Un bouquin qui m'avait plu.
"J'avais 15 ans en Allemagne nazie" a écrit :Pudique et bouleversante
Récit d’une jeune fille qui vit en Allemagne (Saarlouis) et qui voit peu à peu le nazisme assombrir sa vie jusqu'à l’insupportable.
Enseignants formés aux théories du Reïch, livres interdits, étudiants emprisonnés, camps de la mort… le quotidien d’une jeune fille qui résiste mentalement à la dictature hitlérienne.
Texte : Inge DIESCHBURG HAPP
Ce qui m'avait frappé dans ce témoignage. (l'auteur vit maintenant en Bretagne), c'est qu'elle et ses amies avaient résisté à leurs manières, en prenant certains risques dont elles n'étaient pas conscientes alors, au racisme ambiant,...elles écoutent la BBC, et ont surtout en horreur les nazis qu'elles connaissent, des brutasses racistes et arrogantes, et surtout, en ont marre de cette guerre et de tous ces morts. Elle raconte une de leurs blagues.
"Un bâteau coule, à l'intérieur, Hitler, Goering et goebbels,
Qui est sauvé?
solution, l'Allemagne!!!"
Bref,ce qui est frappant chez cette jeune fille, c'est qu'elle n'est pas très mature et il devait en être de même pour ses amies et les autres jeunes qui ont pu choisi d'autres chemins.
Pour piger comment c'était pas simple, à cette époque, Daniel Guérin raconte dans "La peste brune" que des tas de jeunes, anciens du PC rejoignent en masse les nazis.
C'est vraiment pas une question simple et je persiste et signe. L'humour des guignoles est ici de l'humour caniveau, ça n'avance pas de chmilblic et j'y vois un côté insultant pour les allemands en général.
Et bien sûr tous les allemands n'ont pas suivi les nazis, il y a d'ailleurs un film à l'affiche en Allemagne, qui devrait arriver bientôt ici. "
Sophie Scholl, les derniers jours", qui a été exécutée avec son frère Hans, ils étaient étudiants et cathos, et ont crée le réseau de la "rose blanche", et tentaient de résister. L'actrice est Julia Jentsch, qui est eépatente dans "The Edukators", avec Daniel Brühle, de "Good Bye Lenin!" =D>
en même temps je précise que j'aime bien les guignoles, mais là je ne suis pas d'accord, et bien sûr, plus on se moquera de Benoît, mieux ce sera, mais pas besoin de tomber dans la bassesse!