On parle de CPS en France ou des Tunisiens ?
Joue à l'imbécile, à un ou plusieurs, vous le faites très bien.
(Zorglub @ mercredi 26 janvier 2011 à 17:25 a écrit : On parle de CPS en France ou des Tunisiens ?
Joue à l'imbécile, à un ou plusieurs, vous le faites très bien.
On parle des tunisiens, bonhomme. C'est en réponse à leur appel que des manifestations ont eu lieu samedi dernier en Europe... vers les ambassades... sans soutien des syndicats.
Pour le reste tu joueras tout seul, tu as l'air doué et entraîné.
(MajnûnLayla @ mercredi 26 janvier 2011 à 17:33 a écrit :(Zorglub @ mercredi 26 janvier 2011 à 17:25 a écrit : On parle de CPS en France ou des Tunisiens ?
Joue à l'imbécile, à un ou plusieurs, vous le faites très bien.
(redsamourai @ mercredi 26 janvier 2011 à 19:28 a écrit :(MajnûnLayla @ mercredi 26 janvier 2011 à 17:33 a écrit :(Zorglub @ mercredi 26 janvier 2011 à 17:25 a écrit : On parle de CPS en France ou des Tunisiens ?
Joue à l'imbécile, à un ou plusieurs, vous le faites très bien.
On parle des tunisiens, bonhomme. C'est en réponse à leur appel que des manifestations ont eu lieu samedi dernier en Europe... vers les ambassades... sans soutien des syndicats.
Pour le reste tu joueras tout seul, tu as l'air doué et entraîné.
a écrit :
« VOUS IMAGINEZ ÇA DEVANT L’ELYSÉE ? » (LE PARISIEN DU 26 JANVIER)
mercredi 26 janvier 2011
Les effluves de la révolution de Jasmin lui caressent les narines. Hier, Olivier Besancenot a déserté son bureau de poste de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) pour venir humer leparfum de contestation qui flotte à Tunis, le temps d’un voyage express qui s’achèvera ce soir.
Sur l’avenue Habib-Bourguiba, principale artère de la capitale tunisienne, le porte-parole du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) ne cache pas son enthousiasme.
«C’est la première fois que je connais une révolution en cours. Le soulèvement d’un peuple qui renverse sa propre dictature !» souffle celui qui assure être venu pour «apprendre un processus révolutionnaire» et soutenir celui qui se déroule en Tunisie.
Au programme: rencontres et échanges avec des «camarades». Le leader du NPA devait également passer une partie de la nuit sur l’esplanade de la casbah, au milieu des manifestants qui font le siège devant les locaux du gouvernement. «C’est hallucinant de les voir tous là, s’émerveille-t-il, les yeux pétillants. On peut se dire que la révolution, c’est possible.»
Lyrique, il évoque les drapeaux, «l’ébullition» et «la vapeur du souffle révolutionnaire qui continue à pousser». Des souvenirs qui n’ont pas fini de l’inspirer: «L’idée que le peuple peut faire irruption sur la scène politique, on en aurait bien besoin.» Du coup, Besancenot se prend à rêver: «Vous imaginez ça devant l’Elysée ? Ça aurait de la gueule, non ?»
(MajnûnLayla @ mercredi 26 janvier 2011 à 17:05 a écrit : "Je pense en revanche comme d'autres que la responsabilité des révolutionnaires dans le contexte français actuel est de discuter du sens de la révolution avec les travailleurs." dixit Gaby
C'est un peu court jeune homme.
IL y a un proverbe qui dit (surtout dans le milieu travailleur et en particulier à Disney )
"Parler au con, c'est les rendre intelligent, alors mieux vaut s'abstenir"
En fait c'était mon chef qui disait ça quand il décidait de faire la geule à quelqu'un, et bien je lui ai rentré dans le lard tout le temps et maintenant qu'il n'est plus chef, on discute plus fraternellement.
Alors OOH Gaby , arrête de faire ton chef, dès qu'on critique le NPA, car le NPA a le droit de se tromper comme les autres, comme moi, mais encore faut il pouvoir en discuter.
Est ce qu'on peut dire que Besancenot ne va pas voir les travailleurs sur les piquets mais les chefs syndicaux et de la gauche.
D'ailleurs c'est le NPa qui en fait l'annonce, lui même.
Est ce que le NPA a une perspective, c'est à dire est ce qu'il propose autre chose aux travailleurs que de suivre la gauche qui veut sauver l'état bourgeois de Ben Ali?
(com_71 @ mercredi 26 janvier 2011 à 03:51 a écrit :(redaxe @ mardi 25 janvier 2011 à 23:37 a écrit : voir ce que les camarades pensaient du séjour de Besancenot en Tunisie, mais au final j'en sais pas pas beaucoup plus...
Mais bon sang, Besancenot fait ce qu'il veut pour défendre sa politique, et est lui-même juge des opportunités. LO, jusqu'à nouvel ordre, ce n'est ni la même organisation ni la même politique.
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