(Front Unique @ samedi 4 février 2006 à 15:30 a écrit : Je suis syndiqué, et je manifesterai avec mon syndicat....Je suis pour l'indépendance réciproque des partis politiques et des syndicats...
(titi @ vendredi 3 février 2006 à 11:51 a écrit :je le recherche et je m'y colle asap
(Front Unique @ samedi 4 février 2006 à 15:30 a écrit : Je suis syndiqué, et je manifesterai avec mon syndicat....Je suis pour l'indépendance réciproque des partis politiques et des syndicats...
Oui bien sûr et les militants du PT dans FO, ils agissent en toute "indépendance" et sans coordonner leur action, sans en discuter entre eux, évidemment ? Note bien que je ne leur reproche pas, un parti ça sert à ça, coordonner les actions de ses membres, intervenir ensemble une fois qu'on s'est mis d'accord.
Traduction de ces phrases ronflantes : un résidu de lêche à FO du temps où FO avait scissionné par anticommunisme de la CGT (d'où l'appellation qu'on ne retrouve plus qu'au PT de "CGT-FO") et reprochait à celle-ci d'être tenue en main par le PC. Ou comment utiliser les phrases classiques dans un autre contexte et un autre sens !
(artza @ dimanche 5 février 2006 à 10:14 a écrit :Pour être précis le Parti conmmuniste internationaliste principal groupe trotskyste français en 1948 ancêtre ccommun de la LCR et du CCI-PT était opposé à la scission FO de la CGT
Ensuite durant une demi-douzaine d'année P.Lambert au nom du PCI anima un regroupement de syndicalistes CGT ou FO autour du bulletin L'Unité Syndicale pour y combattre la division syndicale.
Dans les faits le libéralisme bien connu des staliniens ne permettait guère à des militants trotskystes de prendre leurs aises dans la CGT.
Un à un ils durent se résoudre à se réfugier à FO où ils s'adaptèrent la suite est connue.
a écrit :Un à un ils durent se résoudre à se réfugier à FO où ils s'adaptèrent la suite est connue
a écrit :«Dans l'amphithéâtre de la démocratie», Villepin lâche son 49-3
Le Premier ministre a engagé devant l'Assemblée la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi sur l'égalité des chances, comme l'y autorise l'article 49, alinéa 3, de la Constitution • Le PS n'a pas déposé de motion de censure •
par P.V.
LIBERATION.FR : jeudi 09 février 2006 - 17:30
C'était attendu. Et pourtant, les socialistes semblent avoir été pris au dépourvu. Jeudi, peu avant 16 heures 30, Dominique de Villepin est venu à l'Assemblée nationale pour dégainer le 49-3. En utilisant cet article de la Constitution, le Premier ministre a engagé la responsabilité de son gouvernement, sur le projet de loi sur l'égalité des chances actuellement débattu dans l'hémicycle. Il a reproché à la gauche son obstruction sur ce texte alors que la création du Contrat première embauche (CPE) avait été votée dans la nuit de mercredi à jeudi. Aussitôt les débats ont été ajournés.
Etrangement, alors que la Constitution l'y autorise, le PS n'a pas souhaité déposer dans la foulée une motion de censure. Il préfère attendre le 21 février et la fin des vacances parlementaires pour tenter de censurer le gouvernement sur l'ensemble de sa politique sociale. Vu le rapport de force à l'Assemblée où l'UMP dispose de la majorité absolue, la censure ne sera pas votée. Le CPE sera donc «considéré» comme adopté d'ici vingt-quatre heures. «La démocratie, c'est le débat, mais la démocratie, c'est aussi l'action et le résultat (…) Le gouvernement sera au rendez-vous des Français», a déclaré le Premier ministre, dans l'hémicycle aux côtés de ses principaux ministres, Nicolas Sarkozy (Intérieur), Thierry Breton (Economie) et Jean-Louis Borloo (Emploi). «Malheureusement, depuis ce matin, la discussion n'avance plus, après plus de 43 heures de débat, dont quatre heures de suspension de séance, après 67 rappels au règlement. Je ne peux que constater avec regret, avec tristesse, le refus de l'opposition d'examiner sereinement les dispositions restantes du projet de loi sur l'égalité des chances», a-t-il poursuivi.
A Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste qui brandissait un carton rouge, Villepin a lancé : «Nous ne sommes pas dans un stade, nous ne sommes pas au théâtre, nous sommes dans l'amphithéâtre de la démocratie».
Retour vers Politique française
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 7 invité(s)