Déjà, Morise, je ne vois pas où se nichent pour moi les soupçons de ta mauvaise
foi, d'une part je parlais de la politique de LO et d'autre part je ne l'ai pas rapprochée d'un quelconque sectarisme
(morise @ a écrit :C'est sympa que ça t'apparaisse possible. Mais ça le serais sûrement même sans collectif unitaire. Nous ne manquons pas, et les uns et les autres de militants influents, compétents, reconnus par leurs collègues de travail ou leurs voisins de quartier. Quelques tentatives ont été faites dans ce sens, avec toujours des résultats limités. Il faudra réesayer chaque fois que nous en avons l'opportunité, mais ce n'est pas le manque d'unité d"action LO LCR qui a fait échouer. Pourquoi un collectif serait plus attrayant que lo ou la LCR représentée par des militants appréciés
Des gens déjà politisés, motivés pour discuter dans _un collectif, peut-être que nous en trouveront. Ppour militer ? Pourquoi ne le ferais-t-il pas dans l'une ou l'autre de nos orgas?
Mais j"aurais peut-être une réponse à ma question :: combien d'entre-vous connaissent dans leur entourage des camarades qui limitent leur activitépolitique parce que nous ne sommes pas unis ?
Qu'est-ce qui serait possible même sans collectif unitaire ? Peut-tu me citer des tentatives de LO qui ne soient pas restées au niveau de l'entreprise mais avaient un but national, comme à Danone, entreprise où c'est la Fraction qui est présente et qui a tenté cette politique ?
Je ne dis pas que c'est possible et voulu par les travailleurs partout mais cela n'est pas non plus absent et pourtant je ne vois rien comme tentative de faire converger ce sentiment de ras-le-bol en une sorte de comité national des boîtes concernées et au delà.
Je précise que quand je parlais de comité c'était, dans le cadre de notre discussion, d'une alliance LO-LCR.
Et pour répondre à ta question de fin de post:
comme Barikad, moi.
Je ne dis pas non plus que cela serait suffisant pour inverser le rapport de force mais je crois que nous serions en meilleure position.