Je n'ai pas la prétention de détenir la vérité ni la volonté de faire, ce soir, le procès du Prozac ou autre antidépresseur ;
certes l'incitation des grands laboratoires auprès des médecins prescripteurs n'est pas négligeable !
ma réaction sur le sujet lancé par Canardos est la suivante :
la difficulté réside dans le fait qu'il est quasiment impossible d'attribuer les symptômes à la dépression elle-même ou à la prise q'un médicament ;
Bien malin celui qui pourrait dire si les signes tels que : idées suicidaires, accentuation de l'angoisse, crises de violence, troubles gastriques, insomnie, agitation et j'en passe..... sont la cause directe de la prise dudit médicament ou l'agravation de l'état dépressif ;
je considère que le dialogue instauré avec un psychiatre ou un psychothérapeute est plus bénéfique à long terme s'il se passe dans un climat de confiance ! encore faut-il "tomber" sur un praticien capable d'appréhender le tempérament de son client et de composer avec ; il faut que patient et psy soient en parfaite harmonie ; (j'utiliserais presque le terme "communion" ) ;
bien sûr, cet état de dépendance peut s'averer dangereux, voire effrayer certain(e)s !
faites de doux rêves !!!!