de barricades de poubelles, de chaînes humaines ou métalliques ou d'occupations de lycées.

Une vingtaine de lycées étaient bloqués jeudi à Paris par des barrages filtrants ou fermés par leurs proviseurs pour éviter leur occupation. Une situation similaire était observée dans la région Midi-Pyrénées. D'autres actions ont été menées à Besançon, Tours, Orléans, Pau, et Bordeaux notamment.

"Sans hurler au complot, il est clair que les actions lycéennes qui se poursuivent n'ont pas le traitement médiatique qu'elles méritent", estime le site Cétacé, qui dresse une liste des établissements concernés.

L'évacuation de plusieurs lycées la semaine dernière par les forces de l'ordre a suscité de vives protestations de syndicats enseignants qui ont dénoncé des "brutalités policières dans des lieux où la violence n'a pas sa place".



Il n'y avait pas de "casseurs" à la manif de cet après-midi... ou alors ils ne se sont pas révélés...

A peine quelques incidents minimes, dûs à des tous petits groupes qui voulaient en découdre avec les flics et qui ont tenté un coup foireux pour détourner le cortège du trajet prévu et exciter ainsi la volaille. ça carburait dur à la bière... il faut bien des munitions...

le S.O. lycéen était un peu débordé mais pas trop... ça se met en place doucement... Encore des petits soucis avec la discipline... si bien que quelques "adultes" ont encore été les bienvenus à certains moments..., mais fort peu en fait à l'échelle de la manif.

le problème c'est qu'il y a presque plus de chefs que de femmes et d'hommes de troupe... (qui l'eût crû ?)

Sinon, il y a des lycées qui étaient mobilisés en région parisienne, et les élèves n'étaient pas au courant de la manif !

L'info circule mal... apparemment, il n'y a pas vraiment de site internet qui centralise les infos ? Ou alors il n'est pas bien connu...

Demain, selon toute probabilité, le mouvement encore très fragile ne devrait pas faiblir...

Dans certains endroits en grève, élèves et profs mobilisés passeront la journée à préparer la manif de samedi, entre autres...
Wapi
 
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Message par Valiere » 31 Mars 2005, 18:23

Tout ceci est fort sympathique, positif mais ne constitue pas une remontée significative...Je souhaite me tromper lourdement!
Valiere
 
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Message par DocStarrduck » 01 Avr 2005, 14:51

On est aujourd'hui vendredi.
Donc ceux qui on parié que le mouvement était déja mort ont perdu
et ceux qui ont dit que le mouvement serait mort dans la semaine ont perdu aussi.

Le JOKER "Occupation de rectorat" est trés original =D>
Il y avait le JOKER "Péage gratuit" dans la semaine =D>

Domage que ces JOKER ne se soit pas encor generalisé sinon j'aurai déja gagné mon pari.Mais avec les occupation et blocage des lycées qui se generalise
depuis une semaine on peut se demander si j'ai pas un peu gagné. :harhar:

a écrit :TOULOUSE, 1 avr 2005 (AFP)
Le rectorat de Toulouse occupé par des lycéens

Entre 200 à 300 lycéens, qui protestent contre la loi Fillon sur l'Ecole, occupaient vendredi depuis la fin de matinée le rectorat de Toulouse, a constaté un journaliste de l'AFP. Les lycéens venus d'une quinzaine de lycées de Toulouse, Cugnaux, Muret et Colomiers, auxquels se sont joints des étudiants des universités toulousaines, se sont regroupés vers 12h30 à l'intérieur du bâtiment, où le recteur doit tenir une conférence de presse. Un groupe de manifestants bloquait l'entrée du rectorat, un autre s'était installé dans le hall tandis qu'une centaine de lycéens participait à un sit-in dans la cour intérieure du bâtiment, situé dans le centre de Toulouse.


http://filinfo.france3.fr/popup_afp.php?na...113635.ysgea9q1

Je croyai que le mouvement des lycéens était mort sur bordeaux mais peut-être qu'ils on suivit mes conseil car depuis mon article sur leur manque d'organisation le mouvement lycéens sur Bordeaux a repris de plus belle et le lycée MAGENDI était bloqué hier !
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Message par DocStarrduck » 01 Avr 2005, 14:53

a écrit :Deux lycées de Lille occupés par des lycéens opposés à la loi Fillon

Plusieurs dizaines de lycéens occupaient vendredi les lycées Montebello et Pasteur de Lille, où certains ont passé la nuit, pour protester contre la loi Fillon sur l'école, a-t-on appris de sources concordantes. Au lycée Pasteur (1.200 élèves), où une demi-douzaine de tentes étaient dressées vendredi matin, environ 80 élèves occupaient dans le calme la cour de l'établissement et les cours étaient suspendus, a constaté l'AFP. L'occupation a débuté jeudi en fin d'après-midi. Une quinzaine d'élèves a passé la nuit dans les tentes "toujours pour réclamer l'abrogation de la loi Fillon et contre la suppression des options", a expliqué une lycéenne sous couvert de l'anonymat. L'occupation du lycée européen Montebello (1.460 élèves), entamée mercredi, se poursuivait vendredi, a-t-on appris auprès de l'établissement. Près de 50 personnes y ont passé la nuit, selon une représentante de l'Union nationale lycéenne (UNL). Plusieurs dizaines de lycéens se sont par ailleurs rassemblés vendredi matin devant le lycée Lamarck à Albert (Somme), sans empêcher les cours, selon la préfecture de la Somme.


http://filinfo.france3.fr/popup_afp.php?na...105948.98vaxv6j
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Message par DocStarrduck » 01 Avr 2005, 14:55

Selon L HUMANITE j'ai gagné mon pari, je crois :yes:

a écrit :Éducation Les lycéens persistent
Dans toute la France, d’une ville à l’autre, ils continuent à rejeter la loi Fillon, en occupant leurs établissements ou en défilant dans les rues.

Ils n’en démordent pas. Quand bien même la loi Fillon est adoptée et les caméras rangées, les lycéens continuent de se mobiliser. Un peu partout en France, les uns occupent leur établissement, contraignant parfois le proviseur à le fermer pour de bon, les autres se retrouvent pour défiler dans la rue. D’une région à l’autre, d’une ville à l’autre, la mobilisation des lycées était hier inégale.

En Île-de-France, ils étaient plusieurs centaines à s’être donné rendez-vous au coeur de Paris, place de la République, à l’appel d’une coordination lycéenne. Dans le même temps, une vingtaine de lycées étaient occupés, soit totalement, soit partiellement.

À Orléans, dans le Loiret, 200 lycéens ont défilé dans les rues du centre-ville pour que « la mobilisation continue ». Ceux du lycée Jean-Zay ont rendu visite à leurs camarades de Potier et Benjamin-Franklin. Ils ont fait chou blanc : devant les portes closes, ils ont regagné leur établissement, devant lequel ils se sont installés. Ils étaient presque autant à Tours pour bloquer l’entrée des lycées Descartes et Pascal. But de l’opération, a expliqué une jeune fille : une « journée lycée mort ». Ces blocages n’empêchaient pas, hier, les cours de se tenir.

À quelques centaines de kilomètres de là, en Midi-Pyrénées, le rejet de la loi Fillon occupait aussi les esprits. Des actions avaient lieu dans une quinzaine de lycées. Le rectorat faisait état à la mi-journée de sept occupations nocturnes dans la région, d’une dizaine de lycées bloqués où les cours n’ont pas lieu, et des barrages filtrants dans plusieurs établissements.

À Bordeaux, deux établissements étaient bloqués hier, tandis que les lycéens d’une demi-douzaine d’établissements se sont rassemblés avec des banderoles devant le rectorat. À Pau, des parents ont passé la nuit de mercredi à jeudi avec une cinquantaine de jeunes devant le lycée Saint-John Perse, avant d’en bloquer l’accès hier matin.

À Besançon, dans le Doubs, des rassemblements ont eu lieu devant cinq établissements. Interrompu mercredi par l’intervention de policiers, le blocage du lycée Pasteur, où le mouvement a démarré il y a une semaine, a repris jeudi. Même topo dans le Tarn, lège et la Haute-Garonne.

Les lycéens n’ont pas dit leur dernier mot.

Vincent Defait

* Demain samedi, à 15 heures, dans toute la France, à l’appel des FAEN, FCPE, FERC / CGT, FIDL, FSU, SGEN / CFDT, UNEF, UNL et UNSA éducation, des manifestations ont lieu « contre

la loi Fillon, contre la casse de l’éducation » à Ajaccio, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Lyon, Marseille, Metz, Rennes et Toulouse. À Paris, rendez-vous est donné place de la République.


http://www.humanite.presse.fr/journal/2005...05-04-01-459483
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Message par DocStarrduck » 01 Avr 2005, 14:59

a écrit :BREST, 1 avr 2005 (AFP)
Deux lycées brestois bloqués par des opposants à la loi Fillon

Deux lycées brestois étaient bloqués vendredi matin par des lycéens hostiles à la loi Fillon sur l'école, a-t-on appris de source policière. Un piquet de grève avec pancartes et banderoles était déployé devant les grilles fermées du lycée du quartier de Kerichen où une partie des élèves ont passé la nuit, a constaté l'AFP. L'autre lycée occupé se trouve dans le quartier de l'Harteloire. De source policière, on indiquait que "tout devrait rentrer dans l'ordre à partir de lundi". Les lycéens ont appelé à une manifestation régionale samedi à Rennes. Enseignants, lycéens et parents d'élèves manifesteront en France samedi contre "la casse du service public d'éducation" à l'appel de leurs organisations.
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Message par DocStarrduck » 01 Avr 2005, 15:00

a écrit :BESANCON, 1 avr 2005 (AFP)
Besançon : poursuite des actions des lycéens dans sept établissements

Des lycéens opposés à la loi Fillon poursuivaient vendredi des actions de blocage, filtrage et rassemblements dans sept des neuf lycées publics de Besançon, a-t-on appris auprès des établissements concernés. La fermeté des barrages filtrants et le nombre d'élèves présents devant les lycées étaient variables selon les établissements, allant du blocage total à la liberté d'accès aux bâtiments par une ou plusieurs entrées, selon ces sources. Dans tous les cas, les cours étaient suspendus ou très fortement perturbés, hormis pour quelques classes préparatoires et BTS. "C'est de plus en plus dur de faire rester les élèves devant les lycées durant toute la journée, il y a de la fatigue, mais ceux qui restent sont très motivés", a dit un lycéen interrogé par l'AFP devant le lycée Pasteur où le mouvement a démarré jeudi dernier.
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