(totore @ samedi 19 février 2005 à 00:15 a écrit : Je ne fais que passerVa courrir tout nu dans un champ d'orties ! :bleh:
a écrit :BYRRH : On dirait un peu des pitbulls qui auraient appris à articuler des semblants de mots. Des gros cons machos, bien réacs dans leur genre, obnubilés par le culte du pognon et de la force...
(Harpo @ samedi 19 février 2005 à 22:33 a écrit : Si ce n'était pas illicite, je vous balancerait "Great Balls of Fire" en document joint pour l'édification de notre belle jeunesse. Si après ça il y en avait qui persistaient à écouter voire à faire du rap, ce serait à desepérer.rchestr:
[Mode crâneur ON] Pas besoin de me balancer "Great Balls of Fire", j'ai vu Jerry Lee Lewis le jouer en concert :bleh: [Mode crâneur OFF]
On peut très bien écouter du rock (fût-il 'n'roll) et du rap, je vois pas le problème!
Quant aux arguments "le rap c'est basique etc..." ça fait redondant avec ton affirmation selon laquelle tu n'en écoutes jamais (en tout cas pas du bon vu que si tu dis "je zappe" c'est que tu n'en écoutes qu'à la TV - pas bon signe ça)
(Harpo @ samedi 19 février 2005 à 22:33 a écrit :a écrit :BYRRH : On dirait un peu des pitbulls qui auraient appris à articuler des semblants de mots. Des gros cons machos, bien réacs dans leur genre, obnubilés par le culte du pognon et de la force...
A chaque époque ses héros musicaux...et leurs vices.
Jerry Lee lewis était considéré comme un suppot de satan par l'amérique bien pensante. Et aussi comme un pervers irrécupérable suite à son mariage avec sa cousine agé de 13 ans alors que lui en avait 23.
Ses concerts dégénéraient plus souvent en baston que ceux de NTM, Il picolait sec et ses bio le décrivent comme un entrepreneur macho et tyrannique ...
a écrit :C'est l'impression que me laisse le rap dans son ensemble.
Mais bien sûr, je n'ai pas écouté grand chose, quand j'entends du rap, je zappe avant 1 minute car je ne supporte pas le genre du point de vue musical, c'est tellement primaire que je préfèrerais presque la musique militaire.
a écrit :De toute façon, j'ai une dent contre les adorateurs de Haïlé Sélassié et les drogues qui obscurcissent le cerveau.
C'est paraît-il ces genres musicaux qui constituent la "culture des banlieues". Le problème c'est qu'on ne leur offre rien d'autre !
Quand les instituteurs et les profs de collège ou de lycée auront les moyens d'emmener leurs élèves à des concerts classiques, à l'opéra, à des concerts de jazz, de chanson, de musique contemporaine, de bossa nova ou autres arts majeurs, les chanteurs de rap eux-mêmes se mettront à s'exprimer dans un autre registre et ceux qui ont quelque chose d'intéressant à dire (il y en a) cesseront de me casser les oreilles.
a écrit :Tout ceci avec une pointe d'autodérision : pour moi le plus grand artiste de ma génération c'est Jerry Lee Lewis. Comme excité et abruti il n'y a pas mieux, mais quel talent. Si ce n'était pas illicite, je vous balancerait "Great Balls of Fire" en document joint pour l'édification de notre belle jeunesse. Si après ça il y en avait qui persistaient à écouter voire à faire du rap, ce serait à desepérer.
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