(Vérié @ jeudi 13 décembre 2007 à 11:33 a écrit :
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Un exemple : en 1936, meme les anars, hostiles aux élections, avaient voté pour le Front POpulaire sur un seul point : la libération des prisonniers politiques.
Il s'agissait d'une démission, d'une capitulation, d'une faillite politique.
Quoique fassent les anars les masses auraient été voté.
Ils n'ont tout simplement pas voulu affronter le risque de voir leur abstentionisme passif désavoué.
Des révolutionnaires prolétariens auraient présenté des candidats critiques du Front Populaire.
Il n'y a avait personne en Espagne pour mener une telle politique, pas même Nin malheureusement.
Entre nous les détenus avaient bons dos.
D'ailleurs ce sont les travailleurs eux-mêmes qui dès l'annonce des premiers résultats électoraux ont forcé les portes des prisons.