Informations Ouvrières

Message par Lao She » 02 Juin 2009, 21:13

Un fois encore le POI pris à faire un amalgame entre l'UMp et, cette fois, le... NPA.
Il le fait avec d'autres régulièrement.
Quant à voir dans l'abstention "un fait majeur de la situation politique. Un fait salutaire où la classe ouvrière puisera un encouragement à regrouper ses forces sur le terrain de classe et à se préparer pour les plus grands combats à venir.", c'est prendre ses désirs pour des réalités !
Lao She
 
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Message par Front Unique » 05 Juin 2009, 22:59

Informations ouvrières n° 49 semaine du 4 au 10 juin 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

DE DEUX CHOSES L'UNE.

L'Humanité (2 juin) publie sur une page entière un article de son directeur, qui conduit la liste du Front de gauche en Ile-de-France. Patrick Le Hyaric y dénonce « ce qu'on vous cache pour l'après-7 juin ». A juste titre, il indique que « se prépare, pour les lendemains du 7 juin, sur injonction des autorités européennes, des décisions extrêmement négatives accentuant encore le cours régressif, antisocial, antidémocratique des politiques actuelles ». Le Hyaric cite en particulier : les 9 millions de chômeurs supplémentaires prévus par la
Commission de Bruxelles pour les prochains mois ; les mesures «d 'assainissement budgétaire » prises pour compenser les « milliards d'euros versés aux capitalistes » ; les hausses de tarifs publics, les réductions des retraites, le blocage des salaires, les privatisations programmées de La Poste, de la SNCF. Bruxelles, souligne Le Hyaric, s'apprête « à faire exploser totalement le Code du travail, à supprimer le contrat de travail à durée indéterminée ».

N'importe quel militant ouvrier ne peut que souscrire à ces propos.

N'importe quel militant ouvrier posera la question : comment répondre à cette situation ?

A cela, Le Hyaric répond : votez pour les listes du Front de gauche le 7 juin. Chacun le sait : le rejet par les travailleurs des plans qui les frappent s'exprimera principalement dans une abstention massive. On ne saurait faire reproche à Le Hyaric de souhaiter pour son parti un résultat. Mais un ou deux députés supplémentaires du Front de gauche dans le Parlement européen cadenassé par les traités de Maastricht et d'Amsterdam, cela ne répondra pas à la question posée : comment bloquer la marche à la destruction ?

Cela, tout travailleur en conviendra, y compris ceux qui s'apprêtent à voter dimanche. Alors, nous reposons la question : que faut-il faire ?

Les nouvelles annonces de plans de licenciements à la veille du 7 juin — Goodyear Dunlop, Altis, EDA, ABB, Hewlett-Packard, etc. — préfigurent de ce qui va tomber en juin, juillet, août.
Les chiffres annoncés du chômage amènent le ministre Lagarde à des contorsions (« une hausse importante, mais inférieure à celle des trois premiers mois de l'année »). Mais ils sont sévèrement corrigés par la réalité : au sens du Bureau international du travail (BIT), le nombre de chômeurs s'élèverait officiellement à 3 785 600. La progression risque d'être au-dessus des 9 % de chômeurs supplémentaires au deuxième trimestre de l'année. A ce rythme, c'est le million de chômeurs supplémentaires assuré pour la seule année 2009 !

Alors, de deux choses l'une.

Ou bien le cri d'alarme lancé par Le Hyaric a pour seul objectif l'élection du 7 juin, et ce serait alors, au regard de la gravité de la situation, irresponsable de la part d'un dirigeant d'un parti qui se réclame des intérêts ouvriers.

Ou bien Le Hyaric et les dirigeants du PCF prennent-ils au sérieux la situation qu'ils décrivent eux-mêmes. Et alors, quel que soit le résultat du 7 juin, ce n'est pas dans le cadre du Parlement européen que ces plans pourront être contrés. C'est par la mobilisation de toute la classe ouvrière, unie sur ses revendications, dans l'action de classe.

Il revient aux partis qui se réclament de la classe ouvrière et de la démocratie de ne pas se dérober à leurs responsabilités. Au plus vite, après le 7 juin, il leur revient de s'asseoir autour d'une table et de répondre à l'appel de la conférence du 15 mai : unité maintenant, tout de suite, pour organiser la marche unie sur Paris pour l'interdiction des licenciements !







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Message par Valiere » 05 Juin 2009, 23:06

J'apprécie beaucoup IO mais là dans cet ultime numéro avant les élections ne pas donner de consigne de vote??? Je m'interroge!!!
Valiere
 
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Message par Front Unique » 13 Juin 2009, 17:11

Informations ouvrières n° 50 semaine du 11 au 17 juin 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

“La seule victoire, c'est de conserver son emploi”.

Il y a l'avalanche de commentaires sur « le succès de l'UMP », la « percée des Verts », ou encore l'influence déloyale d'un certain film… Et puis, il y a la réalité. La réalité sociale que concentrent quelques chiffres. Record d'abstention dans toute l'Europe (57 %) et en France (près de 62 % en comptant les blancs et nuls). On passe à 70 % en Seine-Saint-Denis. Dans ce département sinistré, on atteint 75 % à Bobigny et 80 % à Stains. Dans cette dernière ville, les bureaux de vote 11 et 13, correspondant à la cité du Clos Saint-Lazare, affichent
des taux de 86,7 et 87,2 %.

Oser annoncer un « succès » du parti au pouvoir quand, dans les quartiers populaires, près de 9 électeurs inscrits sur 10 refusent d'aller voter, cela relève de la supercherie la plus absolue ! Supercherie dont la fonction est évidente : à peine tournée la page électorale, le gouvernement annonce l'avalanche des mesures anti-ouvrières, tenues secrètes jusque-là (lire page 6).

Les chiffres du chômage confirment la marche au million de chômeurs supplémentaires d'ici la fin 2009. Coïncidence de calendrier ? Le 8 juin, le FMI publie son rapport sur la France, dans lequel il recommande « d'intensifier les réformes structurelles », et en particulier de faire en sorte « que les mesures prises pour réduire le temps de travail ou améliorer les prestations sociales (…) comprennent une clause de réversibilité automatique ». Faire passer ces brutales mesures de destruction, alors que l'abstention a révélé la profondeur du rejet : n'est-ce pas dans ce but que, dès le soir de l'élection, Fillon en a appelé à l'« unité nationale » ? N'est-ce pas dans le même but que le président de la République a invité le 8 juin les représentants syndicaux à préparer avec lui un « sommet
mondial pour l'emploi » et un « pacte mondial du même nom » ?

Pacte mondial dont le contenu est donné par l'accord passé aux Etats-Unis entre les patrons de l'automobile et le syndicat UAW : ce dernier a en effet accepté de livrer les fonds des régimes de retraite — propriété des travailleurs — pour renflouer l'entreprise, qui, dans le même temps, licenciera 21 000 travailleurs !
Finalement, n'est-ce pas cette politique d'accompagnement des licenciements et des plans de destruction anti-ouvriers qui a été rejetée massivement ce 7 juin ?

Ce 7 juin a montré la profondeur de la crise de la démocratie politique. La marche à la dislocation des partis — dont l'existence est partie prenante de la démocratie politique, au même titre que les syndicats ouvriers — ne saurait constituer un signe positif.

La reconquête de la démocratie est à l'ordre du jour. Elle ne peut être que l'oeuvre de la mobilisation unie de l'immense majorité du peuple travailleur traduisant dans l'action ce qu'il a exprimé « en creux » dans l'abstention électorale. S'ils ne veulent pas poursuivre leur descente aux enfers, les partis qui se réclament de la classe ouvrière et de la démocratie n'ont pas d'autre choix : il leur faut rompre avec toute subordination à l'Union européenne. Et pour commencer, tourner le dos à l'accompagnement des suppressions d'emplois.

A ceux qui ont cru bon de vanter l'accord signé à Continental auprès des salariés de Goodyear, voici ce qu'a répondu un délégué syndical de cette entreprise menacée de perdre 1 400 emplois : « La seule victoire, c'est de conserver son emploi. Car à 40 ans, toucher 50 000 euros, c'est se retrouver quelques années après à la rue » (Le Courrier picard, 6 juin).

Cette « seule victoire », n'est-ce pas l'objectif sur lequel, de toute urgence et à tous les niveaux, l'unité de la classe ouvrière et des partis qui s'en réclament peut et doit se réaliser ?







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Message par Ottokar » 15 Juin 2009, 06:56

(Front Unique @ samedi 13 juin 2009 à 16:11 a écrit : A ceux qui ont cru bon de vanter l'accord signé à Continental auprès des salariés de Goodyear, voici ce qu'a répondu un délégué syndical de cette entreprise menacée de perdre 1 400 emplois  : «  La seule victoire, c'est de conserver son emploi. Car à 40 ans, toucher 50 000 euros, c'est se retrouver quelques années après à la rue » (Le Courrier picard, 6 juin).

Certes. Mais d'abord, c'est pas 50 000 euros, c'est 50 000 euros PLUS deux ans de salaire payés, PLUS deux fois les indemnités légales (soit 0.6 mois de salaire par année d'anciennté). Si le gars de 40 ans a 20 ans de boîte, ça fait deux ans pour se retourner PLUS 100 000 euros.... il y a pire.

Et puis "garder son emploi", ça dépend à quel âge. Ceux qui, usés par des années d'un travail dur et d'horaires d'équipes ont gagné le droit à partir en retraite au bout d'un chômage bien indemnisé, à 51 ans et demi ne tiennent pas tant que cela à "garder leur emploi"...

Ils peuvent penser aux jeunes, et voir la boîte fermer est un échec, c'est vrai. Mais AUCUNE lutte n'a jamais réussi à obliger des patrons à garder des boîtes ouvertes quand ils en le voulaient pas. Que fallait-il faire ? Des pneus et les vendre sur les marchés comme les gars de Lip d'il y a 30 ans, "on fabrique, on vend, on se paye" ? Mais même pour Lip c'était une mesure de défense pas une tentative de monter une coopérative ouvrière de montres. Laquelle n'a pas marché quand ils s'y sont résolus.

Donc IO cite des syndicalistes qui crachent sur un accord qui protège des salariés virés et qui ont obtenu d'être protégés efficacement. De piètres syndicalistes, tout comme des syndicalistes qui refusent que les salariés discutent de mesures d'accompagnement et de reclassement lors de plans de licenciements au nom de la "défense de l'emploi"'.

Un faux radicalisme qui cache l'absence de lutte. IO le reprend, c'est triste. Heureusement, ils n'avaient pas d'influence à Continental.
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Message par Front Unique » 18 Juin 2009, 20:39

Informations ouvrières n° 51 semaine du 18 au 24 juin 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Un cercle vicieux.

Dimanche soir 14 juin : parlant des retraites, le ministre Hortefeux propose de « diminuer les pensions, augmenter la durée de cotisation, reporter l'âge de départ à la retraite jusqu'à 67 ans ». Bien sûr, ces propositions n'engagent « en rien » le gouvernement.

Lundi 15 juin : Fillon déclare que le sujet « mérite un débat national ». Le même jour, la presse annonce que le prétendu déficit de la Sécurité sociale aurait « doublé » par rapport à l'an dernier. Bref, il y a urgence à prendre des mesures...

En réalité, tout cela relève d'un scénario prévu de longue date. The Economist (revue qui exprime les vues des dirigeants de la place financière de Londres) revient sur l'explosion sans précédent de la dette publique : pour les dix pays les plus riches de la planète, elle passerait de 78 % du produit intérieur brut (PIB) en 2007 à 114 % en 2014. Mais, plaide The Economist, on ne peut pas faire autrement : « Sans le renflouement des banques, le krach financier aurait
été une catastrophe beaucoup plus importante. »

Cette dette qui enfle pour renflouer les spéculateurs, qui devra la rembourser ? The Economist n'y va pas par quatre chemins : « Les gouvernements doivent s'engager à assainir leurs finances publiques par la promesse de futures coupes dans les dépenses. » Pour être précis, « une priorité sera d'élever l'âge de départ en retraite, ce qui pourrait stimuler les revenus fiscaux et réduire les dépenses des pensions. Beaucoup de pays riches l'ont déjà fait, mais il faut aller plus loin et plus vite. Une autre cible prioritaire sera l'assurance maladie. »

On ne peut parler plus clairement. 18 000 milliards de dollars (1) ont été déboursés par l'administration américaine et les gouvernements de l'Union européenne pour renflouer les spéculateurs. Et c'est pour cela qu'il faudrait liquider les retraites ouvrières et la Sécurité sociale !

La crise offre une opportunité supplémentaire de mettre en œuvre le rêve de toujours de la classe capitaliste et des gouvernements successifs : démanteler l'assurance maladie et les régimes de retraite, contraindre les travailleurs à travailler plus longtemps avec des pensions réduites et à ne disposer de couverture maladie qu'en recourant à des assurances privées.

Interrogé sur France Info, le 16 juin, le député « socialiste » de Paris Jean-Marie Le Guen déclare : « Il faut (…) qu'on permette aux gens de travailler plus longtemps (...), il y a besoin de réformer en profondeur notre système de retraites », en particulier en procédant à « un allongement de la durée du travail ».

Comment comprendre qu'un dirigeant d'un parti qui prétend plonger ses racines dans l'histoire du mouvement ouvrier puisse tenir de tels propos ? Il y a là un cercle vicieux, infernal. On commence par refuser de combattre pour l'« interdiction des licenciements ». Et comme les licenciements entraînent la diminution des ressources de la protection sociale... on finit par remettre en cause le droit à la retraite, à l'assurance maladie. Il y aurait pourtant une solution infiniment plus simple : bloquer les plans de licenciements, ce qui rétablit le
financement de la Sécurité sociale, des caisses de retraite et de l'ensemble des droits ouvriers.

Bien sûr, pour cela, il faut renflouer les travailleurs et pas les spéculateurs. L'offensive qui reprend contre la Sécurité sociale et les retraites confirme le caractère central du mot d'ordre « Interdiction des licenciements » et l'urgence qu'il y a à forger l'unité pour en imposer la réalisation.

(1) 15 000 milliards d'euros, soit plus que le produit intérieur brut des Etats-Unis






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Message par Valiere » 25 Juin 2009, 06:51

a écrit :Bien sûr, pour cela, il faut renflouer les travailleurs et pas les spéculateurs. L'offensive qui reprend contre la Sécurité sociale et les retraites confirme le caractère central du mot d'ordre « Interdiction des licenciements » et l'urgence qu'il y a à forger l'unité pour en imposer la réalisation.


L'urgence c'est aussi la défense de la sécurité sociale et des services publics... Le POI doit rejoindre les comités unitaires!
les deux combats sont liés : oui à la marche et oui à la résistance contre la casse du public et des acquis sociaux!
Valiere
 
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Message par Front Unique » 25 Juin 2009, 11:31

Informations Ouvrières N° 52 semaine du 25 juin au 1er juillet 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Le plus étonnant...

...ce 22 juin, ce n'est pas le discours prononcé par Sarkozy à Versailles, ce sont les réactions qu'il a provoquées.

Le discours s'inscrit dans la continuité.

Dans une situation où la crise s'aggrave — des centaines de milliers d'emplois sont détruits chaque trimestre —, Sarkozy :

1) appelle les « partenaires sociaux » à « prendre des mesures en faveur de l'activité partielle » et à « étendre le contrat de transition professionnelle »..., autrement dit : à accompagner les destructions d'emplois ;

2) offre aux spéculateurs des possibilités nouvelles de spéculer, grâce à un emprunt public garantissant une confortable rémunération ;

3) fait financer ce pillage des fonds publics par la classe ouvrière : démantèlement des services publics (non-remplacement des fonctionnaires, fermetures massives dans les écoles et les hôpitaux, privatisations), offensive annoncée contre les régimes de retraite (les travailleurs devant se préparer à partir plus tard et avec des taux diminués).

Encore une fois, il n'y a pas lieu de s'étonner. Mais comment comprendre les réactions ?

Martine Aubry regrette que le discours de Sarkozy contienne des « incantations qui ne sont jamais suivies d'effet ». Du côté du Parti communiste français, L'Humanité consacre trois pages au discours présidentiel, critiquant, avec raison, certaines des mesures annoncées.
L'Humanité évoque les « belles paroles » qui « n'ont qu'une fonction de maquillage ». Mais pas un mot sur le fait que le discours est tout entier bâti sur la poursuite et l'aggravation des licenciements, les organisations syndicales étant sommées de les accompagner !
Quant au NPA, il évoque un « discours dégoulinant de démagogie », critique un certain nombre de mesures, mais reste silencieux sur l'axe central du discours.

Comment comprendre ?

Oui ou non, Sarkozy a-t-il déclaré que « l'idée d'une France sans usines et sans ouvriers est une idée folle », au moment même où Air France-KLM supprime 3 000 postes, où des milliers d'emplois sont supprimés à Continental, Molex, Goodyear, Caterpillar, Sony, Hewlett-Packard, ArcelorMital, etc. ?

Mais cette France sans usines et sans ouvriers, n'est-ce-pas ce à quoi conduit la politique que Sarkozy propose de généraliser ? Alors, comment comprendre que pas un seul responsable des partis se réclamant des intérêts ouvriers n'oppose au discours de Sarkozy l'impérieuse nécessité de prendre des mesures d'urgence interdisant les licenciements ?

Le discours du 22 juin se résume à un engagement présidentiel : poursuivre une politique qui renfloue les spéculateurs et détruit le travail salarié.

A cela, le devoir de toute organisation qui prétend parler au nom des ouvriers, des paysans, des jeunes est de dire : halte-là, unité ! Unité pour l'interdiction, maintenant, tout de suite, de tous les licenciements ! Unité pour la nationalisation sans indemnité ni rachat de toutes les entreprises qui mettent les ouvriers à la porte ! Unité pour la confiscation des 420 milliards d'euros donnés aux spéculateurs !

Il faudra bien que se fraie la voie à cette solution, la seule susceptible de sauver la population laborieuse d'un désastre en cours. En ce sens, l'appel lancé — dans le cadre du comité pour la marche unie — par les ouvriers de Caterpillar et le rendez-vous qu'ils proposent apporte une première réponse. Il pose aussi une question à quiconque prétend défendre les intérêts ouvriers.







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Message par Valiere » 25 Juin 2009, 14:56

Je me demande si Front Unique est un expéditeur automatique d'éditos ou un militant...On peut toujours essayer de discuter avec lui...Il ne répond pas et nous distribue l'édito suivant!

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Message par redsamourai » 25 Juin 2009, 15:35

essaie par MP :33:
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